LA GUERRE SECRÈTE CONTRE LES PEUPLES part 04

 vendre à prix d’or. Il est donc difficile de croire qu’ils aient pu

s’escrimer à faire autant de recherches dans un domaine où il

n’y aurait pas d’application immédiate !

L’éclatement de l’Union soviétique dans les années quatrevingt-dix apporta d’ailleurs la preuve que toutes ces

découvertes de part et d’autre n’étaient pas restées virtuelles :

rapportait, le 24 septembre 1992, qu’une

société russe vendait ouvertement des équipements

électroniques pour manipuler le climat, notant que certains

fermiers russes s’en servaient pour obtenir un meilleur

rendement de leurs récoltes. Tout comme certaines

associations d’agriculteurs, en France notamment, possèdent

des canons à grêle qui permettent d’envoyer dans les airs de

l’iodure d’argent qui empêche les grêlons de se former. Un peu

plus tard, écrivait que la compagnie

russe Elate Intelligence Technologies Inc. vendait le même

genre d’équipement avec le slogan “Weather made to order”. Il

citait Igor Pirogoff, qui affirmait que l’ouragan Andrew, et ses

dix-sept milliards de dollars de dommages, aurait pu être

transformé « en petite bourrasque » par sa compagnie.

« La Malaisie combat le brouillard avec des cyclones » était

l’un des titres à la une du le 13 novembre

1997 ; expliquant : « Le plan requiert l’utilisation d’une

nouvelle technologie Russe pour créer les cyclones et causer

des pluies torrentielles qui dispersent le brouillard de

The New York Times

The Wall Street Journal

Wall Street Journal

l’atmosphère. »

Ce n’est bien sûr pas un hasard si les communications sur la

géo-ingénierie se retrouvent le plus souvent dans le

! Mais c’est on ne peut plus inquiétant de voir le

changement climatique coté en bourse !

Wall Street

Journal

LES LÉGISLATIONS ET LES TRAITÉS

N'oubliez jamais que tout ce qu’a fait Hitler en

Allemagne était légal.

Martin Luther KING Jr

Le Projet 112 a été signé par John F. Kennedy et s’est déroulé

dans le plus grand secret, comme toutes les expériences

climatiques effectuées dès la première moitié du XXe siècle et

dont les recherches et les tests s’effectuaient dans un cadre

strictement militaire, dans des conditions politiques mondiales

propices aux escalades et aux abus.

Il est donc hautement probable que des dommages

irréversibles aient déjà eu lieu à notre insu.

En 1970, les Britanniques, les Américains et les Russes

avaient déjà admis qu’ils effectuaient des modifications

climatiques ; on sait maintenant que les Chinois, les Japonais,

les Allemands et certains autres gouvernements possédaient

également la technologie nécessaire ; et qu’après la Guerre

froide, la guerre économique n’a pas rendu plus raisonnables

ni plus humains les valets de l’Empire qui nous gouvernent. En

tout cas, il y a une constante dans leurs agissements : ils

jouent avec nos vies, ils jouent avec la vie de notre planète,

mais ça ne nous regarde pas ! Pour des décisions aux

implications aussi graves, nous ne sommes ni concertés ni

tenus au courant.

Aux États-Unis, pourtant, l’aveu par lequel le gouvernement

témoigne de sa participation à de telles expériences a causé

tellement de remous que cela a déclenché plusieurs auditions

au Congrès. Les commissions d’enquête ont dévoilé des

centaines de projets, parmi lesquels ceux décrits plus haut, et

d’autres tout aussi gravissimes, prouvant des manipulations

chimiques intenses, telles que la suspension de particules dans

l’atmosphère pour servir de « conducteurs », ou la combustion

de substances toxiques pour percer les nuages. Certains

documents militaires allant jusqu’à préconiser « de détoner des

engins nucléaires dans l’atmosphère pour créer des

déplacements climatiques massifs, ou dans les océans pour

créer de gigantesques raz-de-marée. »

Peut-on, après ça, continuer à croire que, si le temps est

totalement détraqué, ce n’est dû qu’au hasard, aux caprices de

la nature ? Est-il vraiment stupide de se demander si ces

projets ne sont pas l’explication des cyclones, des inondations

et des tremblements de terre de plus en plus violents et de plus

en plus fréquents auxquels nous assistons, dans des zones

délimitées pratiquement au laser ?

Bref, à l’époque, pressée de réagir par l’opinion publique,

l’ONU adoptera le 10 décembre 1976 une législation mondiale

sur le sujet, appelée « Convention sur l’interdiction d’utiliser

des techniques de modification de l’environnement à des fins

militaires ou toutes autres fins hostiles ».

L’Environmental Modification Convention (ENMOD[84]) ne sera

signée par les représentants à l’ONU qu’en 1977, entrera en

vigueur en 1978, sera ratifié par le président américain en

1979, et ne sera redéposée aux bureaux de l’ONU à New York

qu’en 1980. C’est toujours trois ans de gagnés ! Le temps de

peaufiner là aussi une entourloupe de taille : le traité interdit

aux forces militaires d’utiliser de telles techniques sur l’ennemi,

mais stipule le droit des nations à utiliser les modifications

météorologiques à des fins « pacifiques » (article III 1). Donc sur

son propre peuple !

Un autre article prévoit que « chaque État signataire doit

contribuer avec les autres États ou organisations

internationales à la coopération économique et scientifique

dans la préservation, l’amélioration et l’utilisation pacifique de

l’environnement » (article III 2).

« C’est la porte ouverte à toutes les fenêtres ! » dirait Gad

Elmaleh. On va pouvoir épandre dans tous les pays amis !

D’ailleurs, pour faciliter les choses, en 1992, a été mis en

application par Bush père, et continué par Bill Clinton, le

(Traité sur les ciels ouverts), qui permet

aux avions militaires étrangers de survoler le territoire

américain avec un minimum de restrictions.

Bien plus tard, en 2001, les États-Unis, sous la pression de

leur opinion publique, ont rédigé une loi pour contrôler

l’armement spatial: le Space Préservation Act[85] », appelé

aussi HR2977. Présenté devant le Congrès par le démocrate

Dennis Kucinich, ce document mentionne, parmi les armes

exotiques[86] : les Il est le premier document officiel à

reconnaître ces expérimentations, ainsi que les ondes

d’extrême (ELF) et d’ultra basse fréquence (ULF), les armes

tectoniques et les armes extra-terrestres.

Bizarrement, ce projet fut rejeté en avril 2002. En janvier de

la même année, Bob Fitrakis, interviewant Kucinich pour le

journal , lui demandait pourquoi il voulait

interdire les chemtrails dans un projet de loi alors que le

gouvernement américain a toujours nié leur existence et que

l’US Air Force prétendait que c’était un Kucinich, plutôt

connu pour son courage tout au long de sa carrière, lui

répondit : « La vérité est qu’il y a un programme entier, au

département de la Défense, nommé “Vision pour 2020”, qui

Treaty on Open Skies

«2001

chemtrails.

Columbus Alive

hoax.

développe ces armes. »

Quelques mois après, cette loi fut réécrite, probablement bien

encadrée par les véritables dirigeants de ce monde, sous le nom

de « 2002 Space Préservation Act[87] » (ou HR3616). Et cette

fois-ci, elle fut rapidement ratifiée par le Congrès et entra en

vigueur peu après. La liste des armes mentionnées dans la

première version a tout simplement disparu et, avec elle,

l’existence officielle des chemtrails ! Ce qui en dit long sur la

volonté de dissimulation qui entoure les épandages et donc, par

déduction, leur véracité.

Deux propositions de lois américaines prouvent la réalité de

ces programmes : Le US Senate Bill 517 et le US House Bill

2995 “Weather Modification Research & Technology Act[88]”

(Recherche et technologie de modification du climat) du 3 mars

2005, qui stipule : « Il est ainsi déclaré être le but du Congrès

par cet acte de développer une politique nationale de

modification du climat coordonnée et compréhensive, et un

programme national de recherche et développement en

modifications climatiques. » Et il précise, dans ses définitions :

« Le terme veut dire changer et contrôler

par des méthodes artificielles le développement naturel des

formations atmosphériques de nuages ou précipitations qui se

produisent dans la troposphère ». Tout comme les projets US

Senate Bill 1807 et US House Bill 3445 qui proposaient en

2007 d’établir un Comité de conseil et de recherche (Weather

Mitigation Advisory and Research Board) pour financer les

recherches sur la modification du climat.

Certains pensent que ces propositions ont été retirées parce

qu elles auraient nécessité qu’y soient inscrites noir sur blanc

des limitations garantissant le bien des populations. L’absence

de lois permet au contraire au gouvernement américain de

modification du climat

continuer à travailler en secret avec les agences et les

corporations privées, sans avoir de compte à rendre ni de règles

à respecter. Bien évidemment, cela appuie la théorie que

l’utilisation actuelle de la modification du climat n’est pas faite

dans un but humanitaire comme on veut nous le faire croire,

mais pour d’autres raisons !

Plus révélateur, encore plus probant (à moins que les

gouvernements s’amusent à faire des traités pour des choses

qui n’existent pas !) est le traité nommé : Accord entre le

gouvernement du Canada et le gouvernement des États-Unis

d’Amérique concernant l’échange de renseignements relatifs

aux activités visant à modifier le temps[89], signé le 26 mars

1975 à Washington. Il a pour objet une coopération plus étroite

entre les deux gouvernements sur tout ce qui concerne les

modifications climatiques.

L’article 1 (a) est on ne peut plus explicite : «

signifie toute activité exercée dans le but de

produire des changements artificiels dans la composition, le

comportement ou la dynamique de l’atmosphère. »

Mais le préambule (rédigé au présent) montre à quel point ces

apprentis sorciers se fichent de nous quand ils nient, de

concert, ce que nous voyons tous : « Conscients, en raison de

leur proximité géographique, que les effets des activités visant à

modifier le temps exercées par l’une ou l’autre partie

peuvent avoir des répercussions sur le territoire

de l’autre partie. Notant visant à

modifier le temps, exercées tant au Canada qu’aux États-Unis

par des particuliers, par les autorités des Provinces et des États

et par les gouvernements fédéraux... »

Non seulement, c’est bien la preuve que cela fait des

Activité visant à

modifier le temps

ou leurs

ressortissants

la diversité des activités

décennies qu’ils nous mentent mais, en plus, apparemment,

tout le monde épandait à tout-va selon ses moyens et ses

besoins jusqu’à ce qu’ils réalisent que les effets de tels actes ne

s’arrêtent pas aux frontières tracées par les hommes entre

deux pays ! Les seuls qui n’ont pas leur mot à dire, ce sont les

gens qui sont en dessous !

Et quand on voit comment ils gèrent nos pays en bas, on

imagine comment on peut leur faire confiance pour gérer le ciel

!

À titre d’exemple aussi, ce document datant de mars 2003, «

Autorisation de programme de modifications météorologiques »

au Colorado[90]. Publié par le Comité pour la préservation de

l’eau au Colorado, il explique innocemment que l’humidité

présente dans l’air produite naturellement ou artificiellement

est une richesse qui est insuffisamment exploitée. Et propose

donc d’utiliser les modifications climatiques (plus de pluies, de

neige) pour ajouter à la rentabilité des sites touristiques. On y

apprend aussi que des modifications climatiques ont lieu

depuis 1951 au Colorado, les substances épandues, les

méthodes utilisées et les permis délivrés pour ce faire.

On peut se demander combien il y en a de semblables !

D’autre part, comme l’avait annoncé Dennis Kucinich, auteur

de la loi HR2977, en dépit des démentis gouvernementaux, il y

a bien un programme global au département de la Défense

détaillé dans : « Visions pour 2020

[91]

», qui affirme le but de

l’armée américaine : la domination totale de la terre, des mers

et de l’air.

Un autre document troublant est une étude rédigée par des

éléments de l’US Air Force, sous le nom :

[92]. Il paraît

Le Climat comme un

multiplicateur de force — Posséder le Climat en 2025

probable que les stratégies de modifications qui y sont décrites

ont été mises en pratique depuis : « Les forces aérospatiales

américaines vont “posséder la météo” en capitalisant sur les

technologies émergentes et en se focalisant sur le

développement de ces technologies à des fins militaires De

la facilitation d’opérations alliées ou le sabotage de celles de

l’ennemi par des modifications à petite échelle des cycles de

température, jusqu’à la dominance du contrôle global des

communications et du contre-espace, les modifications de

climat offrent aux combattants un large éventail d’options pour

vaincre ou contraindre un adversaire En partant du

principe qu’en 2025, notre stratégie de sécurité nationale

inclura la modification du climat, son utilisation dans la

stratégie militaire nationale suivra naturellement. »

L’un des schémas qui y figure - représentant la feuille de

route pour arriver à la possession du climat avant 2025 -

montre, selon la légende, à la colonne (« Maintenant »),

dans le cercle du centre à gauche, les mentions CHEM

(produits chimiques) et ADV (véhicule de livraison aérospatial)

et dans la bulle du bas, SC pour

(nanotechnologie).

[...]

[...]

Now

smartclouds

Mais, à les entendre, ils auraient fait des tests pour rien,

déposé des brevets pour ne pas s’en servir et pondu des traités

entre États pour réguler des phénomènes qui n’existent pas et

nous serions victimes d’hallucinations collectives dans le

monde entier.

DES RESPONSABLES PARLENT...

Celui qui ne gueule pas la vérité

Lorsqu'il connaît la vérité

Se fait le complice des menteurs et des faussaires.

Charles PEƵGUY

L’une des raisons invoquées pour nous convaincre que les

épandages n’existent pas est que cela serait nécessairement

porté à la connaissance de beaucoup de monde. Mais des

milliers de gens qui travaillent pour Big Pharma ne sont que

des abeilles ouvrières, persuadées de fabriquer ou de vendre

des vaccins qui sauvent les enfants et des médicaments dont la

balance bénéfices/risques est positive. Et, tenant à préserver

leurs emplois et leurs énormes avantages, la majorité se

bouche les oreilles à chaque scandale qui éclate et ne veut

surtout pas savoir ce qui se passe vraiment !

Si, en plus, comme cela doit être le cas pour les épandages, on

invoque le « secret Défense » - et les peines encourues si on ne

le respecte pas -, la plupart des gens impliqués préfèrent faire

l’autruche ! D’après les témoignages recueillis, la logistique au

sol d’un tel projet nécessite un petit nombre de gens

responsables et informés ; et les tâches étant dans tous les

domaines de plus en plus spécialisées et compartimentées, il

est tout à fait possible que la plupart des pilotes et techniciens

n’aient pas connaissance de ce qui se passe et ne cherchent

pas à connaître les véritables raisons de leur travail. Pour les

militaires, la question ne se pose même pas : on ne questionne

pas les ordres.

Quant aux civils, il suffit de leur dire que les épandages sont

nécessaires pour lutter contre la pollution ! Que savent-ils du

réchauffement climatique à moins de s’intéresser au problème

personnellement ?

Il a d’ailleurs fallu attendre un certain nombre d’années

avant que les premiers témoignages de responsables de

l’aviation n’apparaissent. Peut-être est-ce devenu possible à

cause de la fréquence accrue des épandages mais aussi grâce à

Internet et aux sites qui en parlent. Ces témoignages apportent

d’une part la possibilité de ne pas rester censurés et muselés

par la parole unique et consensuelle des médias traditionnels

et d’autre part l’occasion de soulager leur conscience en

échangeant (anonymement ou pas) avec d’autres témoins de

ces phénomènes. Ainsi, les informations réunies par plusieurs

lanceurs d’alerte ont commencé à circuler, apportant des

éléments probants sur le sujet. Je veux parler du scientifique

américain Clifford Carnicom, des Canadiens William Thomas et

François Pierre Nenki), mais aussi de Rosalie Bertell,

Michael Murphy, Jerry E. Smith, Dane Wigington...

Le 19 mai 2000, Clifford Carnicom, qui enquêtait depuis

plusieurs années sur « les opérations d’épandages d’aérosols »,

reçoit le témoignage d’un informateur, mécanicien en

aéronautique dans une compagnie aérienne importante et

travaillant sur une zone de maintenance d’un gros aéroport,

pour l’informer de la présence d’appareillages inhabituels

installés sur des avions civils[93].

Il y explique en détail qu’il existe plusieurs sortes de

mécaniciens aux tâches très spécifiques et très hiérarchisées :

les premiers qui travaillent sur l’avionique, les moteurs et les

contrôles de vols, ceux qui s’occupent de l’hydraulique et l’air

conditionné, puis ceux qui travaillent sur la carlingue et

d’autres systèmes non essentiels. Tout en bas de l’échelle, deux

(alias

ou trois volontaires dans chaque aéroport qui se chargent des

systèmes de vidange des toilettes et eaux usées et qui ne

tissent pas vraiment de liens avec les « vrais » mécaniciens. À

cause des accords de réciprocité entre les compagnies

aériennes, il est appelé un jour pour un problème sur un avion

d’une compagnie concurrente. En arrivant, il découvre que le

problème se situe dans le système de vidanges et réalise « qu’il

y avait plus de réservoirs, pompes, et tuyaux qu’il aurait dû y

en avoir [...] et que la tuyauterie et les réservoirs

supplémentaires n’étaient pas connectés au système de

vidanges ». Il laisse la place à un vidangeur, mais le lendemain,

il regarde dans les manuels du constructeur sur Internet, sans

rien trouver qui puisse correspondre à l’équipement

supplémentaire qu’il avait découvert, ce qui ne fait qu’exciter sa

curiosité !

Il décide alors d’aller inspecter discrètement d’autres avions

stationnés pour les inspections réglementaires et découvre, en

effet, que l’un d’eux présente le même équipement

supplémentaire.

« Le système avait un gros réservoir et deux plus petits. Les

réservoirs étaient reliés à une valve de remplissage et de

vidange qui passait à travers le fuselage juste derrière la valve

de vidange pour le système d’eaux usées. J’ai commencé à

suivre les tuyaux à partir des pompes. Si vous regardez de près

les ailes d’un gros avion vous verrez un groupe de fils, environ

de la taille d’un doigt, saillant des pointes arrière de la surface

des ailes. Ce sont des tiges utilisées pour dissiper les charges

d’électricité statique qui s’accumulent sur un avion en vol. J’ai

découvert que les tuyaux de ce mystérieux système mènent à

une sur trois de ces tiges antistatiques. Ces tiges ont été vidées

au centre pour permettre le passage de ce qui coule dans les

tuyaux. »

L’un des contremaîtres, ayant remarqué son manège, lui

ordonne alors sèchement de sortir du hangar. Quelques jours

après, il est appelé pour remplacer un capteur de température

de moteur sur un avion, ce qu’il fait immédiatement. Environ

trente minutes plus tard, il est convoqué dans le bureau du

directeur général et accusé, en présence du représentant

syndical et de deux inspecteurs de la sécurité aérienne, de ne

pas avoir effectué le travail. On lui signifie alors qu’il est

suspendu pour une semaine, sans salaire.

Il n’a pas le temps de s’en remettre que, le soir même, il reçoit

un appel téléphonique. Une voix lui dit : « Maintenant, tu sais

ce qui arrive aux mécaniciens qui fouillent là où il ne faut pas.

La prochaine fois tu perdras ton emploi ! Dans les

circonstances, je me sens généreux, je crois que tu pourras

retourner au travail bientôt. » Et l’on raccroche.

Une question l’obsède : « Qu’essaient-ils de cacher et qui

sont-ils ? »

Ce soir-là, il se connecte sur Internet pour essayer de trouver

des réponses et tombe sur un site parlant des chemtrails. Il

raconte :

« C’est à ce moment que tout s’est mis en place. Mais le jour

suivant, au travail, j’ai trouvé une note dans mon casier

verrouillé qui disait : “La curiosité a tué le chat. Ne va pas voir

sur des sites internet qui ne te concernent pas.” » J’ai compris

qu’ils me surveillaient !

Je ne sais pas ce qu’ils vaporisent, mais je peux vous dire

qu’ils le font. Je suppose qu’ils utilisent les camions qui vident

les eaux usées des réservoirs de vidange des toilettes. Les

aéroports sous-traitent généralement ce travail et personne ne

va près de ces camions. Qui veut se tenir près d’un camion

plein de mer** ? Pendant que ces gars vident les réservoirs de

vidange, ils remplissent les réservoirs du système d’épandage.

Les embouts des gicleurs dans les fausses tiges antistatiques

sont si petits que personne dans l’avion ne pourrait voir quoi

que ce soit.

Dieu nous vienne en aide.

Un citoyen concerné. »

Le 22 mai 2000, un courriel est envoyé par un responsable

d’une compagnie aérienne civile à Clifford Carnicom, en

réponse à celui du mécanicien publié sur son site. Il indique

d’abord que, pour lui, le témoignage du mécanicien sonne vrai

et confirme l’existence depuis plusieurs années d’un projet

d’épandage appelé Cloverleaf[94], auquel participent les

compagnies aériennes. Il précise que les quelques employés de

ces compagnies, qui ont été mis au courant par deux

représentants officiels d’une agence gouvernementale, ont dû

signer une clause de confidentialité. « Ils nous ont dit que le

gouvernement allait payer notre compagnie aérienne, comme

d’autres, pour lâcher des agents chimiques spéciaux des avions

commerciaux. »

Les agents n’ont pas dit grand-chose de plus, sauf que les

substances étaient inoffensives, mais que le programme était

d’une telle importance qu’il devait être réalisé à tout prix, que le

projet Cloverleaf avait été monté pour permettre aux

compagnies privées d’aider à la dispersion des agents

chimiques parce qu’il n’y avait pas assez d’avions militaires !

Quelqu’un a alors demandé pourquoi tout cela était secret. Les

représentants gouvernementaux ont répondu que si les gens

savaient que les avions sur lesquels ils voyageaient

dispersaient des agents chimiques dans l’air, les groupes

environnementaux feraient un scandale et demanderaient

l’arrêt des épandages.

L’un des employés a alors insisté : « Mais si les agents

chimiques sont inoffensifs, pourquoi ne pas dire au public ce

que c’est et pourquoi on les vaporise ? » Aux dires du témoin,

l’homme de l’agence sembla perturbé par cette question et

répondit sur un ton autoritaire que le public n’avait pas besoin

de savoir ce qui se passait, et que ce programme était dans leur

meilleur intérêt. Il a aussi affirmé qu’ils ne devaient en parler à

personne, ni poser de questions. Sur ce, la rencontre se

termina.

Le témoin continue en expliquant : « M. Carnicom, je ne suis

pas fou. Je sais qu’il se passe quelque chose. Et, franchement,

j’ai peur. Je me sens aussi terriblement coupable d’être au

courant et de ne pouvoir le dire à personne, et de travailler

pour une compagnie qui empoisonne les Américains. » Il

s’excuse de ne pas fournir de preuves documentées et termine

en espérant que Carnicom comprendra les raisons qui le

poussent à rester anonyme[95].

Au Canada, le 8 décembre 2000, Terry Stewart, directeur de

la planification et de l’environnement à l’aéroport international

de Victoria, a laissé un message sur le répondeur automatique

d’une personne qui avait appelé pour se plaindre des nuages

étranges qui se tissaient au-dessus de la capitale de la

Colombie-Britannique. Ce message, qui plus tard sera entendu

par plus de quinze millions d’auditeurs, expliquait : « Ceci est

un exercice militaire des forces aériennes du Canada et des

États-Unis. Ils n’ont pas voulu donner plus de précisions. »

Farouchement niées par les officiers supérieurs de la base des

Forces armées canadiennes (où Stewart dira plus tard avoir

reçu l’info), ces missions de plusieurs avions seront vérifiées en

mars 2001 par le du Contrôle du trafic aérien pour le

littoral Nord-Est des États-Unis[96].

Suite à d’autres émissions sur le sujet et à de nombreuses

observations d’épandage le 12 mars 2001, un journaliste et

animateur radio du Maine, S. T. Brendt, a appelé en direct au

Bureau fédéral américain de l’aviation. Depuis les débuts de

l’enquête et des spéculations, les citoyens du Maine avaient

compté quelque 370 traces anormales à l’extérieur des couloirs

aériens. Leur interlocuteur, un directeur de la Fédéral Aviation

Administration (FAA) pour la région, gardant l’anonymat, a

confirmé qu’il avait reçu l’ordre de rediriger des vols

commerciaux à cause « d’exercices militaires » à plusieurs

occasions durant le mois. Il révèle que lui et d’autres

contrôleurs auraient eu à faire descendre d’altitude des avions

commerciaux afin qu’ils laissent les couloirs supérieurs à des

formations d’avions-citernes. En fait, depuis quelques mois, il

appelle régulièrement ses copains contrôleurs dans tout le pays

pour savoir s’ils remarquent les mêmes choses sur leurs écrans

et ce qu’on leur donne comme explication.

Dans un entretien dans les mêmes conditions, quelques

jours plus tard, il confirme que des responsables de l’aéroport

O’Hare de Chicago, des aéroports de New York, Los Angeles,

San Francisco, Atlanta, Cleveland, Washington DC et bien

d’autres, sont aussi, souvent, témoins de « brouillard » sur

leurs écrans radar suite aux passages d’avions-citernes KC135. Tous reçoivent régulièrement l’ordre de détourner les

avions de ligne pour cause d’exercices militaires[97].

Ce responsable de l’aéronautique américaine deviendra une

source pour les chercheurs sur les chemtrails, spécialement

William Thomas, qui le surnommera « Deep Sky », pour

préserver son anonymat.

manager

Fin 2001, William Thomas reçoit un courriel de Conroy

Penner, de Victoria en Colombie-Britannique, qui possède une

photographie d’équipements suspects.

En juin 2002 a lieu le sommet du G8 de Calgary, et

d’impressionnantes mesures de sécurité ont été mises en place.

C’était l’un des premiers événements diplomatiques importants

après le 11 septembre 2001. L’espace aérien civil était fermé,

des milliers de soldats patrouillaient dans la région, et des

batteries antiaériennes et antimissiles avaient été déployées.

Suite à l’observation d’épandages par les citoyens pendant la

rencontre, et à la demande de William Thomas, « Deep Sky » a

communiqué avec des contrôleurs aériens de l’Alberta pour

avoir plus d’informations. Beaucoup ont vu les nombreux

avions-citernes KC-135 survolant la rencontre. Plusieurs

d’entre eux auraient affirmé que les vols venaient d’Alaska et se

dirigeaient vers les États-Unis, laissant des traces très visibles

au-dessus d’Edmonton et de Calgary.

Les informations recueillies par « Deep Sky » ont été publiées

dans différents textes par William Thomas, et repris par

d’autres auteurs. Les manœuvres aériennes du G8 auraient

servi à l’épandage de baryum pour l’amélioration des

surveillances radio et radar au-dessus de l’événement et celle

des manifestants protestant contre la mondialisation.

Suite aux autres reportages écrits de William Thomas, et aux

échos des enquêtes de « Deep Sky » dans le milieu de l’aviation,

la liste des contrôleurs aériens qui prennent contact avec l’un

ou l’autre, pour exprimer leurs inquiétudes, s’allonge. « Deep

Sky » aurait parlé à une trentaine de contrôleurs aériens en

tout, dont six auraient eu confirmation par leurs supérieurs «

d’expériences climatiques ».

Le 26 juillet 2003, une lettre[98] est affichée sur le site de

Clifford Carnicom, qui indique qu’une réunion a eu lieu

récemment entre un chercheur et une source militaire bien

informée. Les deux identités ne peuvent, bien sûr, pas être

divulguées, mais la source affirme ce qui suit :

■ L’opération est un projet commun entre le Pentagone et

l’industrie pharmaceutique.

■ Le Pentagone veut tester de nouvelles maladies,

provoquées par des substances biologiques, à des fins

militaires, sur des populations sans leur consentement ;

l’épidémie de SARS (syndrome respiratoire aigu sévère)

étant considéré comme un échec, car le taux de mortalité

espéré était de 80 %[99].

■ L’industrie pharmaceutique fait des milliards avec des

médicaments faits pour traiter des maladies fatales et non

fatales infligées à la population.

■ Les bactéries et virus sont lyophilisés et ensuite placés

sur de fins filaments pour être diffusés. Les métaux lancés

en même temps que les maladies se réchauffent au soleil,

créant un environnement parfait pour la prolifération des

bactéries et des virus dans l’air.

■ La plupart des pays qui sont vaporisés ne sont pas

conscients des activités et n’y ont pas consenti.

Il affirme : « Le but ultime est le contrôle de toutes les

populations par l’épandage dirigé et précis de médicaments,

maladies, etc. Les personnes qui ont tenté de révéler la vérité

ont été emprisonnées et tuées. C’est l’époque la plus

dangereuse et la plus noire que j’ai connue dans toutes mes

années passées à servir ce pays. »

Carnicom explique que, bien que cette information soit

relayée sans que soient révélés les identités des personnes, il se

porte garant de l’intégrité du chercheur qui a rendu cette

information disponible au public. En clair, d’après Carnicom et

son informateur, la nature et le but des chemtrails mènent

vraisemblablement au génocide.

Le 26 septembre 2004, « Deep Sky » est retrouvé sans vie. La

nouvelle est arrivée par William Thomas, qui était très proche

de « Deep Sky » et un des seuls à connaître sa véritable identité.

Le corps aurait été retrouvé dans la voiture de ce dernier,

stationné dans le garage de sa résidence de Berkeley, en

Californie, avec une extension du pot d’échappement tournée

vers l’intérieur du véhicule. Il semblerait que l’homme se soit

suicidé...

C’est sa femme qui l’a découvert. Elle révèle que son mari

était devenu sombre et agité au cours des derniers mois.

Concluant à l’évidence d’un suicide, la police n’a pas poursuivi

la piste de l’homicide dans cette affaire !

De son côté, Joe Banister, ancien agent de la division des

enquêtes criminelles de l’Internal Revenue Service[100] (IRS), a

déclaré : « Malheureusement, le gouvernement soutient toutes

sortes d’activités d’eugénisme de ce type... je parle de morts et

de maladies... J’ai vu quelques preuves prouvant clairement

qu’il y a des programmes pour jeter tous ces produits

chimiques sur nous, mais je ne suis pas sûr d’en connaître le

but. Nous avons besoin que plus d’Américains comprennent ce

qui se passe pour créer un soulèvement. Ils sont en train de

tuer les gens, de les rendre malades... » À la question de

l’interviewer : « S’agit-il d’un génocide ? » Il répond : « Bien sûr,

absolument ! » Et parlant de l’impôt sur le revenu, puisque

c’est son domaine, il ajoute que si les gens étaient conscients

de l’usage qui en est fait, ils arrêteraient de le payer : « Nous ne

sommes pas tenus de payer pour le meurtre de notre peuple.

[101] »

Théodore L. Gunderson (7 novembre 1928-31 juillet 2011)

n’est pas n’importe qui. Cet agent du FBI, responsable du

bureau de Los Angeles, surtout connu pour s’être occupé de

l’affaire Marylin Monroe ainsi que de l’enquête Kennedy, a lutté

sans relâche durant sa retraite contre les réseaux

pédocriminels sataniques, le blanchiment d’argent de la

drogue, l’implication du FBI et de la CIA dans tous les coups

pourris de la fin de XXe siècle et du début du XXIe... Il disait : «

Les épandages de la mort, appelés aussi chemtrails, ont été

jetés, pulvérisés en Angleterre, en Ecosse, en Irlande, en

Europe du Nord. Je les ai vus non seulement aux États-Unis

mais aussi au Mexique et au Canada. Les oiseaux meurent

partout dans le monde. Les poissons meurent par centaines de

milliers. C’est un génocide, un empoisonnement. C’est un

meurtre par les Nations unies. Cet élément qui fait ça dans

notre société doit être arrêté ! » Il dit « connaître les endroits où

sont les avions qui versent cette saloperie sur nous : quatre

sont à la Garde nationale aérienne, à Lincoln, dans le

Nebraska, les autres viennent de Fort Sill, Oklahoma. C’est un

crime contre l’humanité, contre l’Amérique, contre les

citoyens[102]. »

Selon son docteur et ami Edward Lucidi, Ted s’opposait aussi

à l’implantation des et la teinte violet foncé sous

ses ongles, sa tête et ses pieds, juste après sa mort, est la

preuve qu’il a été empoisonné à l’arsenic[103] !

smart meters

Un présentateur météo en Californie du Nord montre sur une

carte les bandes de nuages très différents qui couvrent le ciel,

en disant : « Croyez-le ou non, des avions militaires volent audessus des régions et lâchent de l’aluminium en paillettes,

parfois des plastiques ou autres produits métallisés. Ils s’en

servent comme antiradars. Bien sûr, personne ne confirme de

leur côté, mais j’ai été assez longtemps dans les , et je

vous le dis : ce sont des épandages[104] !

L’ex-militaire Kristen Meghan[105], ingénieur en hygiène

industrielle spécialisée en bio-environnement, a travaillé

plusieurs années dans l’US Air Force. Dans une vidéo de l’une

de ses conférences, elle explique qu’elle a rejoint l’US Air Force

à dix-neuf ans, après les événements du 11 Septembre, quelle

a prêté serment avec l’espoir de faire quelque chose de bien de

sa vie. Son emploi était dans la bio-ingénierie

environnementale. Il consistait à traquer l’impact de tout ce

que fait l’armée sur l’environnement. « Quand les gens savaient

quel était mon métier, certains me demandaient : “Est-ce que

tu as déjà entendu parler des chemtrails ?” J’ai commencé à

regarder sur le Net et j’ai vu un tas de choses liées à la théorie

du complot que j’ai évidemment voulu démonter, puisque

c’était ma spécialité de m’assurer de la bonne santé des gens.

Je suis allée sur le système informatique regarder l’Air Force

form 3952, l’agrément pour les substances dangereuses. J’ai

trouvé des tonnes et des tonnes de commandes d’aluminium,

de strontium, de baryum sous forme d’oxydes et de sulfates ; et

la feuille qui normalement contient des renseignements

détaillés pour chaque produit ne mentionnait même pas le nom

du fabricant ! Alors j’ai posé la question... »

Kristen n’a pas eu de réponse mais le retour de bâton ne s’est

pas fait attendre : elle a été dégradée, est passée en

Marines

commission de discipline puis a été immédiatement mutée

dans une autre base en Géorgie. Elle y a découvert le même

type de documents. Elle a alors testé l’air, le sol et a trouvé de

hauts niveaux de ces contaminants.

Elle raconte : « Quand j’ai posé des questions à mon nouveau

commandant, je n’aurais jamais cru, de ma vie, que quelqu’un

puisse me regarder en face et me dire : “Qu’est-ce qui ne va pas

avec vous ? Vous avez l’air très déprimée, vous savez, je peux

vous soumettre à une évaluation mentale pendant 120 jours

mais... qui prendra soin de votre fille ?” (Je venais de divorcer.)

Quand j’ai entendu ça, j’ai su que les épandages étaient vrais

et je me suis dit : j’ai passé neuf années de ma vie à essayer de

protéger la santé humaine et nous sommes les premiers ici à

violer toutes les lois. Nous sommes censés protéger les gens et

nous les empoisonnons ! Et j’étais partagée entre le courage et

la peur d’être jetée dans une cage car, quand vous êtes

militaire, vous êtes un numéro. La chance que j’ai eue, c’est

que mon engagement arrivait à sa fin. J’ai couru sans me

retourner, et depuis, je sonne l’alarme et je le crie sur tous les

toits... »

Kristen a quitté l’armée en octobre 2010. Elle avoue avoir un

mal fou à trouver du travail, parce qu’on la discrédite partout.

Les patrons se disent que c’est une balance ! « Et pourtant,

continue-t-elle, c’est bien réel. Ils gazent les gens ! Mais

regardez Snowden ! Les gens se taisent parce que les lanceurs

d’alerte ne sont pas protégés par la loi. Je suis honnête avec

vous, la géo-ingénierie est une réalité et ce sont vos impôts qui

la financent. Il y a des gens qui savent, des pilotes, ceux qui

chargent ces produits chimiques... Ces gens ne parlent pas

parce qu’ils ont peur. » Puis, s’adressant à ses ex-collègues de

l’armée, elle ajoute : « Si vous êtes prêts à mourir pour votre

pays face à un ennemi, vous pouvez dénoncer, apporter des

preuves et nous pouvons stopper ça. »

Sur un site américain[106] nommé Godlike Productions, un

biochimiste à la retraite sous le pseudo d’« Anonymous Coward

» a dévoilé le 1er avril 2012 avoir passé dix-sept ans à mettre

au point des produits chimiques destinés à l’épandage aérien et

a accepté de répondre aux questions des blogueurs. Il confirme

que des compagnies comme Evergreen acceptent de

grosses sommes d’argent pour disperser des chemtrails (ce qui

pourrait être une explication aux billets d’avion à des prix

dérisoires qu’ils proposent, explication bien plus plausible que

la compression du personnel ou l’économie de repas !). Sur les

buts éventuels des épandages, il prétend : « Beaucoup sont des

agents calmants. D’autres induisent un état de flou. Rarement,

on nous a demandé de développer des mélanges qui incitaient

à la colère ou à un comportement impétueux. 90 % de ce que

nous avons développé visait à altérer les émotions, l’humeur ou

à provoquer un certain état d’esprit.

Dans presque tous les cas, les instructions étaient très

claires, ce que nous développions devait avoir une toxicité

minimale. Naturellement, un petit pourcentage de la population

développera des tendances allergiques à un composé chimique.

Mais dans certains cas, nous sommes même allés jusqu’à

l’expérimentation animale pour nous assurer que les produits

chimiques sur lesquels nous travaillions étaient relativement

non toxiques. Je n’ai jamais travaillé sur un projet où le

résultat escompté était toxique ou mortel. » Il donne aussi des

précisions intéressantes, comme le fait que certains mélanges

sont destinés à se dissiper à des concentrations aussi faibles

qu’une part par milliard au moment où ils atteignent le sol.

D’autres sont spécifiquement conçus pour atteindre le sol et

low cost

durer jusqu’à un an, même après la pluie, le vent, la neige...

D’après lui, 99 % des pilotes de vols commerciaux ne sont

pas au courant que leur avion est en train de pulvériser des

substances, et lui-même ignorait le nom de ceux qui avaient

recours aux services de son employeur. Très souvent, les

mélanges demandés suivaient un cahier des charges très

précis, par exemple « s’atténuer aussi vite que possible, sans se

répandre très loin », ce qui laisse penser qu’ils devaient être

utilisés dans des zones très circonscrites. La barytose (maladie

due au baryum) étant une préoccupation majeure des

donneurs d’ordre, la plupart des mélanges finaux qui

utilisaient du baryum étaient conçus pour atteindre le sol à un

niveau de concentration d’une part par million, voire moins.

Est-ce qu’on lui donnait les raisons pour chaque

pulvérisation ? « Neuf fois sur dix, c’était assez évident, parce

que quand ils nous demandent de développer des composés

chimiques, ils doivent aussi nous dire ce qu’ils veulent en faire.

Pour en nommer quelques-unes : la modification du climat, des

suppresseurs d’émotions, des expectorants d’émotions, la

modification de l’environnement. » Il mentionne aussi « la

maladie et les symptômes de la grippe », parce qu’il y avait

certains projets où ils devaient « créer des symptômes », sans

causer aucun dommage réel pour les sujets. L’autre précision

est qu’aucun de ces produits n’a fait l’objet d’un brevet pour

pouvoir en garder le secret, et faire en sorte que leur existence

puisse être niée si nécessaire.

En parlant de la molécule midazolam, il avoue : « Tout ce que

je sais, c’est que c’est une drogue assez controversée. Mais en

regardant la structure chimique, ce que je peux dire, c’est

qu’elle partage certaines propriétés réactives avec des produits

chimiques élaborés dans des projets ayant l’intention de

modifier un état d’esprit. Je vais essayer de résumer le projet

sans être trop spécifique. Nous cherchions dans une famille

précise de récepteurs “G” associés à des protéines que l’on ne

trouve que dans le tissu cérébral. Le progrès réalisé est que

nous avons développé un inhibiteur pour un récepteur

spécifique de cette famille. Ce récepteur spécifique est impliqué

dans la création et le stockage de nouveaux souvenirs. En

développant un composé qui se liait au récepteur et bloquait la

liaison du composé naturel créé, nous avons obtenu un succès

mitigé dans l’inhibition de la création et du stockage de

nouveaux souvenirs. Mais les tests sur les taux de mortalité

étaient trop élevés, et le projet fut abandonné. Néanmoins, c’est

un des projets les plus intéressants sur lesquels nous ayons

jamais eu à travailler. »

Autres précisions importantes : il admet que certaines

substances créées puissent interagir avec des médicaments ;

les tests pour vérifier les effets secondaires ayant été faits

uniquement avec les médicaments les plus répandus, en vente

libre et sur ordonnance (acétaminophène, ibuprofène, etc.). Et

aussi, en ce qui concerne les personnes immunodéficiences : «

Il y a des milliers de maladies auto-immunes ; la plupart

d’entre elles rendent les personnes excessivement sensibles aux

bactéries et aux virus, pas aux produits chimiques et (de toute

façon) il était inévitable qu’il y ait un nombre marginal de

mauvais effets à ce que nous avons développé ! »

Il reconnaît avoir fait cela parce que le salaire était attractif,

mais exprime aussi beaucoup de regrets et même un problème

d’alcool depuis qu’il est à la retraite et qu’il a sans doute plus

de temps pour réfléchir à ce à quoi il a participé. De notre côté,

on comprend mieux l’inertie, la résignation ambiante, pourquoi

les gens ne pensent plus tout seuls, ne se révoltent plus. Voilà

le but de ces modifications mentales en cours depuis quelques

décennies ! C’est juste la continuité du prôné par

Zbigniew Brzeziński.

Comme le dit Alex Jones : “There’s a war on for your

mind[107]”.

Oui, nous sommes en guerre, une guerre invisible mais bien

réelle pour prendre le contrôle de nos esprits et de l’humanité.

tittytainment

LA CONFIRMATION VENANT DE L’INTÉRIEUR...

Pourquoi font-ils cela ?

Parce qu’on les laisse faire.

Michael MURPHY

Journaliste, co-producteur de

“Why in the world are they spraying ?”

Si l’invention cauchemardesque de l’épandage aérien pour le

contrôle du climat a été élaborée par des scientifiques des deux

grandes puissances engagées dans la course à l’armement, du

Russe Boudiko en 1974 à Teller et ses collègues du Laboratoire

national de Lawrence Livermore en 1997, la raison officielle a

toujours été la lutte contre le réchauffement climatique.

Cette année-là, les grandes compagnies d’assurance - celles

qui assurent les assureurs, comme la Swiss Reinsurance

Company et la Lloyd’s of London - craignaient, paraît-il, le

réchauffement climatique et les risques de pertes énormes liées

au climat. Andrew Dlugolecki, le directeur d’un de ces six plus

gros groupes d’assurance, CGNU, a traumatisé la communauté

internationale lors d’une conférence à La Haye, aux Pays-Bas,

en déclarant qu’à moins que certaines mesures ne soient prises

pour réduire le réchauffement climatique, l’industrie aurait

épuisé la totalité de la valeur monétaire de toutes les

ressources de la Terre d’ici 2065.

Edward Teller, père de la bombe à hydrogène et du bouclier

antimissile, invité à présenter ses recherches récentes au 22e

Séminaire international des urgences planétaires, à Erice en

Italie, pendant les pourparlers du protocole de Kyoto, a alors

proposé un « écran solaire global », fabriqué en relâchant

plusieurs millions de tonnes de particules réfléchissantes

d’oxyde d’aluminium dans l’atmosphère... un programme

d’épandage sur la planète entière pour pouvoir réfléchir les

dangereux rayons ultraviolets du soleil et compenser, par

l’envoi de produits chimiques dans la stratosphère, les effets

des émissions de gaz à effet de serre produits par nos activités

sur Terre...

Ce document, intitulé

[108] est en fait un véritable

plaidoyer sur les avantages économiques et le « moindre » coût

d’un tel programme. Ce dernier vise à éviter avant tout les

conséquences négatives qu’auraient sur l’économie des géants

les limitations imposées par le protocole de Kyoto à la

production d’énergie à partir de pétrole et de charbon : « Nous

concluons en suggérant que le problème du possible

changement climatique pourrait être mieux résolu par

l’application en coopération de technologies modernes que par

des mesures internationales centrées sur des interdictions. »

La science étant depuis longtemps aux ordres de ceux qui la

financent, on voit bien qu’ils ne cherchent jamais à supprimer

les causes d’un problème qui met en péril l’humanité, mais

plutôt à concevoir une solution technologique pour pallier les

conséquences de leur folie même si le remède est pire que le

mal. Tout, pourvu que l’argent continue de couler ! De la même

façon, ils parlent d’un vaccin contre les effets secondaires des

vaccins, effets que, par ailleurs, ils refusent de reconnaître !

Comme Jerry Hjelle, vice-président de Monsanto pour les

affaires réglementaires, à qui l’on posait la question de savoir si

Monsanto serait tenu juridiquement responsable si la pollution

biologique créait une super-graine ou un insecte résistant et

Le réchauffement de la planète et les

ères glacières — Perspectives pour des modulations à base

physique des changements globaux ,

qui répondit, hautain : « La résistance n’est pas quelque chose

qui nous préoccupe parce qu’on peut résoudre ce problème

avec d’autres produits ! » Mais bien sûr ! Des apprentis sorciers

fous, aveuglés par leur pouvoir, à l’instar de Lloyd Blankfein,

PDG de Goldman Sachs, qui disait : « Je ne suis qu’un

banquier faisant le travail de Dieu », et dont la mégalomanie n’a

aucune limite...

Nos vies sont à la merci de ces gens-là !

Vous remarquerez qu’ils agitent régulièrement l’épouvantail

du réchauffement climatique. Ils nous demandent, pour limiter

les émissions de C02

, de rouler plus lentement, de prendre les

transports en commun... on envisagerait volontiers de mettre

un bouchon au cul des vaches... mais personne ne parle jamais

de réduire les incomparables excès de l’industrie chimique ou

agro-alimentaire : est la seule devise

qui prévaut. Les multinationales de l’agro-alimentaire

continuent par exemple de détruire les forêts amazoniennes

pour cultiver du soja OGM, ou fabriquer des catalogues

publicitaires jetés l’instant d’après... toutes ces choses, alors

que la nature est bien faite ! Les arbres, eux, aiment le C02

; et

ils seraient ravis de nous en débarrasser !

Encore une fois, ils détruisent l’équilibre naturel et pallient

leurs méfaits par un autre, plus grave. C’est la fuite en avant

des apprentis sorciers qui tiennent notre planète. Même

fumisterie qu’avec leur théorie sur la nécessité d’épandre pour

bloquer le soleil mais, dans ce cas, la photosynthèse ne peut

plus se faire, les plantes n’absorbent plus le CO ?

, donc les gaz

à effet de serre augmentent et le résultat est l’inverse de celui

prétendument recherché ! Surtout que le CO2 ne représente

que 0,05 % des composants de l’atmosphère ; c’est la vapeur

aucune entrave au profit

d’eau qui est l’agent majeur de l’effet de serre. Comme

l’explique Claire Henrion : « Quand ils épandent, l’atmosphère

se réchauffe, les sols se dessèchent et cette humidité monte et

se répand dans l’atmosphère, créant l’effet de serre. »

De là à croire que le réchauffement climatique n’est pas la

vraie raison des épandages...

On ne peut que s’interroger quand on sait que Zbigniew

Brzeziński, Initié parmi les initiés, écrit à la page 28 de son

livre

[109]

[110]

, paru en 1970 (il y a donc plus de quarante

ans) : « Non seulement de nouvelles armes ont été développées,

mais certains des concepts basiques de géographie et de

stratégie ont été fondamentalement altérés ; l’espace et le

contrôle du climat ont remplacé Suez ou Gibraltar comme

éléments clé de la stratégie. »

Éminence grise des présidents américains (démocrates ou

républicains) et des élites de ce monde, Conseiller national à la

sécurité sous Jimmy Carter, travaillant pour les services

secrets sous Ronald Reagan et Bush père, co-fondateur de la

Commission Trilatérale et toujours, à quatre-vingt-sept ans, au

chevet d’Obama... monsieur Brzeziński ne nous a pas habitués

à des ouvrages de science-fiction. De la « société 20/80 » vers

laquelle on nous pousse de plus en plus méchamment, au

, mélange d’aliments physiques et psychologiques

pour endormir les masses et contrôler leurs frustrations et

protestations prévisibles, dont on sait à quel point il nous a été

imposé ces dernières années, des émissions télé débiles au

fluor dans l’eau du robinet, tout ce qu’il a décrit nous est arrivé

!

Between Two Ages : Americas Rôle in the Technetronic

Era (Entre deux époques: le rôle de l’Amérique dans l’ère

technétronique )

tittytainment

Quand il parle de la modification climatique, c’est

précisément et uniquement comme d’une arme nouvelle

absolue, citant le spécialiste Gordon J. F. MacDonald[111] :

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