LA GUERRE SECRÈTE CONTRE LES PEUPLES part 02

 au courant du procédé décrit dans le rapport de l’Académie des

sciences mais se refuse toujours à envisager qu’il ait été mis en

application ! Comme ça, d’entrée, sans le moindre doute, sans

se poser la moindre question ! L’argument étant que pour que

ces pulvérisations chimiques aient un réel effet sur la

modification du climat, elles devraient être effectuées dans le

monde entier, sur des zones immenses et avec une grande

fréquence. « Un projet coûteux demandant de vastes

investissements et présentant d’incalculables risques. Et selon

toute probabilité, il n’est pas en application. Bien qu’on ne

puisse pas exclure la possibilité que des essais de pulvérisation

aient eu lieu... » concède tout de même Kristine Läger.

Mais c’est précisément ce que des milliers de témoins

décrivent, ces épandages de traînées blanches de plus en plus

fréquents au-dessus de nos têtes d’un bout à l’autre de la

planète !

Pourtant Greenpeace continue à faire comme si le sujet

n’existait pas ! Comment dès lors ne pas penser qu’il pourrait

effectivement y avoir une connivence Nations unies-IPCCGreenpeace ? Est-ce que l’ONG, censée être toujours aux

avant-postes pour surveiller l’ennemi, aurait reçu des

instructions de « là-haut » ?

DIS-MOI QUI TE FINANCE...

Parce qu’en y regardant de plus près, si Greenpeace assure

tenir à son indépendance et ne pas recevoir d’argent des

gouvernements ni des corporations, en revanche, il ne crache

pas sur celui des fondations, dont certaines appartiennent à

des individus qui n’ont pas fait leur beurre dans l’humanisme

et ne cachent pas leur dessein eugéniste !

Ainsi, selon la base de données de Green Tracking Library, la

Fondation Rockefeller, le Rockefeller Brothers Fund, la

Fondation Turner, pour ne citer qu’eux, sont de généreux et

réguliers sponsors de l’organisation[25]. Respectivement 1,080

millions de dollars de 1997 à 2005 et 1,390 millions de dollars

entre 1996 et 2001.

Là où ça sent mauvais, c’est que Greenpeace a monté Exxon

Secrets, prenant ainsi la tête d’une campagne très virulente

contre le groupe pétrolier ExxonMobil et ses agissements

depuis une dizaine d’années visant à décrédibiliser les

scientifiques qui prétendent qu’il est urgent de régler le

problème du réchauffement climatique. Exxon Secrets détaille

toutes les institutions climato-sceptiques financées en sousmain par Exxon afin de miner et de faire échouer toute solution

avancée. Il démontre comment le groupe intrigue et influence

les législations, les gouvernements et les médias à l’échelle

mondiale, faisant reculer Exxon, qui a même fini par admettre

avoir grassement payé des scientifiques véreux pour qu’ils

écrivent de faux rapports niant le réchauffement de la

planète[26].

Or, Exxon-Mobil sont, toutes deux, des compagnies du

groupe Rockefeller, nées en 1911 du démantèlement de la

Standard Oil, créée par John D. Rockefeller et son frère William

« Old Bill » Rockefeller (qui achetait du pétrole brut pour le

revendre aux paysans naïfs sous le nom de Nujol en

leur faisant croire que c’était un traitement miracle contre le

cancer, l’impotence et les morsures de serpent), pour délit de

monopole et racket !

Comme il est franchement impossible de croire que les

Rockefeller sont du genre à tendre l’autre joue quand ils se font

battre et à verser de l’argent à un groupe qui travaille contre

leurs intérêts, on ne peut qu’en déduire qu’il pourrait s’agir

d’une stratégie pour contrôler les opérations...

Autre exemple : pour ceux à qui il reste quelques illusions, la

branche américaine des Amis de la Terre (Friends of the Earth)

a reçu 100 000 dollars du Rockefeller Brothers Fund en 2004,

alors qu’en 1999, elle a participé à une campagne anti ExxonMobil, allant jusqu’à verser 40 000 dollars à cette fin[27]. WWF

(World Wild Life Fund) et son gentil panda roulent aussi avec

l’argent des géants du pétrole. Godfrey Rockefeller en est le

cofondateur avec Julian Huxley (frère d’Aldous) et le prince

Bernhard des Pays-Bas avec qui il a aussi fondé le groupe

Bilderberg et dont on connaît les gentilles pensées à notre

égard ! Les chaises tournent sans états d’âme entre tout ce

beau monde : Royal Dutch Schell[28], par exemple, dont le

président de quinze ans, John Loudon, est devenu plus tard

PDG de WWF pendant quatre ans ! D’après infowars.com et le

site de surveillance ActivistCash.com, WWF a continué à

prendre l’argent du pétrole pendant quarante ans, jusqu’en

2000, tandis que le Sierra Club s’approvisionnait en chez

Standard Oil, comme Greenpeace. Notez que Dow Chemical

(armes au plutonium, agent orange, catastrophe de Bhopal,

dioxine, napalm et le dibromure d’éthylène...) sponsorise bien

[new oil],

cash

les Jeux olympiques à hauteur de cent millions de dollars sur

dix ans de 2010 à 2020 !

Il est certain que l’argent n’a pas d’odeur, mais surtout,

comme le disait Paul Watson, un des fondateurs de Greenpeace

: ,

n’est pas la vérité qui importe, c’est ce que

les gens croient être vrai.) Et la liste des prises de position

douteuses de ces ONG écologistes est longue : en 2000,

signature d’un partenariat d’un montant de 1,1 million d’euros

annuel entre le WWF et le cimentier Lafarge. Mais si le groupe

a effectivement réduit de 21,7 % ses émissions de C02 par

tonne de ciment produite, il est accusé par le Réseau Action

Climat d’Europe de financer des sénateurs américains climatosceptiques[29] ! La même année, WWF s’est ouvertement opposé

à PETA[30] qui demandait l’arrêt de programmes de tests de

substances toxiques sur les animaux[31] ; on ne compte plus les

fois où l’ONG a été prise flirtant avec Monsanto (OGM), Unilever

ou Wilmar (huile de palme et soja en Indonésie) et beaucoup se

souviendront du scandale de la chasse à l’éléphant à trente

mille euros du roi Juan Carlos, en 2012, en pleine crise

financière et pendant qu’il présidait l’association pour

l’Espagne.

«Qui a tué l’écologie ?» demande Fabrice Nicolino. Les ONG

écologistes, dont beaucoup ne sont plus que de véritables

pompes à fric au service des multinationales et du

mondialisme, qui ferment les yeux devant les causes vitales

pour nous mais n’hésitent pas à falsifier des documents ou des

photos pour émouvoir les gens et chouchoutent les vieilles

dames seules pour être couchés sur leurs testaments. Pendant

ce temps, 865 millions de dollars sont accordés à Shell pour la

recherche sur la capture de CO2 par le gouvernement

“It doesn’t matter what is true it only matters what people

believe is true !˝ (Ce

canadien, sans qu’aucune de ces ONG ne proteste...

Par contre, Greenpeace s’acharne à dénoncer une entreprise

américaine, Koch Industries, peu connue du grand public,

mais quelque 115 milliards de revenus annuels quand même,

dont les financements aux groupes qui huilent la « machine à

nier le dérèglement climatique » dépassent de loin celles

d’ExxonMobil : plus de 70 millions de dollars de subventions

attribuées par Koch Industries depuis 1997, contre 27 millions

de dollars pour Exxon[32]. En fait, je ne vois pas trop en quoi les

climato-sceptiques sont pires que ceux qui se taisent devant les

manipulations climatiques et épandages en tout genre ! La

route de l’enfer climatique est pavée des profits des

corporations et des ONG ! Tout le monde s’y retrouve, sauf

nous !

Pour en revenir à Koch Industries, c’est un conglomérat

d’une vingtaine d’entreprises, principalement dans le secteur

de la pétrochimie, grand pollueur devant l’éternel, condamné

dans sept états américains pour crimes contre l’environnement

et à 25 millions de dollars d’amende pour avoir volé le pétrole

des terres fédérales et des réserves indiennes ! Comme Carlyle

Group et d’autres sociétés aux agissements pas très nets, Koch

Industries n’est pas coté en Bourse, ce qui lui permet de

magouiller plus librement et plus discrètement ! Présente dans

près de soixante pays, elle emploie 70000 salariés mais, à

l’exception de ses quelques produits commercialisés en France

tels que les cotons Demak’up, le papier-toilette Lotus ou encore

les textiles synthétiques Lycra, on n’en sait pratiquement rien.

En fouillant un peu, on apprend que les frères Koch, à qui elle

appartient possèdent la sixième fortune des États-Unis (devant

Michael Bloomberg et George Soros ), et quelle

dépense 5,738 millions de dollars par an pour les campagnes

(no kidding !

politiques de députés et sénateurs de tous bords et 37,96

millions en direct... On comprend pourquoi ils captent

plus facilement l’oreille des politiciens que nous !

En parlant de politiciens...

lobbying

CE CHER AL GORE...

Il y a quelques mois, Ellen DeGeneres recevait Al Gore dans

son émission et lui demandait si le projet d’épandages pour

bloquer le soleil était une réalité. Immédiatement, sur le Net, de

nombreux sites criaient victoire : « Al Gore reconnaît

publiquement l’existence des » C’est faux, il a

simplement dit que c’était une idée de certains scientifiques

qu’il trouvait complètement folle et qu’il fallait « surtout lutter

contre l’horrible pollution humaine responsable du

réchauffement climatique ». Depuis qu’il a perdu les élections

face à Bush, Al Gore promène sa carbophobie dans les médias

du monde entier pour demander la diminution de la

consommation des énergies fossiles et l’accroissement massif

des énergies renouvelables, un « impératif moral » selon ses

propres mots... Jusque-là, ce serait plutôt bien, on pollue de

toute façon beaucoup trop la planète, sauf qu’il devrait ajouter

: « Faites ce que je dis, pas ce que je fais ! »

En 2007, Albert Arnold Gore Junior reçoit le prix Nobel de la

paix en même temps que l’IPCC, « pour leurs efforts visant à

renforcer et propager la prise de conscience des changements

climatiques ... » Thèse qui, pourtant, ne fait pas

l’unanimité ! « Le climatologue américain Richard Lindzen,

professeur au Massachusetts Institute of Technology, estime

que les prévisions émises par l’IPCC comportent une marge

d’erreur de 400 %. Même le vice-président de l’IPCC, Yuri

Izrael, affirmait en 2003 que « toutes les preuves scientifiques

semblent soutenir la même conclusion générale, celle que le

protocole de Kyoto est cher, inefficace et basé sur de la

chemtrails !

dus à l'homme

mauvaise science. » Et en 2005 : « Il n’y a pas de lien prouvé

entre l’activité humaine et le réchauffement climatique. »

Aux États-Unis, l’ancien président de la National Academy of

Sciences, Frederick Seitz, a lancé une pétition signée par plus

de 17000 scientifiques, dont 2660 physiciens, géophysiciens,

climatologues, météorologues et océanographes des plus

grandes universités du monde, remettant en question la thèse

du GIEC/IPCC[33] », considéré par beaucoup comme un organe

de propagande onusien. Il faut savoir que l’IPCC est un

organisme gouvernemental, placé sous la responsabilité de

l’ONU, avec pour mission d’évaluer les risques liés au

changement climatique d’origine humaine... et d’en ignorer

toutes les autres causes ; que la nomination de ses membres

est politique, et que ce n’est donc pas cette cellule de

scientifiques émérites et neutres que l’on nous présente dans la

presse.

Quant à Al Gore, il a reçu ce prix Nobel pour son

documentaire sur le réchauffement climatique :

(Une vérité qui dérange), déjà couronné par deux Oscars à

Hollywood. Le film, diffusé dans les collèges de GrandeBretagne, a été passé au crible par la justice anglaise après la

plainte d’un proviseur d’un lycée du Kent, l’accusant de faire

du lavage de cerveau. La Haute Cour de justice de Londres, la

plus haute juridiction britannique, a répertorié « neuf erreurs »

et ordonné que la projection soit accompagnée d’un guide

étayant les rectifications à apporter au long-métrage. Et conseil

a été donné aux enseignants de mener la contradiction lors des

projections pour contrebalancer le point de vue propagande

catastrophique du film.

Qu’importe ! Devenu la star des écologistes, le chantre du «

An inconvénient

truth

haro sur le C02

», qui a quitté la vice-présidence en 2000 avec

un actif déclaré de deux millions de dollars, une maison en

Virginie et la ferme familiale du Tennessee, a depuis gagné

suffisamment d’argent pour investir 35 millions de dollars à

travers le fonds Capricorn Investment Group, appartenant à

Jeffrey Skoll, ancien président d’eBay, et producteur exécutif

du documentaire en question[34].

D’après un article de fastcompany.com, sa fortune excéderait

les cent millions de dollars, incluant ses royalties sur le pétrole,

ses actions de Google et Apple, les recettes de son film et de

son livre et les gains de ses innombrables conférences (un bon

millier, pour lesquelles il demande un cachet de 175000 dollars

par intervention). Notez qu’à ce prix-là, ça motive pour sortir de

chez soi, même les soirs de mauvais temps ! D’où, peut-être,

son militantisme effréné... qui l’oblige évidemment à se

déplacer en 4x4 et à prendre l’avion constamment pendant qu’il

nous somme de nous remettre à la patinette pour arrêter de

produire du gaz carbonique. Et d’après le Centre de recherche

politique du Tennessee, « la propriété du zélote de

l’environnement consommerait plus d’électricité en un mois

qu’un foyer américain en un an. À cette critique, il fut répondu

qu’il compensait en achetant des sur le carbone[35]... » Ni

plus ni moins que des droits à polluer.

C’est-à-dire que ceux qui polluent peuvent se racheter, par

exemple, en payant pour planter des arbres ailleurs, qui sont

censés compenser la pollution qu’ils ont produite. Donc,

effectivement, plus on est riche, plus on peut se permettre de

polluer puisqu’on a les moyens de payer et, dans le cas d’Al

Gore, c’est comme dirait Fabrice Luchini -, parce qu’il

touche le pactole quand il pollue et il est l’un des actionnaires

principaux du premier de carbone ! Cela dit, il

swaps

Énorme -

stock exchange

n’a rien inventé : ça rappelle le commerce des indulgences dans

la religion catholique il y a quelques siècles ! La bonne

nouvelle, c’est qu’on peut donc facilement s’arranger avec un «

impératif moral » !

Très gênant aussi tout ce qui suit : il possède avec son

associé David Blood, ancien PDG de Goldman Sachs Asset

Management et Henri M. « Hank » Paulson, secrétaire au Trésor

et ancien PDG de Goldman Sachs, un fonds d’investissement,

le Génération Investment Management LLP, créé pour spéculer

sur les marchés de droits d’émission de carbone, donc pour

tirer profit de la situation qu’il dénonce. Ensuite, il est

intéressant de voir qu’il ne donne pas ses conférences pour

avertir les citoyens d’une situation alarmante, mais

devant des parterres de dirigeants de compagnies importantes

et que, pendant qu’il parle, on voit apparaître sur l’écran des

images de panneaux solaires, de cars électriques, de

biocarburants, des tas de nouvelles technologies développées

par les petites dont le GIM est actionnaire... Et il

multiplie ses investissements en faisant la promotion de ces

compagnies. Le GIM a donc été spécifiquement créé pour aller

dans le sens de ses intérêts financiers personnels

[36]

. Il a

d’ailleurs conclu un partenariat avec Kleiner Perkins Caufield

& Byers (KPCB), une société de capital risque pour trouver et

financer des entreprises vertes. Mais KPCB investit aussi dans

des industries qui n’ont rien de « vert », comme Great Point

Energy, Terralliance Technology, Glori Oil... toutes des sociétés

liées à l’exploitation du pétrole. Tout ce joli monde est dans les

, prêt à se gaver sur le négoce du crédit carbone

dès que les États feront passer les lois, soit en investissant

dans le secteur soit en recevant des subventions pour le faire[37]

!

lambda

start-up

starting-blocks

On sait que Goldman Sachs a déjà financé plusieurs instituts

afin de rechercher des options politiques pour la

réglementation américaine sur les gaz à effet de serre. La firme

a aussi financé des projets de nouvelle énergie pour un milliard

de dollars. Morgan Stanley s’est engagé à hauteur de trois

milliards, Citigroup, Bank of America et, bien sûr, la Banque

mondiale ont, eux aussi, rejoint le marché des émissions

négociables.

Un blog de la Banque mondiale appelé « Blog de

développement du secteur privé » vante d’ailleurs régulièrement

les articles d’Al Gore et son concept de crédit carbone, ses

articles qui annoncent des initiatives « vertes » dans lesquelles

les crédits carbone sont faussement présentés comme annulant

les émissions de «mauvais» CO2

... La même Banque mondiale

qui dirige le Fonds de carbone pour l’Europe, dont les fonds

sont négociés au travers de ECX (European Climate Exchange)

qui appartient pour 50 % à CCX (Chicago Climate Exchange), le

premier et le plus ancien marché d’échange des émissions de

carbone en Amérique et dont le GIM d’Al Gore est un important

actionnaire.

Et comme il n’y a pas de petits profits, un site affilié à

, le film d’Al Carbone, incite les particuliers à

racheter leur attitude de pollueurs invétérés en achetant des

bons de crédit pollution à une compagnie qui porte le nom de

Native Energy et qui aurait pour projet d’installer des éoliennes

dans les réserves indiennes. C’est tellement émouvant : enfin

une corporation américaine va s’occuper du bien-être des

Indiens[38] ! Cher Al Gore, qui se donne à fond, appelant les

philosophes, les religieux partout dans le monde à

sauver la planète du réchauffement, mais qui est si discret sur

ses associés !

Une

vérité qui dérange

leaders

Parce qu’au conseil de ce CCX, on trouve Maurice Strong.

Homme d’affaires et homme politique canadien, il commence sa

carrière dans le pétrole. À vingt-cinq ans à peine, il est viceprésident de Dôme Petroleum, puis devient directeur de la

Fondation du Forum économique mondial, qui est à l’origine

des Sommets de la Terre,

Cette même année 1972, il

participe également à la Fondation Rockefeller en tant

qu’administrateur et membre du comité exécutif. De 1976 à

1978, il est directeur général de Petro-Canada. Il est l’un des

membres fondateurs de l’IPCC, ainsi que vice-président du

WWF. C’est lui qui a dirigé la mise en place des protocoles de

Rio de Janeiro et de Kyoto. Il a aussi dit en public : « Il est

possible que nous en arrivions au point où, pour sauver le

monde, la solution sera l’effondrement de la civilisation

industrielle[39]. »

C’est sûrement par crainte de voir ce jour arriver qu’il se

dépêchait d’engranger le plus de profit possible, jusqu’à ce

qu’en avril 2005, il soit démissionné par l’ONU, mis en cause

personnellement par l’enquête sur le scandale du programme

onusien « Pétrole contre nourriture » en Irak. « Strong a en effet

encaissé un chèque de 988 885 dollars de la main de Tongsun

Park, un sud-coréen qui fut inculpé en 2006 par

la Cour fédérale de New York dans le détournement du

programme en faveur de Saddam Hussein[40]. » Ce chantre de

l’environnement et partisan du développement durable s’exile

alors en Chine où il rejoint l’Asian Power Group qui investit

dans des projets de centrales électriques au en Chine.

Ce qui n’a pas du tout l’air de déranger son associé Al Gore !

Mais, suis-je bête, il est vrai qu’il a, lui aussi, les moyens

d’acheter des crédits carbone, donc tout va bien da



meilleur des mondes !

Juste pour le dans le panier de crabes, la banque du

GIM était Lehman Brothers qui avait beaucoup investi dans le

secteur et avait publié , un

rapport qui disait prévoir l’évolution du climat jusqu’en 2100 et

faisait des pointant les bénéfices colossaux à

attendre des subventions publiques considérables engendrées

par le système du protocole de Kyoto.

Le consultant scientifique de Lehman Brothers était James E.

Hansen, directeur de l’Institut Goddard des études spatiales de

la NASA et père de la théorie de l’effet de serre. Il était aussi

président du conseil d’administration de l’Alliance pour la

protection du climat, dont le but est de « persuader les gens de

l’importance, de l’urgence et de la faisabilité d’adopter et de

mettre en œuvre des solutions réelles et complètes face à la

crise climatique ». Al Gore en est le fondateur et le président

actuel ; le directeur général était

Théodore Roosevelt IV, qui était aussi, par le plus grand des

hasards, directeur général de Lehman Brothers et président du

Pew Center for Global Climate Change[41]. Que le monde est

petit ! Et le destin facétieux, quelquefois : Lehman Brothers,

qui se targuait de prévoir le temps dans cent ans pour rassurer

ses investisseurs, n’avait même pas prévu qu’il allait faire

faillite bien avant !

Mais alors qui est vraiment M. Propre ?

Son père, Al Gore Sr., a rencontré Armand Hammer, le PDG

d’Occidental Petroleum (OXY pour les intimes), à une vente aux

enchères de bétail dans les années quarante et Gore Vidal,

romancier célèbre et cousin d’Al, raconte que le sénateur Albert

Arnold Gore premier du nom a bénéficié des largesses du

fun,

The Business of Climate Change

business plans

magnat du pétrole, en échange de faveurs politiques.

La maison des Gore à Carthage est assise sur des mines de

zinc dont Hammer achète la concession et qui rapporte dans

les vingt mille dollars par an de royalties. Qu’importe si l’État

du Tennessee a déjà assigné plusieurs fois la société pour

violation constante des règles sur la pollution

environnementale pour avoir déversé de larges quantités de

baryum, de fer et de zinc dans la rivière Caney Fork toute

proche. Non seulement M. Gore ne fait rien pour arrêter les

dommages, mais ses voisins ont confié au

que ces actions le mettaient très en colère[42] ! Cette société a

aussi fait scandale en rejetant des milliers de litres de produits

toxiques à Love Canal, une banlieue résidentielle de Niagara

Falls dans l’État de New York, causant des fausses couches,

des anomalies congénitales, et un nombre anormal de cancers

parmi ses habitants.

Le nouveau PDG d’Oxy est toujours resté lié à son important

actionnaire (Gore a reconnu avoir détenu jusqu’à un million de

dollars d’actions d’Occidental Petroleum dans sa dernière

déclaration de revenus avant de quitter le gouvernement), ne

ménageant pas sa générosité au moment de la campagne

électorale Clinton/Gore. Et bien sûr, il apparaît que Gore a

renvoyé l’ascenseur au centime près, en permettant à Oxy

d’acquérir 47 000 acres (23 000 hectares) et les droits de forage

du gisement pétrolifère d’Elk Hills (Naval Petroleum Reserve n°

1), propriété de l’État fédéral en Californie. Tant pis si Elk Hills

faisait partie des terres traditionnelles de la tribu Kitanemuk

depuis des milliers d’années et si les sépultures sacrées et les

vestiges archéologiques furent complètement détruits ;

l’évaluation et la transaction ont été pliées en un temps record,

dira Peter Eisner, directeur du Centre d’intégrité publique.

Wall Street Journal

Mais comme ces gens-là sont quand même des êtres sensibles,

en réponse aux requêtes des chefs indiens qui demandaient

que les cimetières ne soient pas totalement détruits, qu’il reste

au moins une trace de leur vécu sur cette Terre, on leur donna

l’autorisation d’emporter dans des boîtes les vestiges qui

avaient le plus de valeur à leurs yeux, pour les déposer à

l’Université de Californie à Bakersfield[43] !

On imagine qu’Al l’humaniste n’en a pas perdu le sommeil

puisque déjà, lors de la campagne de 2000, les écologistes

protestaient contre ses liens avec Oxy, dans une affaire

semblable : il s’agissait alors de forages en Colombie, près du

terrain sacré de la tribu U’wa. Pendant la vice-présidence de

leur influent ami, Oxy, qui avait versé des millions en aide

militaire au gouvernement colombien pour protéger ses

des rebelles armés, était poursuivi car des avions de

la compagnie avaient été utilisés par l’armée colombienne pour

une opération qui avait fait dix-huit morts parmi les paysans

U’wa. Désespérés, les cinq mille membres de la tribu, menacés

par les forages, décidaient de se suicider tous ensemble.

Gore, qui ne perd jamais une occasion de nous parler de

conscience, refusa de rencontrer le représentant de la tribu

venu plaider leur cause à Washington. Et si Oxy a fini par se

retirer, il n y a vraiment été pour rien. Alors, quand ce cher

homme fait le dégoûté : « Il n’y a pas de pétrole éthique, il n’y a

que de l’huile sale et de l’huile encore plus sale », on imagine

l’enfer qu’est sa vie, lui qui est dans le pétrole jusqu’au cou !

D’autant que, tout comme pour Bush, ce sont les pétroliers qui

ont en grande partie financé sa campagne : de BP à Amoco,

Exxon, Chevron et d’autres... alors qu’il se présentait comme

écolo-démocrate. Ce qui en dit long sur le personnage, quand

on sait que c’est à lui et à Bill Clinton, quand ils étaient à la

pipelines

Maison-Blanche, que l’on doit l’Accord de libre-échange nordaméricain (ALENA), traité qui définit les réglementations sur

l’environnement comme des « distorsions de marché » illégales,

relevant des tribunaux[44]. Il faut dire qu’il doit être bien briefé :

son cousin germain par alliance est Michael Taylor, l’avocat de

Monsanto !

La touche finale étant les soixante-dix millions de dollars net

qu’il a reçus pour ses 20 % d’actions de la chaîne Current TV

Network, vendue au groupe qatari Al Jazeera Media Network.

« Comment le magnat Al Gore coexiste-t-il avec le militant Al

Gore ? » demandait le présentateur télé Jon Stewart dans son

Avec une bonne dose d’arrogance et de cynisme,

j’imagine, mais depuis qu’il a écologisé son compte en banque,

ce dernier enfle à vue d’œil ! Et son train de vie affiche l’inverse

de ce qu’il prône : un manoir de plus de 3 000 m2, avec vingt

pièces, dans la banlieue chic de Nashville et une maison de 8,9

millions de dollars face à l’océan à Montecito, California, qu’il a

achetée après son divorce ; une note d’électricité de 221000

kWh publiée en 2007 juste pour la maison de Nashville,

pendant qu’il nous prêche l’abstinence !

Le problème n’est pas seulement le double jeu de Gore et son

hypocrisie, c’est qu’encore une fois, tout ce qu’on nous raconte

est faux. S’il croyait sincèrement à l’avenir apocalyptique qu’il

prédit à notre planète à moins de changements radicaux dans

la façon dont les humains vivent, Al Gore ne commencerait-il

pas par les faire dans sa propre vie ?

show.

LA PETITE BOUTIQUE DES HORREURS

Notre travail est de donner aux gens non pas ce qu’ils

veulent, mais ce que nous décidons qu’ils doivent avoir

Richard SALANT

Ex-président de CBS News

Il faut le dire : c’est l’attitude la plus répandue dans les médias.

Ne sont pas nombreux ceux qui osent s’opposer aux idées

reçues d’en haut, ceux qui portent encore la fierté de leur

métier qui est d’informer, donc d’enquêter pour chercher la

vérité au lieu de recracher le catéchisme des élites, ceux qui

préfèrent encore leur liberté aux budgets publicitaires.

Le magazine en fait partie,

puisqu’il a publié un article de Richard Freeman et Marcia

Baker Joyeux dans le numéro du 30 mars 2007 intitulé «

L’escroquerie du marché du carbone derrière le canular Gore »,

expliquant que la nouvelle pièce maîtresse de l’oligarchie

financière, qui a déjà provoqué la hausse folle du pétrole et des

matières premières entre 2003 et 2006, est de créer et

d’exploiter une nouvelle bulle financière qu’est la spéculation

sur le marché d’échange des émissions de carbone au travers

du Chicago Climate Exchange (CCX).

L’idée est que si les gouvernements plafonnent les émissions

de C02

, le marché va s’emballer pour l’achat et la vente des

crédits carbone. S’exprimant devant une audience au Comité

scientifique de l’énergie en 2007, Mister Gore ne cachait

d’ailleurs pas son jeu vis-à-vis des membres présents : «

Aussitôt que le carbone aura un prix, il y aura des

investissements à la chaîne ! » C’est tout l’intérêt du plan

Executive Intelligence Review

cap-

(chapeauter et échanger) pour le CO2.

Et l’on a compris que Gore, son charisme, sa crédibilité ont

été choisis pour faire entrer dans la tête des gens l’idée selon

laquelle il faut réduire les niveaux de CO2 dus à l’activité

humaine et éventuellement réduire la population humaine ellemême, responsable de la pollution qui va nous tuer tous, si l’on

ne fait rien... Avant, l’escroquerie, pour imposer les OGM, était

qu’on était trop nombreux pour pouvoir nourrir tout le monde

naturellement sur la planète ; maintenant, le coupable, c’est le

CO2

, on est trop nombreux à respirer, à consommer... La

constante, c’est que, dans tous les cas, ils veulent supprimer

une grande partie d’entre nous ! Et la manœuvre de ces

écoterroristes est de nous culpabiliser, de nous faire peur et de

nous manipuler afin qu’on se laisse imposer les épandages et

de nouvelles taxes sous le couvert de changement climatique.

Même chose que pour la crise économique et la dette abyssale

qu ont faites, où à partir de treize mille euros par an, on

prend 7 % aux retraités parce que « tout le monde doit

participer à l’effort national », mais rien aux parlementaires qui

touchent à peu près cette somme (en grande partie

exempte d’impôts et de charges sociales), parce que ça ne

résoudrait rien !

Pourtant, si réchauffement climatique il y a, et s’il est dû à la

pollution, nous verrons plus loin que ce n’est certainement pas

nous qui polluons le plus ni qui voulons ce système !

Le même journal accusait Al Gore d’être l’un des colporteurs

les plus zélés du Mémorandum 200[45] (NSSM200), étude de

sécurité nationale d’Henry Kissinger qui vise à exterminer en

premier les populations de la planète à la peau la plus foncée.

Il a d’ailleurs écrit la préface du livre de Paul et d’Anne Ehrlich,

and-trade

'ils

par mois

-

, et approuvé,

paraît-il, leur demande de mesures radicales pour réduire la

population dans les pays les plus pauvres

[46]

!

La diabolisation actuelle des énergies fossiles y participe,

puisqu’elle permet aux cartels de s’assurer, avec la complicité

des politiques, qu’après être allés les piller, ils ne subiront pas

la concurrence des pays émergents. Tant pis pour les milliards

d’humains qui auraient, à leur tour, un besoin vital d’énergie

en grande quantité et peu chère pour atteindre une certaine

qualité de vie dont nous, les Occidentaux, profitons depuis

longtemps. Le Dr Patrick Moore, un des co-fondateurs de

Greenpeace (qui se démarqua totalement de l’ONG par la suite)

accuse : « Le mouvement environnemental est devenu la plus

grande force qui existe pour empêcher l’essor des pays en voie

de développement [...] Je pense qu’il est légitime de le qualifier

d’anti-humains[47]. »

Mais surtout, comme d’habitude, c’est la technique du

magicien qui bouge sa main droite pour fixer l’attention des

gens pendant qu’il fait son tour de la main gauche ! En

focalisant les esprits sur le réchauffement climatique, avec un

but aussi extraordinaire que celui de sauver la planète, on

occulte les pesticides, le mercure, la dioxine, les métaux lourds,

tout ce qui met réellement nos vies en danger mais qui fait le

pactole des cartels pharmaceutiques et de l’agrochimie qui

peuvent continuer à nous empoisonner en paix ! Ils justifient

aussi les épandages pour le jour où ils ne pourront plus les

nier.

On imagine ce que cela va donner avec le traité de libreThe Population Explosion : From Global Warming to Rain Forest

Destruction Famine and Air and Water Pollution Why

Overpopulation Is Our #1 Environmental Problem

échange transatlantique ! Tous les manques à gagner qu’ils

vont pouvoir nous facturer, complètement virtuels, magouillés,

toutes les taxes qui vont nous être imposées ! Il suffit de

regarder ce qu’il se passe aux États-Unis, comme d’habitude,

pour savoir ce qui nous attend. Le US Climate Action

Partnership (USCAP), créé en janvier 2007, est une coopérative

d’organisations environnementales et dont le but

premier est d’obtenir que « le gouvernement légifère dans le

sens de la réduction des émissions de gaz à effet de serre ».

Oui, mais parmi les membres fondateurs, on trouve les plus

gros pollueurs : DuPont, Dow Chemical, Shell, BP America,

ConocoPhillips, General Electric, Duke Energy, PepsiCo... que

des gens qui n’ont aucun intérêt à réduire leur , l’un

des premiers responsables de l’effet de serre.

Dans leur charte, « Un appel à l’action », ils s’engagent à

travailler avec le président, le Congrès et tous les acteurs de la

filière « pour mettre en place un programme de changement

climatique pour l’environnement,

économiquement et en accord avec nos principes,

le plus rapidement possible ». Aïe ! aïe ! aïe ! « Efficace pour

l’environnement », ce n’est qu’un gros mensonge puisqu’ils

militent d’un côté et polluent de l’autre - les cavaliers appellent

ça l’indépendance des aides - mais et , cela

veut dire que ce sont les populations qu’ils entendent faire

payer... Ces coupables qui préfèrent des petites voitures diesel

tellement polluantes aux voitures électriques, qui ne peuvent

s’offrir que de la viande industrielle... qui font que les vaches

aussi sont beaucoup trop nombreuses -même si je pense qu’il

faut arrêter de manger de la viande pour ne plus cautionner la

façon dont les animaux sont traités et pour ne pas être

malades. Ils vont donc mettre en place des mesures radicales :

business

business

juste, efficace

supportable

juste supportable

le co-voiturage, les vaches qui n’auront le droit de péter que les

jours pairs ou impairs... pendant qu’ils investissent tous à fond

dans les entreprises de géo-ingénierie.

Il suffit pourtant de comparer quelques chiffres à nos

prétendues responsabilités : dans les recherches effectuées par

William Thomas, l’US Air Force a consommé 2,6 milliards de

gallons (1 gallon = 4 litres) de carburant en 2006. Un seul F-15

brûle environ 1 580 gallons à l’heure. Un hélicoptère Apache

fait environ un demi-mile au gallon. Les chars M1 Abrams, en

Irak, consomment cinq gallons au kilomètre...

Un seul transporteur non nucléaire à la vapeur, en appui,

brûle 5 600 gallons de combustible en une heure -soit deux

millions de gallons de mazout tous les quatorze jours. Tous les

quatre jours, chaque transporteur en mer utilise un autre

demi-million de gallons de carburant pour alimenter ses jets.

Pendant qu’il vole pour une mission chemtrails de deux à

cinq heures, un seul ravitailleur KC-10 brûle 2 050 gallons de

carburant hautement toxique à l’heure. Le KC-135

Stratotanker, plus grand et plus vieux, transporte 31 275

gallons de produits chimiques d’épandage et brûle 2 650

gallons de carburant par heure.

Ajoutons à cela la consommation et les déchets de HAARP,

dont nous parlerons plus tard... nous sommes de bien petits

joueurs !

L’EPA (Agence américaine de protection de l’environnement)

indique que chaque gallon d’essence produit 19,4 kg de C02

.

Chaque gallon de diesel produit 22,2 kg de CO2

.

Faites le calcul : les opérations de routine de l’armée

américaine seule envoient plus de 48 milliards de tonnes de

dioxyde de carbone dans l’atmosphère chaque année[48]. Et c’est

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o

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?

La politique est un mécanisme qui sert à empêcher les

gens de prendre part à ce qui les concerne directement.

Paul VALEƵRY (1871-1945)

Rien d’étonnant donc à ce que, lorsqu’en juin 2007 Luc

Recordon, conseiller aux États, interpelle à nouveau le Conseil

fédéral suisse, on lui réponde qu’aucune activité d’épandage de

substances chimiques n’est en cours et qu’aucun avion ne

survole la Suisse illégalement. « En Europe du moins, cette

thèse est dépourvue de tout fondement. D’une part, la

pulvérisation systématique et clandestine de produits

chimiques est interdite ; d’autre part, la surveillance

permanente dont l’espace aérien fait l’objet rend ce type

d’opérations pratiquement impossibles. Tous les aéronefs

sillonnant le ciel européen doivent respecter un plan de vol

détaillé, qui plus est contrôlé par les services de la navigation

aérienne. En Suisse, l’espace aérien contrôlé s’étend

verticalement à 20 km. Tout avion non identifié qui y

pénétrerait déclencherait une mission d’interception des Forces

aériennes suisses. Le Conseil fédéral ignore si des opérations

chemtrail ont eu lieu hors d’Europe. »

Comme s’il s’agissait de particuliers prenant leur petit avion

pour s’amuser à épandre des substances aux quatre coins de la

terre le dimanche après-midi ! Ou même une superpuissance

qui ferait cela en catimini, dans le ciel d’une autre ! Par contre,

on sait bien que les gouvernements, eux, peuvent s’entendre

par-dessus nos têtes pour violer les lois en toute impunité ! En

tout cas, au vu des multiples témoignages, photographies et

ILS S’EN LAVENT TOUS LES MAINS...

vidéos du ciel de la Suisse barré de chemtrails, il est clair que

soit son contrôle aérien a autant de trous que son gruyère, soit

le gouvernement est au courant ! Comme le nôtre, d’ailleurs !

Mais chez nous, en France, c’est le même déni. Les députés,

même les « Verts », si prompts à taxer nos voitures et nos

déchets, continuent d’ignorer ce qui se passe là-haut. Il est vrai

que quand on peut jouir de la vie avec un minimum de 15 000

euros mensuel, sans aucune obligation de résultat, il faut être

imbécile pour aller se mettre les à dos ! Je ne dis pas

cela pour Corinne Lepage, que je respecte pour d’autres

combats, mais justement, étant donné son engagement en

faveur de l’environnement, je trouve sa réaction au sujet des

chemtrails bizarre.

Le 20 avril 2009, sur le site du , un

internaute demande à l’ex-ministre de l’Environnement : « Que

pensez-vous des traînées blanches persistantes et qui

confluent, laissées par les avions : est-ce une procédure antiréchauffement par confection d’un voile microparticulaire et

sur laquelle on maintient le silence, et pour cause[49] ? » « Joker

! » répond Corinne Lepage, interprété forcément sur la Toile

comme une confirmation que le problème existe bien mais

quelle ne veut pas se mouiller.

Pour en avoir le cœur net, j’ai appelé madame Lepage, le

mercredi 12 juin 2013 : « Je suis une personne raisonnable,

m’a-t-elle répondu, et je ne m’exprime pas sur des sujets que je

ne connais pas [...]. Je me suis occupée de l’aluminium dans

les vaccins, mais sur ce sujet [et elle semble très réticente à s’y

aventurer], je n’ai aucune information ! » Il s’est passé plus de

quatre ans entre ces deux épisodes et madame Lepage n’a

toujours rien vu d’anormal dans le ciel... Pourtant, un enfant

de six ans, j’en ai fait l’expérience, une fois qu’on lui a montré

lobbies

Nouvel Observateur

les deux sortes de nuages, est capable de faire la différence

entre un et un ! L’aluminium dans les

vaccins, bien évidemment, c’est très grave - bien que le danger

des vaccins ne se résume pas à la présence d’aluminium - mais

que dire de celui qui tombe régulièrement du ciel sur les

enfants qui jouent, sur les fruits et les cultures que nous

mangeons ? Madame Lepage, qui dit « je me bats [...] pour ce

qui me paraît majeur pour nous tous dans les années qui

suivent », a, semble-t-il, raté l’épisode qui tue !

Cohn-Bendit, lui, se débarrasse du problème en disant qu’en

tant que politique, il n’est pas apte à répondre à des

questions scientifiques et que lorsque la communauté

scientifique sera d’accord sur une réponse, il s’en fera l’écho !

C’est rassurant, quand on sait que la législation européenne

est formée sous l’influence de plus de vingt mille lobbyistes et

que 70 % d’entre eux représentent les intérêts des cartels et

des banquiers, de savoir que l’implication de députés élus pour

défendre le peuple se résume à faire les béni-oui-oui sans

chercher à comprendre ni à savoir ce qu’il se passe vraiment !

À ma connaissance, les deux seuls qui se sont un peu

intéressés au problème sont Joël Giraud, député des HautesAlpes, qui a posé une question au gouvernement (n° 42050,

parue au du 12 novembre 2013) à laquelle il a

reçu le 29 avril 2014 la réponse habituelle : les chemtrails

n’existent pas, circulez, a rien à voir ! Et le Corse François

Alfonsi, qui est venu se joindre les 8 et 9 avril 2013 à une

conférence au Parlement européen de Bruxelles sur les

épandages aériens clandestins en Europe, présidée par Mme

Tatjana Zdanoka (Estonie) organisée par Mme Josefina Fraile

(Espagne) et la plate-forme Skyguards ! Claire Henrion,

présidente de l’association ACSEIPICA, a présenté un

chemtrail contrail

leader

Journal officiel

y

y

diaporama,

[50] dans lequel elle

résume : « Des avions échappant aux contrôles radar épandent

des tonnes d’aérosols dans les cieux européens, hors de tout

cadre légal et en l’absence de toute information des citoyens et

de leur consentement. Pour quiconque prend le temps de

regarder le ciel, il devient rapidement évident, et ceci sans

aucun doute, que des avions militaires à toutes les altitudes et

des avions civils en haute altitude créent des nuages artificiels.

Il y a même un consensus scientifique là-dessus, mentionné

dans le rapport du GIEC (IPCC)

Il ne concerne cependant que les avions civils. Les

avions militaires sont ignorés, comme s’ils n’existaient pas.

C’est vrai, ils sont tous tenus au secret militaire !

Cela fait plus de dix ans que ça dure. En 2002, en ce qui

nous concerne, du jour au lendemain la circulation aérienne à

moyenne altitude (entre 2 000 et 8 000 mètres) a pour le moins

décuplé. Les cieux se sont vus défigurés par ce nouveau type

de traînées d’avions et de nouvelles sortes de nuages inconnues

auparavant sont apparues. »

Qui fait ces épandages ? Des avions militaires ? Des avions

civils ? Ou les deux ? Qui commande ces pulvérisations ? Qui a

tellement de pouvoir qu’elles touchent le monde entier ?

Quelles sont les substances pulvérisées ? S’agit-il

d’expérimentations dont nous sommes les cobayes ou des

programmes pour protéger certains intérêts économiques ou

militaires dont nous sommes les victimes collatérales ? Ou bien

encore est-ce nous qui sommes ciblés, pour nous vacciner sans

notre accord, nous balancer des virus ou des bactéries qui vont

nous rendre malades et engraisser Big Pharma le plus

longtemps possible ? Ou pire : est-ce pour lutter contre la

Au-delà des théories de modification climatique —

La société civile contre la géo-ingénierie

Aviation et atmosphère

planétaire.

surpopulation mondiale, nous rendre dociles, stupides, stériles

?...

Tout est possible quand on sait la capacité de mensonges, de

duplicité, de corruption de nos dirigeants, et à quel point ils

sont vassalisés par les vrais maîtres de ce monde et les

desseins de ces derniers.

IL FAUT QUE LE HASARD RENVERSE LA FOURMI

(Proverbe du Moyen Orient)

Tout cela est tellement stupéfiant ! Quand on en parle à

quelqu’un pour la première fois, il n’y croit pas ! Mais il se met

à regarder le ciel... Et de plus en plus de témoignages arrivent

sur les sites Skywatch de tous les pays. Et chez nous, sur les

forums d’ACSEIPICA, Chemtrails-France.com, Actu-chemtrail,

Ciel Voilé et le nouveau site de Yannick « Le ciel nous tombe

sur la tête » ; sur les réseaux sociaux, chacun publiant ses

inquiétudes, des vidéos, des photos de son coin de France :

Mulhouse, Dijon, Marseille, Paris, les Vosges, l’Ariège, infesté

de chemtrails, et décrivant ce que nous voyons tous : «

Aujourd’hui sur l’estuaire de la Loire, ils ont pulvérisé toute la

journée ; c’est comme ça tous les jours dès qu’il fait beau. On

nous vole le beau temps et le ciel bleu azur. Que faire ? »

« Nous constatons tous les jours des épandages massifs sur

la région de Draguignan et depuis quelque temps, ce sont des

substances noires qu’ils pulvérisent ! Nos santés se dégradent

lentement et je crois, vu la passivité de mon entourage, que le

mal se fait déjà sentir dans le manque d’énergie à réagir ou à

appréhender le danger. »

POUR QU'ELLE DÉCOUVRE LE CIEL

« Reprise d’épandage intensif en Deux-Sèvres. Je prends des

photos. Et ce ne sont pas des avions de ligne, car ils font des

demi-tours... j’hallucine. Que la force soit avec nous ! »

« Dans le département de l’Hérault, secteur de Lodève, lac du

Salagou, ils pulvérisent depuis deux ans sans interruption, de

nuit comme de jour, quatre-vingts rotations en vingt-quatre

heures, et parfois plus encore ; ceci sans aucune information

dans les médias. Inutile de s’adresser aux Verts. Aucune

réponse dans leur moteur de recherche !... »

« Qui sont ces avions autorisés à survoler Paris ? »

« J’habite le Sauternes près de Bordeaux et je voulais juste

vous informer qu’ici, c’est de pire en pire ; il est très rare d’avoir

un jour sans Jour et nuit, ils balancent leur

saloperie, et depuis deux ans, j’observe la végétation, les arbres

surtout, mourir lentement ; quant au pH des sols, il ne cesse

de baisser dans une indifférence effrayante pour l’illuminé de

service que je suis et qui n’a de cesse d’en parler pour que les

gens se posent enfin des questions. »

« Lundi 14 mai au matin, 9 heures, à proximité de la centrale

nucléaire de Cattenom, quatre avions en parallèle, avec longues

traînées, soudainement on fait un demi-tour serré, puis deux

par deux se sont écartés brusquement et ont coupé les traînées

; à quoi servent ces pulvérisations dans ce cas précis autour

des centrales ? »

« J’ai pu faire une déduction intéressante. J’habite en pleine

campagne (la diagonale du vide), très peu d’avions de ligne

passent quotidiennement. Le 14 mars 2012, un ciel bleu

immaculé a commencé à se charger avec les passages répétés

de plusieurs avions. De grosses traînées blanches ont alors

persisté dans le ciel, mais le plus frappant, c’était la fréquence

chemtrails.

et le nombre inhabituel d’avions qui passaient et repassaient

pendant environ quatre à cinq heures, comme pour faire un

quadrillage. Après cela, plus aucun passage, mais le ciel était

devenu blanc et laiteux. À mon travail, j’ai vérifié la carte des

servitudes aéronautiques de l’aviation civile et militaire du

territoire concerné par ces passages. Cette carte ne concerne

qu’une zone de 100 km2, et je n’aurais jamais pensé qu’elle

puisse s’avérer aussi instructive. Car une chose est sûre, ces

avions venaient d’une zone réservée aux vols militaires,

traversaient un couloir de l’aviation civile avant de bifurquer

pour reprendre une zone d’aviation militaire[51]. »

Nombreux sont aussi les observateurs qui, vérifiant en temps

réel sur les sites où l’on peut vérifier qui sont les avions en vol

au-dessus de leur région, ne trouvent aucune trace de ceux

qu’ils voient épandre au-dessus de leur tête... Comment et

pourquoi échappent-ils aux radars ?

« J’habite le Canton du Jura, dit cet autre témoin, et je

pourrais faire des milliers de clichés photo et vidéo par an

tellement le ciel est chargé de chemtrails dès qu’il fait beau. Le

simple fait de voir régulièrement des avions laisser des traînées

blanches par intermittence et non continues, sur un simple et

même vol, suggère que ce phénomène ne peut être d’ordre

naturel mais bel et bien le fait de la volonté de l’homme. Que

dire également de l’apparition de petits arcs-en-ciel dans un

beau ciel bleu parsemé de chemtrails, sinon que c’est la

réverbération des rayons solaires sur des produits chimiques,

justement[52]. »

« Avant-hier, j’ai même vu un avion venant du sud faire demitour avec une magnifique traînée chimique ! Cet avion n’avait

aucun problème, sinon il se serait forcément dérouté sur

Cointrin pour se poser en urgence (je suis en Haute-Savoie,

vallée verte). Je suis moi-même pilote en montagne, je connais

donc un petit peu les procédures d’urgence.

Les contrôleurs aériens suisses sont donc totalement

complices, car un avion faisant demi-tour au FL300 (30 000

pieds) ne peut en aucun cas passer inaperçu puisque le pilote

devra leur demander la permission, et qu’ils le voient

obligatoirement sur leur écran de contrôle !

Il faut vraiment que les gens se réveillent. Arrêtez de regarder

votre portable et levez les yeux ! C’est une honte, ce qui se

passe[53]. »

Moi aussi, dans mon coin de campagne, je les vois arriver, et

envahir le ciel. J’entends leur vrombissement continu certaines

nuits, quand j’écris et que tout est calme... Alors que depuis

2000, les avions civils volent au-dessus de huit mille mètres,

trop haut pour qu’on les entende. Comment peut-on nous dire

que ce sont de simples avions de ligne ? Ce sont des opérations

commandos et les va-et-vient ne s’arrêtent que lorsque le ciel

est complètement bouché, au point de ne plus laisser passer ni

le soleil ni les étoiles, qui réapparaissent comme par

enchantement quand ils suspendent les épandages et qu’il n’y

a plus qu’un trafic aérien normal ! (Vous pouvez vérifier par

vous-mêmes quels sont les avions au-dessus de vos têtes, en

temps réel, sur Flightradar24.com ; et aussi en suivant les

explications de Claire Henrion[54])

En plein mois d’août, je parle avec mon amie Marion Sigaut

et nous nous faisons justement la réflexion qu’il n’y a pas

d’épandage ces jours-ci : son ciel de Bourgogne est aussi pur

que le mien, celui d’Ile-de-France... Et nous ironisons : c’est

bien connu qu’il n’y a pas de trafic aérien le week-end du 15

août en France ! En cette période d’intenses chassés-croisés,

les avions ne volent pas !

L’été dernier, nous avons retrouvé un matin les voitures

recouvertes d’une espèce de glue noire que nous avons dû

nettoyer pendant des heures au Kârcher. Les pieds de tomates

aussi sont devenus tout noirs, puis se sont desséchés, et les

fruits sont tombés sans mûrir dans tous les vergers de la

vallée, sauf ceux qui étaient sous serres. On m’a dit que c’était

sûrement une substance tombée des arbres... J’ai presque

toujours habité la campagne, et ce serait bien la première fois

que je vois les chênes produire de la résine ! Aux dires des

forestiers, ces arbres centenaires alentour sont tous malades,

et bizarrement, les feuilles des noisetiers sont toutes cramées

sur les branches supérieures, pas en dessous.

Mais nous sommes tous « dérangés », victimes

d’hallucinations collectives ou adeptes de la théorie du complot

! Fous, comme Lætitia, Océane, Sarah, Mélanie et les autres...

victimes du Gardasil qui, d’après les experts dépêchés par

l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits

de santé (ANSM), s’inventent des effets secondaires et, à dixhuit ans, préfèrent s’éclater à passer des mois sur un lit

d’hôpital plutôt que d’aller en discothèque avec leurs copains et

à qui ils conseillent sans honte l’asile psychiatrique.

Jusqu’où allons-nous supporter tout cela ?

LES POLITIQUES ET LES MÉDIAS

À l’amour, l’argent, la loyauté, la gloire, la justice,

je préfère la vérité.

Henry David THOREAU

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