comme M. Tout-le-monde, ils rendent des comptes à leurs
patrons. Et depuis que les banquiers privés ont obtenu le
monopole de la création monétaire et des prêts aux États -1913
aux États-Unis avec la création de la Réserve fédérale, 1973 en
France avec la loi Pompidou-Giscard - ce sont eux, les patrons
qui sélectionnent nos présidents en fonction des services qu’ils
sont prêts à leur rendre. Gauche et droite, ceux qui obéissent
aux banquiers ne peuvent pas promettre notre bien : nos
intérêts sont diamétralement opposés.
Il serait temps de prendre nos responsabilités.
Georges Orwell disait : « Un peuple qui élit des corrompus,
des imposteurs, des voleurs et des traîtres, n’est pas victime. Il
est complice ! »
Très habilement, les princes du mondialisme utilisent des
« idiots utiles » qui, pareils au « joueur de flûte de
Hamelin » charmant les rats pour les envoyer se noyer,
conditionnent des foules inquiètes pour mieux les
asservir et les anéantir au service d'une cause
transformant la planète en prison.
Pierre
Dans un premier temps, chez la majorité des gens, la
suggestion, les mensonges, la propagande suffisent pour qu’ils
ne se posent pas de question.
Sylvain Timsit, du site syti.net, a compilé une liste des dix
stratégies de manipulation[350] élémentaires dont nous sommes
victimes à longueur de temps :
Pour éviter que les gens ne s’intéressent aux problèmes
importants, on détourne leur attention en les abreuvant
d’informations insignifiantes du genre : le président a une
maîtresse... Brad et Angelina vont divorcer... Le Parlement
européen somme la France de se déclarer contre la fessée
donnée aux enfants... « Garder l’attention du public distraite,
loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets
sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé,
occupé, sans aucun temps pour penser ; de retour à la ferme
avec les autres animaux. » Peut-on lire dans le document «
Armes silencieuses pour guerres tranquilles
[351]
». C’est le
AVANT QUE CELA NE DEVIENNE ILLÉGAL D’ÊTRE HUMAIN,
SIMPLEMENT...
HILLARD
1. La stratégie de la diversion
-« Donnez-leur du pain et des jeux ! » -de la
Rome antique.
La technique a été isolée par David Icke dans son livre
: les autorités créent un problème, en désignant
les personnes à blâmer, ce qui va susciter une réaction
émotionnelle du public, très souvent la peur, afin qu’il soit luimême demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire
accepter. Les autorités offrent alors les solutions. Les exemples
sont multiples : annoncer une pandémie qui se rapproche et
tue tout sur son passage, puis l’arrivée du vaccin qui va tous
nous sauver ; laisser se développer la violence urbaine ou
organiser des attentats sanglants, afin que le public soit
demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté ; ou
encore : créer une crise économique pour faire accepter comme
un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le
démantèlement des services publics. C’est « découvrir » un
charnier, assassiner un opposant pour déclencher une guerre,
c’est l’incendie du Reichstag, Charlie... L’ordre par le chaos !
C’est ainsi qu’ils pourraient réussir à « pucer » une majorité de
la population, le moment voulu. Lors d’une énorme catastrophe
climatique, nucléaire ou encore d’une pandémie, en échange de
l’accès aux soins ou sous le prétexte de contrôler les
déplacements des malades ou des terroristes, en plein état de
choc et d’épouvante, la majorité des gens se battraient, j’en ai
bien peur, pour être « pucés ».
3. La stratégie du dégradé
C’est la « métaphore de la grenouille » d’Olivier Clerc : si on
plonge une grenouille dans de l’eau bouillante, elle va
rassembler ses forces, bondir et s’arracher du chaudron. Si on
Panem et circenses
2. La technique du « problème-réaction-solution »
The
Biggest Secret
la met dans de l’eau froide que l’on réchauffe peu à peu, elle va
d’abord trouver ça agréable, puis peut-être un peu trop chaud,
elle va supporter et s’habituer jusqu’à ce que ce soit intolérable
mais, là, elle sera trop épuisée pour trouver la force de s’en
tirer. C’est ce que font les gouvernants, comme l’explique
Sylvain Timsit : « Pour faire accepter une mesure inacceptable,
il suffit de l’appliquer progressivement, en , sur une
durée de dix ans. C’est comme cela que des conditions socioéconomiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été
imposées durant les années quatre-vingt. Chômage massif,
précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus
un revenu décent, autant de changements qui auraient
provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués
brutalement. » Comme la suppression de la démocratie, qui se
fait sournoisement, mesure après mesure, depuis des années ;
et plus on nous la vole, plus on réduit nos libertés, plus on
nous vante la chance que l’on a de vivre protégés par les «
valeurs de la République » ! Pendant que les épandages nous
rendent amnésiques !
4. La stratégie du différé
« Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire
est de la présenter comme “douloureuse mais nécessaire”, en
obtenant l’accord du public dans le présent pour une
application dans le futur. » Baisser les retraites et allonger la
durée du travail, par exemple, ou l’augmentation du prix de
l’essence qui, nous dit-on, n’entrera en vigueur que dans un
an, en janvier... « Il est toujours plus facile d’accepter un
sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que
l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le
public a toujours tendance à espérer naïvement que les choses
s’arrangeront entre temps et que le sacrifice demandé pourra
dégradé
être évité. Enfin, cela laisse le temps au public de s’habituer à
l’idée du changement et de l’accepter avec résignation, le
moment venu. »
5. S’adresser au public comme à des enfants en bas âge
« La plupart des publicités destinées au grand public utilisent
un discours, des arguments, des personnages, et un ton
particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant,
comme si le spectateur était un enfant en bas âge ou un
handicapé mental. » Plus on essaie de nous manipuler, plus on
nous parle comme à des gamins demeurés. Il y a une raison à
cela en psychologie : « Si on s’adresse à une personne comme si
elle était âgée de douze ans, alors, en raison de la
suggestibilité, elle aura probablement une réponse ou une
réaction aussi dénuée de sens critique que celle d’une personne
de douze ans[352]. »
6. Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion
« Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour
court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des
individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet
d’ouvrir la voie de l’inconscient pour y implanter des idées, des
désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements... » Par
exemple : le des campagnes du vaccin contre le
papillomavirus, qui montrait la mère abritant sa fille de la pluie
en tenant une veste au-dessus de leurs têtes pendant que la
voix ^mentait en promettant la protection contre le cancer du
col de l’utérus ... l’attentat contre où l’émotion a
été immédiatement canalisée dans une marche et un slogan : «
Je suis Charlie », rassemblant plus d’un million de personnes
qui, pour la plupart, ne connaissaient pas « Charlie » ; et ce
avant que chacun puisse avoir la moindre pensée personnelle
clip
Charlie Hebdo
sur le sujet. Ou : la Terre se réchauffe dangereusement du fait
des seules activités humaines... si nous ne faisons rien, nous
allons creuser la tombe de nos enfants... Conclusion : il faut
payer l’écotaxe !
7. Maintenir le public dans l'ignorance et la bêtise
« Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre
les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et
son esclavage. » Comme cela est prévu dans
[353] : « La qualité
de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus
pauvre possible, de sorte que le fossé de l’ignorance qui isole
les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure
incompréhensible des classes inférieures. Avec un tel handicap
initial, même de brillants éléments des classes inférieures n’ont
que peu d’espoir de s’extirper du statut qui leur a été assigné
dans la vie. Cette forme d’esclavage est essentielle pour
maintenir un certain niveau d’ordre social, de paix et de
tranquillité pour les classes supérieures dirigeantes. »
Ce n’est évidemment pas un hasard si l’Éducation nationale
périclite chaque jour davantage et si 80 % des élèves des
universités et des grandes écoles sont issus des classes
moyenne et supérieure.
8. Encourager le public à se complaire dans la médiocrité
Le prêt-à-penser de bas étage, l’explosion des émissions de
téléréalité aux concepts totalement imbéciles, offrant des
vulgaires et incultes comme modèles ou comme héros aux
enfants et aux adultes !
9. Remplacer la révolte par la culpabilité
Armes silencieuses pour guerres sans bruits
stars
« Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son
malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses
capacités ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre
le système économique, l’individu s’autodévalue et culpabilise,
ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est
l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution ! »
Vous êtes au chômage par manque de formation : suivez un
stage et tout ira mieux ! C’est Emmanuel Macron et les «
illettrés » de Gad...
Combien de messages d’indignation nous recevons, tous les
lanceurs d’alerte, pour nous dire : « Il faut changer les choses,
faire ceci ou cela... faites-le, vous, parce que moi je ne suis rien
ou je ne suis pas capable de le faire... » On a inculqué aux gens
leur impuissance et leur résignation alors que chacun de nous
faire ce qu’il croit être juste.
10. Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent
eux-mêmes
« Au cours des cinquante dernières années, les progrès
fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les
connaissances du public et celles détenues et utilisées par les
élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie et la
psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une
connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement
et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux
connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même.
Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient
un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les
individus que les individus eux-mêmes. »
Ils ne crachent pas non plus sur une petite aide chimique
pour nous discipliner.
doit
LE FLUOR DANS L’EAU DU ROBINET
Présenté comme une sorte de nutriment miracle qui protégeait
les dents et empêchait les caries, il a été ajouté dans les
réseaux d’approvisionnement en eau potable de la plupart des
pays ainsi qu’à presque tous les dentifrices.
Or, ce résidu synthétique des déchets de la production
d’aluminium, d’engrais phosphate et de l’industrie nucléaire est
un des produits chimiques industriels les plus caustiques, la
toxine active des poisons utilisés contre les cafards et les rats,
un des ingrédients de base du Prozac et du gaz neurotoxique
sarin, de médicaments anesthésiques et psychiatriques. L’acide
fluorhydrique est utilisé « pour affiner l’essence d’indice
d’octane élevé, pour faire des fluorocarbones et
chlorofluorocarbones pour congélateurs et climatiseurs, pour la
fabrication des écrans d’ordinateurs, semi-conducteurs,
plastiques, ampoules fluorescentes, herbicides[354]... »
Et l’on s’aperçoit de ses méfaits des décennies plus tard : il a
la capacité de combiner et d’augmenter le pouvoir des autres
substances toxiques et booste le passage de l’aluminium à
travers la barrière hémato-encéphalique. Il peut causer la
fluorose squelettique ou dentaire, ce qui affaiblit les os et la
matière dentaire. Il endommage le foie et les reins, affaiblit le
système immunitaire, pouvant causer des cancers, créer des
symptômes ressemblant à la fibromyalgie, stimuler le
durcissement des artères (ou athérosclérose), participant à
l’épidémie de maladies cardiovasculaires, devenue la première
cause de mortalité et, une fois dans le corps, modifie la forme
des enzymes, créant des situations auto-immunes où le corps
se retourne contre lui-même.
Mais surtout, de nombreuses études scientifiques, dont celles
du Dr Joseph Mercola, prouvent que le fluor rend les gens
dociles, et qu’en agissant sur les neurones, il conduit à la perte
du sens critique et de la mémoire.
Difficile de croire que c’est le fruit du hasard ou de
l’incompétence ! D’autant qu’en recherchant un peu, on se
rend compte que le fluor avait déjà été utilisé à cet effet et à
hautes doses dans les camps de concentration par IG Farben
Auschwitz.
Et personne ne peut croire sérieusement que les nazis se
souciaient de la santé des dents de leurs prisonniers ! Par
contre, comme l’écrivit le chimiste Charles Perkins à la
Fondation pour la recherche nutritionnelle Lee, à Milwaukee
(Wisconsin), le 2 octobre 1954, cette médication massive des
réserves d’eau en fluor servait à stériliser les prisonniers et à
les abrutir pour s’assurer de leur docilité, et ainsi « [...] les
chimistes nazis élaborèrent un plan d’une grande portée (et
très ingénieux) [...] Par cette méthode, ils pourraient contrôler
la population de zones entières, la réduire par la médication de
l’eau - qui provoquerait la stérilité des femmes - et ainsi de
suite. Le fluor avait une place importante dans ce projet de
contrôle des masses. »
Charles Perkins dit que « des doses répétées de fluor, en
quantité infinitésimale, réduisent les capacités d’un individu à
résister à la domination, en empoisonnant lentement, par
narcotisme, une partie précise de son cerveau, le soumettant
ainsi à la volonté de ceux qui veulent le gouverner. Pour lui, le
fluor est une « lobotomie légère et commode » et « la véritable
raison qui se cache derrière la fluorisation de l’eau n’a rien à
voir avec la santé dentaire des enfants ». Une personne qui
boira pendant un an, ou plus, de l’eau à laquelle on a ajouté du
fluor, ne sera plus jamais la même, que ce soit mentalement ou
physiquement.
Est-ce la raison pour laquelle, depuis, les gouvernements ont
tous continué à encourager la consommation de fluor ?
Lorsque nous buvons de la bière et des sodas qui contiennent
de l’eau « fluorée », nous sommes aussi intoxiqués lentement
mais sûrement, et nos capacités mentales sont affaiblies.
De la même manière que les pétroliers ont recyclé tous les
déchets du raffinage du pétrole en médicaments ou additifs
alimentaires, l’idée d’introduire du fluor dans l’eau potable
vient des États-Unis, plus exactement de la famille Mellon qui
dirige le cartel de l’aluminium Alcoa. Lasse de payer des
fortunes pour traiter les fluorines industrielles, excessivement
polluantes, « la famille Mellon géra la situation de sorte à faire
de ces déchets empoisonnés une énorme source de revenus et
de contrôle sur les humains. En 1944, Oscar Ewing était
employé par Alcoa[355] et touchait un salaire de 750 000 dollars
par an. Imaginez à quoi cela correspondrait aujourd’hui !
Quelques mois plus tard, il quitte ce poste pour prendre la
direction de l’Agence de sécurité fédérale du gouvernement
américain. Là, il fit campagne pour que l’on ajoute du fluor à
l’eau potable publique. » Une petite partie de chaises musicales,
et le tour était joué !
En résumé, non seulement le fluor ne protège ni les dents, ni
les os - ce n’était qu’un prétexte -, mais les études du Dr Hardy
Limeback nous apprennent qu’au contraire, il provoque cancer
et fracture des os. Par contre, il sert à diminuer les fonctions
intellectuelles des populations, à les rendre passives et dociles -
on compte sur le marché plus de soixante tranquillisants
contenant du fluor à plus ou moins haute dose - ce qui permet
au cartel de faire d’une pierre deux coups : nous faire payer
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LE CONTRÔLE DES MASSES
Si vous ne lisez pas de journaux, vous n’êtes pas informé
Si vous en lisez, vous êtes désinformé
Mark
On ne rate aucune occasion de nous dire que nous sommes
dans le pays des libertés, le pays des droits de l’homme...
Ce que l’on nous dit moins, c’est à quel point nous sommes
de plus en plus surveillés : caméras partout, écoutes
téléphoniques, réseaux sociaux qui servent d’appât pour nous
tirer les vers du nez...
On n’oubliera pas la bombe lâchée par Edward Snowden en
2013. Ce jeune homme travaillait chez un sous-traitant de la
NSA, où il a eu connaissance du fait que le gouvernement
américain avait accès à des millions de données d’utilisateurs
de services internet fournies par Microsoft, Google, Facebook,
Yahoo ! et d’autres. Parfaitement conscient que ses révélations
au sur le programme de surveillance PRISM allaient
lui coûter son salaire enviable et sa vie confortable à Hawaï, il a
choisi de parler, « ne pouvant pas, en conscience, laisser le
gouvernement américain détruire, avec cette machine de
surveillance massive qu’il a secrètement construit », la vie
privée, la liberté d’Internet et les libertés fondamentales des
gens dans le monde[356].
TWAIN.
Guardian
BIG BROTHER VOUS REGARDE
On savait, depuis les années quatre-vingt-dix, que l’Agence
nationale de sécurité américaine (NSA) interceptait, à travers le
programme Échelon, les courriels et communications de
milliers de citoyens américains, puis, depuis septembre 2001,
de personnes que l’on disait « à risque ». On ne savait pas que
leur surveillance s’étendait au monde entier et au citoyen
C’est maintenant possible les épandages de
baryum qui permettent une plus ample diffusion des ondes
HAARP. C’est ce qu’a révélé le en s’appuyant
sur les documents fournis par Edward Snowden. « En une
seule journée, en 2012, la NSA a intercepté 444 743 listes de
contacts provenant de comptes Yahoo, 105 068 de comptes
Hotmail, 82 857 de comptes Facebook, 33 697 de comptes
Gmail, et 22 881 d’autres compagnies, soit un total de 689 246
listes de contacts. Ces chiffres correspondent à 250 millions de
listes interceptées sur un an. » Presque cinq milliards
d’enregistrements collectés par jour sur les allées et venues des
téléphones cellulaires dans le monde. L’analyse de ces données
permet à l’agence de suivre les déplacements d’individus, de
reconstituer les goûts, les actions, les opinions et les
connexions de chacun d’entre nous[357].
Il faut savoir que l’article 1881 de la FISAAA (Foreign
Intelligence Surveillance Act Amendments Act autorise depuis
2008 « la surveillance de masse ciblée uniquement sur les
données personnelles en dehors des États-Unis », de tous les
citoyens de la planète[358]. Pour cette tâche, le réseau Échelon,
d’abord réservé à l’espionnage économique (Airbus, ThomsonCSF...), intercepte les fax, communications téléphoniques,
lambda. via
Washington Post
courriels et, grâce à un puissant réseau d’ordinateurs, est
capable de trier en fonction de certains mots les
communications écrites et, à partir de l’intonation de la voix,
les communications orales. C’est un système mondial
d’interception des communications privées et publiques
(SIGINT), élaboré par les États-Unis, le Royaume-Uni, le
Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande dans le cadre du
traité UKUSA. Toutes les informations récoltées par le réseau
Échelon sont analysées au quartier général de la NSA à Fort
George G. Meade, dans le Maryland.
En même temps, Paul Joseph Watson, du site Infowars.com
nous fait justement remarquer que les plans d’austérité, de
licenciements, les bons de nourriture et la pauvreté qui
sévissent en Amérique n’empêchent pas le gouvernement
d’ouvrir un nouveau centre d’espionnage de la NSA coûtant
deux à trois milliards de dollars dans l’Utah ; et si les services
publics nécessaires aux Américains ferment les uns après les
autres faute de moyens, il y en a pour « les attaques de drones,
le recouvrement de l’impôt, torturer des terroristes au camp de
Guantànamo, armer les djihadistes en Syrie, les trafiquants de
drogue mexicains et pour l’espionnage[359] ! » Mais il faut des
ordinateurs de plus en plus puissants pour traiter et stocker
toutes ces données. Il y a sans doute aussi le fait que, pour le
moment, c’est la Chine qui détient l’ordinateur le plus puissant
du monde, mais Marc Filterman nous apprend que « le site de
la NSA situé à Oak Ridge travaille sur un nouveau projet pour
permettre aux États-Unis de mettre au point la première
machine exaflow (un trillion d’instructions/seconde) avant
2018, ce qui permettrait de casser la clé de chiffrement AES
256 bits, et de lire tous les documents militaires chiffrés et
diplomatiques[360]. »
Au vu de tous ces éléments, on a bien compris où se
situaient leurs priorités !
De la même manière sournoise, l’étau se resserre en France.
La loi « informatique et libertés » d’octobre 1978 vient de
prendre un grand coup de vieux, Manuel Valls ayant profité des
fêtes de Noël pour publier en douce un décret qui entrave
gravement notre liberté fondamentale : Cet « article 20 de la loi
de programmation militaire (LPM) prévoit un accès très vaste
des services de l’État aux télécommunications (téléphone, SMS,
Internet, etc.) des Français, et à toutes les informations qui
transitent par les réseaux nationaux ».
Entré en vigueur le 1er janvier 2015, il donne le droit à
toutes les administrations de violer nos communications : Fisc,
Défense, Intérieur... y compris en exigeant les informations
stockées chez les hébergeurs ou transmises au travers des
câbles des opérateurs télécoms. « Pour cela, il suffit que les
pouvoirs publics justifient de la recherche de renseignements
intéressants, notamment au titre de la sécurité nationale, la
prévention du terrorisme, la criminalité et la délinquance
organisées ou surtout de “la sauvegarde des éléments
essentiels du potentiel scientifique et économique de la
France”, une notion particulièrement vague. Les intermédiaires
peuvent, quoi qu’il en soit, être tenus de transmettre “en temps
réel” ces données recueillies sur “sollicitation du réseau[361]”. »
Pendant que, quelques jours plus tard, après l’émotion
suscitée par la tuerie de , comble de l’ironie, on
fait défiler les gens dans la rue au nom de la liberté
d’expression ! Sans perdre de temps, un projet de loi relatif au
renseignement est présenté le 19 mars au Conseil des
ministres et adopté à l’Assemblée Nationale le 5 mai. La ficelle
est grosse et surtout bien connue depuis un certain jour de
Charlie Hebdo
septembre. La sécurité nationale, la prévention du terrorisme
ne sont que l’excuse pour mettre soixante-six millions de
citoyens français sous surveillance !
Ce n’est pas nouveau mais c’est devenu légal. Bien avant les
affaires PRISM et Snowden, le rapport Kimery[362] nous
apprenait déjà que Google avait été financé un fonds
d’investissement appelé In-Q-Tel (à l’origine : Peleus [Pélée],
créé et géré par la CIA. Ce fonds investit, à but non lucratif,
dans des entreprises de technologies de pointe, notamment des
liées au renseignement. Parmi elles, on trouve
notamment Facebook, Convera (logiciel), Inxight (recherche
d’information et traitement automatique des langues), Nanosys
(nanotechnologie), Keyhole (Google Earth) et Gemalto (cartes à
puce), Palantir Technologies (visualisation de données),
Recorded Future (analyse prédictive). Cela permet à l’Agence
d’avoir un siège au Conseil d’administration de ces entreprises,
et donc un certain pouvoir ! Trois employés de la CIA seraient
aussi à demeure à Mountain View, en Californie, où est basé
Google, et travailleraient avec la compagnie pour trier les
informations en provenance des moteurs de recherche.
Ne négligeons pas non plus tout ce que l’on nous vend au
rayon progrès, comme les téléphones mobiles qui peuvent être
déclenchés à distance (ainsi que les caméras qu’ils contiennent)
ou servir de micro ambiant et, même éteints, transmettre tout
ce qui se dit dans une pièce. N’oublions pas Samsung, qui
ajoute une petite sur ses téléviseurs, capables de nous
identifier et de nous donner l’accès à nos comptes personnels,
ainsi que d’ouvrir notre salon ou notre chambre à Big
Brother... Bizarrement, cela ne figure pas dans la notice !
Alors que tous les commerces, les autoroutes, les parkings,
les rues et les locaux professionnels sont de plus en plus
via
startups
webcam
équipés de caméras surveillance, que Big Brother nous regarde
à peu près partout, un logiciel permettant de raccorder et de
centraliser tous ces « yeux qui voient tout » est à l’étude pour
permettre aux internautes de n’importe où dans le
monde en temps réel[363] !
On se doute bien que ce n’est pas juste pour nous offrir un
nouveau jouet !
« Le magazine spécialisé révélait en 2013
que le nouveau de la DGSE, construit dans un
ancien allemand de cent mètres de long sur dix de large
et situé près de sa station d’interception des
télécommunications satellitaires des Alluets, dans les Yvelines,
(voir l’article « Frenchelon : la carte des stations espion du
renseignement français[364] »), stockait « toutes les
communications électroniques passivement interceptées par les
stations du service à l’étranger, notamment à Djibouti, proche
de plusieurs dorsales télécoms » (ou Internet Backbone),
laissant entendre que la DGSE pourrait aussi écouter les
câbles sous-marins par lesquels transite, des fibres
optiques, une partie importante du trafic internet
international[365]. »
Sans doute Valls s’est-il fait remonter les bretelles par ses
patrons pour mesures insuffisantes, puisqu’il en remet une
couche... cette fois sous le prétexte de « renforcer les capacités
de surveillance des services de renseignement ». Les terroristes
auraient échappé à la surveillance des services de
renseignements français... Est-ce que le renforcement des «
contrôles internet » va y changer quelque chose lorsque l’on sait
qu’ils avaient été arrêtés et remis en liberté plusieurs fois ?
qu’ils étaient peut-être « en sommeil » attendant comme la Belle
zoomer
Intelligence Online
datacenter
bunker
via
au bois dormant...
En revanche, dans la nouvelle loi, on apprend que le
gouvernement a prévu plusieurs mesures pour détecter «
immédiatement » les « comportements suspects » en ligne. « Il
envisage, par exemple, de faire installer des “boîtes noires” sur
les équipements des opérateurs des télécoms, qui serviraient à
repérer des possibles suspects en fonction des sites internet
qu’ils fréquentent[366]. » Donc, les terroristes pourront passer à
l’as mais tous les lanceurs d’alerte vont, eux, être repérés et
arrêtés. Pour trouver les preuves, nous allons sur les sites
qui peuvent nous apporter un angle de vue différent et nous
permettre de nous forger une opinion ! Et, de tous les gens que
je connais, qui n’est pas déjà sur écoute ? Pourtant, aucun
n’est un terroriste, ni un danger pour son prochain, au
contraire !
Autre mesure tout aussi inquiétante : « Les entreprises du
Web et des télécoms devront également respecter “le secret de
la défense nationale”, c’est-à-dire ne jamais communiquer à
l’extérieur sur les données demandées par les autorités de
police. »
Tant qu’à faire, autant nous museler sans que le reste de la
population le sache !
Et puis, « jusqu’ici, la police ne pouvait mettre sur écoute que
le téléphone d’une personne suspecte. Le projet de loi
renseignement lui permettrait d’écouter également “l’entourage”
de la personne. » Une autre des dispositions les plus contestées
est la possibilité pour le Premier ministre de prendre des
décisions sans avoir besoin de l’accord d’un juge. La
Quadrature du Net, association qui se bat pour le maintien des
droits et des libertés des citoyens sur Internet, résume le
tous
problème dans un communiqué sur son site : « Surveillance
des comportements de tous les internautes par des
intermédiaires techniques pour détecter les comportements
suspects, accès en temps réel aux données de connexion, accès
aux contenus des emails et enregistreurs de frappe au clavier,
etc. : l’éventail des mesures mises à disposition des services
administratifs (police, douanes, etc.) sans contrôle du juge est
d’une ampleur sans précédent. »
Sérieusement, sont-ce des mesures compatibles avec un pays
qui se targue d’être une démocratie ? Comment va-t-on
continuer à informer ?
Jean-Marie Le Guen, secrétaire d’État aux relations avec le
Parlement, a assuré que le texte entrerait rapidement en
vigueur : « Le président et le Premier ministre m’ont demandé
que ce texte vienne le plus rapidement possible en discussion
avec le Parlement. Il passera selon toute vraisemblance en
procédure d’urgence », a-t-il précisé dans l’émission « Questions
d’info » sur LCP.
Et il y a peu de chances pour que cette loi ne passe pas
puisque l’UMP et Europe Écologie Les Verts se disent prêts à la
voter.
Quelle honte ! Pendant qu’il est « républicain » de condamner
les patriotes, ce sont les collabos qui affichent leur pouvoir en
France !
Comment ne pas penser à la société décrite par George
Orwell dans , où les individus sont tous sous
l’omniprésente surveillance des autorités par l’intermédiaire de
caméras ; où une élite privilégiée persécute tout individualisme
et pensée indépendante, et où il leur est constamment rappelé :
1984
Big Brother is watching you.
Ce qu’a décrit Orwell nous donne un avant-goût de ce qui
nous attend : « Il était terriblement dangereux de laisser les
pensées s’égarer quand on était dans un lieu public ou dans le
champs d’un télécran (police de la pensée). La moindre des
choses pouvait vous trahir. Un tic nerveux, un inconscient
regard d’anxiété, l’habitude de marmonner pour soi-même, tout
ce qui pouvait suggérer que l’on était anormal, que l’on avait
quelque chose à cacher. En tout cas, porter sur son visage une
expression non appropriée (paraître incrédule quand une
victoire était annoncée, par exemple) était en soi une offense
punissable. Il y avait même en novlangue un mot pour désigner
cette offense. On l’appelait facecrime. » (Page 93)
C’est aussi ce qu’écrivait Zbigniew Brzeziński, toujours dans
son livre
: « L’ère technotronique implique l’apparition progressive
d’une société plus contrôlée et plus dirigée. Une telle société
serait dominée par une élite dont la soif de pouvoir politique
reposerait sur un savoir-faire scientifique prétendument
supérieur. Libérée des contraintes des valeurs traditionnelles
libérales, cette élite n’hésiterait pas pour arriver à ses fins
politiques à utiliser les dernières techniques modernes pour
influencer la conduite du public et garder la société sous étroite
surveillance et contrôle. »
Et, un peu plus bas à la même page (97) : « Une crise sociale
persistante, l’émergence d’une personnalité charismatique et
l’exploitation des médias de masse pour obtenir la confiance du
public seraient les tremplins de la transformation graduelle des
États-Unis en une société hautement contrôlée. »
Nous y sommes et tous ceux qui ne filent pas droit subissent
déjà des pressions :écoutes téléphoniques, ordinateurs visités...
Between two âges : America s rôle in the Technetronic
Era
On les regarde avancer leurs pions. Celui-là est tellement
énorme que j’ai d’abord cru qu’il s’agissait d’un gag !
LE CLOU QUI DÉPASSE DOIT ÊTRE ENFONCÉ
(Proverbe Japonais)
Selon la dernière édition du
(DSM-IV), la non-conformité et la librepensée sont désormais considérées comme des maladies
mentales[367] !
Nous savons depuis des années que la psychiatrie moderne
est devenue un foyer de la corruption, et que les « experts » qui
font le DSM inventent des maladies au gré des médicaments
que les laboratoires veulent mettre sur le marché ; maintenant
ils déclarent « malade mental » quiconque ose s’écarter de ce
que les autorités disent être la norme !
Ce n’est pas une blague : la « condition » pour laquelle une
personne peut choisir de résister à la conformité a été listée par
la profession psychiatrique comme « trouble oppositionnel avec
provocation » (TOP, ou ODD en anglais, pour Oppositional
défiant disorder). Cette maladie est définie comme un « schéma
continu de désobéissance, d’hostilité et de provocation et les
symptômes comprennent la remise en question de l’autorité, la
négativité, la défiance, la contradiction, et le fait d’être
facilement agacé[368] ».
Un moyen d’interner les récalcitrants et les opposants au
système le moment venu ? Il ne faut pas oublier la réforme de
la loi sur l’internement psychiatrique sans consentement légal,
votée sous Sarkozy et entrée en vigueur, le 1 er août 2011.
Il est vrai qu’il y a eu des antécédents : en Union soviétique,
de nombreux dissidents se sont retrouvés internés pour un
prétendu problème psychiatrique ; ce qui n’était rien d’autre
Manuel diagnostique et statistique
des troubles mentaux
que de la répression politique !
Une excuse pour faire entrer les enfants dans le moule et les
abrutir dès la plus petite enfance ? pour droguer tous ceux qui
expriment la plus petite capacité à être différent ? Lorsque la
dernière édition du DSM-IV a été publiée, le nombre de
maladies mentales identifiées chez les enfants, telles que
l’hyperactivité, les troubles de déficit de l’attention, les troubles
bipolaires, les dépressions, a déjà entraîné une médication
agressive des enfants à partir de trois ans. Certains États ont
même déjà voté des lois permettant aux services sociaux de
soigner de force et de punir d’amendes ou d’emprisonnement le
refus de prendre des médicaments. Un article du
nous fait remarquer que si Mozart était né aujourd’hui, il
serait diagnostiqué comme souffrant de TOP et serait
médicamenté jusqu’à ce qu’il redevienne normal. (D’après le
, il avait le syndrome de Gilles de la
Tourette !) Fawkes News nous apprend aussi que les nouvelles
maladies mentales identifiées par le DSM-IV comprennent
l’arrogance, le narcissisme, la créativité supérieure à la
moyenne, le cynisme et le comportement antisocial.
Je connais des métiers qui vont être totalement décimés ! Un
tel outil est quand même très inquiétant, surtout placé entre
les mains d’États de plus en plus répressifs !
Washington
Post
British Medical Journal
LA MARQUE DE LA BÊTE
L’homme a découvert l’énergie atomique
mais aucun rat ne construirait un piège à rat
Pucer les populations ? Il est tentant, pour les maîtres de ce
monde, de pouvoir suivre à la trace chacun de ces grouillants
vers de terre que nous sommes pour eux et, si besoin est, nous
rappeler à l’ordre et nous programmer à distance... On pense
forcément à la « marque de la Bête » qui, selon les prédictions
apocalyptiques bibliques, serait insufflée à tous les êtres
humains et à toutes les marchandises, comme une soumission
à tous les maîtres du mercantilisme.
Avant de mourir d’une attaque cardiaque dans des conditions
jugées suspectes, Serge Monast[369], qui se disait « informé par
des politiciens repentis et des agents des services secrets
écœurés », et que l’on a fait passer pour fou à l’époque, nous
prévenait déjà en 1996 : « L’idée est d’injecter dans l’organisme
de l’ADN nu, c’est-à-dire des séquences d’ADN répétitives (cet
ADN peut être synthétique) qui sont des supports
d’informations cellulaires sur lesquels on vient greffer soit des
séquences d’ADN viral, soit des gènes codants pour des
protéines virales ou bactériennes. L’intégration de ce
patrimoine génétique à nos cellules est très rapide et on ne
peut plus contrôler par la suite les synthèses protéiques qui se
font, puisqu’elles sont intégrées à notre patrimoine. »
On sait maintenant que cet ADN étranger implanté par
vaccin ou par les épandages constitue une « antenne »
programmable par l’extérieur dans un but non pas humanitaire
Albert EINSTEIN.
de santé, mais bien de contrôle des populations à des fins
politiques extrêmement douteuses. Et que depuis le vendredi
15 octobre 2004, l’agence de sécurité sanitaire américaine
(Food and Drug Administration, FDA) autorise l’usage de puces
RFID (identification par radio fréquence) dans le corps humain.
Monast avait donc raison !
Il ajoutait : « Ces technologies de modification du
comportement des populations (voire de ralentissement du
système immunitaire ou de production de toxines mortelles) à
l’aide de fréquences gigahertziennes (micro-ondes) existent et
sont notamment relayées par l’injection de cristaux liquides et
l’implantation d’une puce électronique sous-cutanée, dans le
but de court-circuiter la conscience individuelle. »
Cette technologie dont on nous parle si peu représente sans
aucun doute la nouvelle étape du contrôle systématique des
biens et des personnes.
Qui pense que le passe Navigo de la RATP ou le boîtier Liber-t
permettant de passer sans s’arrêter au péage des autoroutes
utilisent déjà la RFID ? Et que cela permet à la société qui
exploite les autoroutes (APRR) d’identifier chaque usager dès
lors qu’il utilise ces systèmes très pratiques.
Demain, tous les produits manufacturés seront équipés
d’une puce RFID qui communiquera par radio avec des
ordinateurs qui pourront analyser les déplacements de chaque
consommateur.
Immanquablement, les recherches aboutissent à la société
VeriChip, qui a déposé une marque du même nom pour une
puce électronique de la société Applied Digital, en forme de
grain de riz, qui peut être insérée sous la peau des êtres
humains. Le composant comporte un numéro d’identification
unique à seize chiffres qui peut être consulté à distance par un
lecteur de données spécifiques. Ce lecteur peut ensuite se
connecter à des serveurs informatiques afin de récupérer des
informations personnelles sur la personne implantée (groupe
sanguin, allergies, maladies, nom, numéro de dossier médical
pour un hôpital ; compte bancaire, crédit, placements
financiers si on l’utilisait pour les distributeurs automatiques,
etc.). L’implantation se fait sans douleur et a lieu lors d’une
opération très rapide qui ressemble à un vaccin. C’est la même
technologie que celle déjà utilisée, par exemple, pour le
marquage d’un cheptel bovin, des animaux domestiques, pour
suivre des baleines pendant leurs déplacements, et plus
récemment dans des hôpitaux américains, et certaines
discothèques espagnoles.
On apprend que, dans le cadre de la mise en place de
certaines de ces applications, l’entreprise VeriChip est associée
aux projets de RTLS 2006-2016 (Real-Time Locating System)
qui visent à suivre informatiquement les RFID, éventuellement
même par satellite ; et que le revenu annuel de VeriChip est
passé de trois millions de dollars en 1990 à quarante millions
en 2004 pour ses systèmes de « protection infantile » baptisés
HUGS (câlins, en français !) et se basant sur une utilisation de
cet implant électronique sous-cutané.
Bien sûr, on ne nous présente que les aspects positifs de
cette technique : simplifier notre vie (on pourra payer en
scannant notre puce comme un code-barres à la caisse des
supermarchés), sécurité (en voyage, notre dossier médical
serait immédiatement disponible à tout médecin étranger),
sous forme de bracelet pour identifier les nourrissons, éviter les
enlèvements, suivre les gens qui ont des troubles de la
mémoire...
En ce qui concerne la santé, on nous promet que ces puces
seraient capables de détecter la présence de virus, de bactéries,
de cellules anormales (cancer) et de carences en minéraux, en
vitamines... de surveiller la moindre évolution dans les
maladies, comme les variations de la pression sanguine, de la
température, les niveaux de diabète ou de cholestérol, de
délivrer les doses de médicaments nécessaires ou les hormones
contraceptives tous les jours à la même heure[370].
Mais, outre le fait que l’on ne s’imagine pas vraiment «
marqués » comme du bétail, que dire de l’identification, la
localisation du porteur, les possibilités de modification du
comportement, de déclenchement d’une charge virale à
distance, de programmation, la suppression des libertés et de
la vie privée, le pistage, le flicage... D’autant que, selon un
communiqué de presse de VeriChip en date du mercredi 31 mai
2006, cet implant « est modulaire dans sa conception, ce qui
permet aux infrastructures d’y ajouter des fonctions si
nécessaire ». Et il serait en mesure de recevoir des signaux et
de l’information par ondes EMF, ELF et micro-ondes
syntonisées sur des fréquences spécifiques...
Pas besoin d’être « conspirationniste » pour comprendre tout
de suite les implications que cela peut avoir ! Et les dangers !
Autre détail non négligeable : en mars 2009, le docteur
britannique Mark Gasson[371] s’est fait injecter une puce sous la
peau de la main au laboratoire de l’Université de Reading, où il
a mené une expérience en infectant volontairement son implant
avec un virus informatique. Et il a prouvé qu’on pouvait
contaminer d’autres systèmes informatiques autour ou en soi...
ce qui constitue un petit problème pour ceux qui auraient
plusieurs puces dans le corps !
Car l’industrie, comme ceux qui dirigent le monde, mise bien
sur le fait que la plupart des gens veulent avant tout se
simplifier la vie, pour implanter les gens en bonne santé !
La compagnie Dangerous Things a d’ailleurs développé le
premier kit de puces injectables et, pour 99 dollars, vous
pouvez vous implanter votre première puce ; on vous fera
ensuite suivre Facebook une mise à jour de ses
applications[372] ! Elle n’est pas belle la vie ?
Le premier VRP de la puce VeriChip est le président Obama.
Sa réforme de santé, le Health Care Bill a provoqué une énorme
réticence parce qu’on comprenait clairement, à sa lecture, que
le puçage serait obligatoire (Act HR3200[373]) si l’on souhaitait
en bénéficier. L’administration a fait machine arrière, changé
des mots, pondu le ObamaCare (HR 3590[374]) et tente de
convaincre les citoyens qu’ils n’ont jamais eu pareille idée...
Mais le 23 mars 2010, le Health Care Bill a approuvé le
développement d’un dispositif implantable et il est bien indiqué
dans la nouvelle loi que le gouvernement pourra y stocker outre
« des informations médicales et personnelles, les informations
qui lui “sembleront appropriées
[375]
” » C’est vague !
Obama lui-même présente les micropuces comme « le
sauveur » : « Elles vont réduire le déficit national de l’économie,
permettre une efficacité jamais atteinte dans la prévention et
rapporter deux milliards de chiffre d’affaires en production,
donc sauver le système de santé pour qu’il puisse être transmis
aux générations futures. » À défaut d’être convaincant, il
apparaît comme très autoritaire : « Je l’ai déjà dit, je le redis,
tout le monde va devoir être pucé[376]. » Il est vrai qu’on parle
d’un potentiel de vente de sept milliards d’individus ! Et que les
via
piliers du Nouvel Ordre mondial ont de la suite dans les idées...
Ça rappelle assez le « nous irons ensemble vers ce Nouvel Ordre
Mondial et rien ni personne ne pourra s’y opposer » de Sarkozy
en 2008 !
Cette tentative de prise de pouvoir matériel et spirituel
aboutissant au marquage des hommes avait également été
dénoncée explicitement par Aaron Russo[377] qui, dans une
vidéo, accuse nommément Nick Rockefeller d’en être l’un des
acteurs.
Il explique comment ils sont devenus amis, partageaient des
conversations et comment Nick a essayé de le recruter pour
faire partie du Council on Foreign Relations, et
devenir ainsi « un des leurs », au lieu de continuer à les
combattre au travers de ses films, et de vouloir éduquer les
petites gens. Disant d’eux, enfin de la plupart d’entre nous : «
Ce sont des serfs, qu’est-ce que tu en as à foutre ? » Aaron ne
comprend pas et demande à Nick Rockefeller :
« Tu as tout, l’argent, le pouvoir, quel est le but de tout ça ?
— Le but est que tous les gens aient une puce pour pouvoir
contrôler toute la société [...] Nous croyons que la société doit
être contrôlée par les élites [...] mais ne t’inquiète pas, toi, tu
auras une puce spéciale qui te désignera comme l’un des
nôtres. Tu seras intouchable... »
Beaucoup de chercheurs, comme Lydia Mancini, qui a étudié
ce qui dans les chemtrails peut altérer les fonctions de notre
cerveau, ont rapproché leurs résultats du rapport de l’US Air
Force 2025 :
[378]
Pages 8 et 20, il y est étudié « la façon d’implanter une
population avec des capteurs biologiques “furtifs”, de pistage et
d’attaque, qui sont “plus minces qu’un cheveu humain”, le tout
think tank
Hit ‘em where it hurts : strategie attack in 2025 .
en pulvérisant ces machines dans l’approvisionnement
alimentaire, dans l’eau et dans l’air[379]... », cela afin que ces
capteurs pénètrent et se fixent dans les corps humains mais
aussi, en tombant au sol, qu’ils puissent former un réseau de
surveillance autour d’un LOV ou lieu de valeur),
c’est-à-dire la cible qui intéresse le donneur d’ordre.
Dans un article pour le magazine intitulé « Êtesvous des cobayes ou des robots ? », Sylvie Simon se demandait
: « Et si l’injection vaccinale n’était que le moyen technique
d’implanter dans le corps des cristaux liquides qui, comme la
puce, permettent le contrôle permanent de chaque individu ?
La pression vaccinale des autorités est devenue telle que l’on
est obligé de s’interroger sur les buts réels de la vaccination. »
Bruno Lina, dont on a pu constater le zèle (et les connexions
avec Sanofi) lors de la fausse pandémie de grippe H1N1, en
tant que conseiller de madame Bachelot et du Dr Margaret
Chan à l’OMS, faisait tester la découverte dès 2009 dans son
fief de Lyon : « Pendant deux jours, une équipe de physiciens et
de médecins ont équipé de puces électroniques 241 élèves et 10
institutrices d’une école primaire et enregistré leurs moindres
interactions... »
Aux États-Unis, un programme qui consiste à injecter
plusieurs vaccins combinés aux nouveau-nés, en même temps
qu’une puce qui permettrait leur suivi (du
berceau à la tombe), est sur le dessus de la pile depuis quelque
temps. Jacques Attali, qui maîtrise l’art de faire passer pour
normal les plans les plus pourris de l’Empire, en parle le plus
naturellement du monde dans ses causeries sur Public Sénat,
le 8 novembre 2008 : « On peut imaginer que chaque individu
accepte, volontairement ou sans le savoir, une puce qui
contiendrait toute une série d’informations sur lui, qui
(locus of value,
Votre santé
from tuomb to tomb
permettrait à la fois de tout payer, de tout savoir et donc de le
libérer de toute forme de contrainte... »
Il est certain que miser sur la fainéantise des humains et la
facilité est une valeur sûre de notre temps, mais cela mérite
réflexion quand on voit à quoi cela nous a menés avec la
nourriture ! Et ce n’est pas tout, puisqu’il ajoute : « Il y aura
aussi pour chacun d’entre nous l’exigence morale et matérielle
de vérifier en permanence que l’on n’est pas connecté à un
réseau sur lequel on ne souhaiterait pas être... » Si ce n’est pas
de l’humour -et ce n’est pas sa plus grande qualité -
c’est quand même un comble !
Parce qu’une fois qu’on s’est laissé implanter une puce, on
perd forcément tout contrôle sur qui va pouvoir la lire et ce
quelle va contenir ! De plus, on pourra nous suivre à la trace...
Déjà que les portables permettent de nous joindre à tout
moment, cela ne va pas être si on ne peut même plus
mentir !
Blague à part, il y aura toujours une nouvelle raison de nous
« pucer » pour quelque chose et pour notre bien, dit le
chercheur Jean-Michel Truong, et puis un jour on ne saura
plus vivre sans. « Ce jour-là, on envisagera de l’implanter
systématiquement à la naissance. Son port deviendra
obligatoire. Se “dépuceler” sera criminel[380]. »
Il est certain que c’est le but hypocrite des élites. Le Dr de
Brouwer explique : « Ces transpondeurs, à partir d’une
influence magnétique extérieure, permettent d’agir à l’échelle
cellulaire, c’est-à-dire inconsciente, soit des émetteurs, soit
des antennes télé, soit des satellites. Si de tels transpondeurs
étaient injectés à des humains, il serait possible d’agir sur les
gens avec une antenne cellulaire qui court-circuite la
a priori
fun
via
conscience individuelle. »
« Si » est dépassé depuis longtemps ; il n’y a plus aucun
doute : le puçage est une réalité. José Delgado, physiologiste à
l’Université de Yale, publiait, en 1969, les résultats de ses
expériences poussées sur le contrôle du cerveau dans son livre
: .
Il écrivait : « Les transmetteurs cérébraux peuvent rester à vie
dans le cerveau d’un sujet. L’énergie qui actionne le
transmetteur est transmise par des fréquences radio. [...] L’une
des possibilités des transmetteurs cérébraux est d’influencer
les gens, afin qu’ils se conforment aux systèmes politiques. Les
comportements individuels et sociaux, les réactions
émotionnelles et mentales, peuvent être provoquées,
maintenues, modifiées ou inhibées, chez les animaux comme
chez l’homme, par la stimulation des structures cérébrales
spécifiques. Le contrôle physique de plusieurs fonctions
cérébrales est un fait établi. Il est même possible de suivre les
intentions, le développement des pensées et les expériences
visuelles[381]. » C’était il y a plus de quarante ans... On imagine
à peine de quoi ils sont capables de nos jours !
Il allait bien plus loin lors d’une déclaration dont on trouve la
trace dans un procès-verbal des séances du Congrès
américain[382], le 24 février 1974: «Nous avons besoin d’un
programme de psychochirurgie pour le contrôle politique de
notre société. Le but est le contrôle physique de l’esprit.
Chacun qui dévie de la norme donnée peut être
chirurgicalement mutilé. L’individu peut penser que la réalité la
plus importante est sa propre existence, mais c’est seulement
son point de vue personnel. Même si cette attitude libérale est
très séduisante, cela manque de perspective historique.
L’homme n’a pas le droit de développer sa propre façon de
Physical Control of the Mind : Toward a Psychocivilized Society
penser. Nous devons contrôler le cerveau électriquement. Un
jour, les armées et les généraux seront contrôlés par
stimulation électrique du cerveau. »
Et il n y a pas de doute non plus sur le fait qu’il a mené des
expériences sur les humains puisqu’au chapitre 9, section F, il
confie : « Durant les expériences, une stimulation électrique
d’intensité appropriée l’a toujours emporté sur le libre arbitre.
[...] La destruction des lobes frontaux a produit des
changements au niveau de l’efficacité qui sont au-delà de tout
contrôle personnel... »
Dans un autre passage, il décrit comment la stimulation
électrique du cerveau « peut retarder un battement du cœur,
déplacer un doigt, amener un mot à la mémoire, ou définir un
ton comportemental déterminé ».
Même si la vie n’est pas toujours drôle et si, quelquefois,
nous l’aimerions différente, elle reste la nôtre, notre bien le
plus précieux et j’ai peine à croire que tous ces gens que je
croise seraient d’accord pour que ces docteurs Frankenstein la
leur volent, qu’ils aient envie d’être contrôlés émotionnellement,
que notre cerveau obéisse à une puce, un ordinateur,
programmés par des gens pour qui elle ne compte pas.
Pourtant, mi-janvier, juste après les événements de
, je regarde les infos, incrédule... Pour l’instant, les
chiens rabattent le troupeau... Et ça marche ! Merveilleuse
stratégie du choc. Aujourd’hui, combien seraient ravis de
recevoir la puce ? Combien iraient même la réclamer pour «
lutter contre le terrorisme » ? et se battraient même pour
l’avoir, pour peu qu’on annonce qu’il n’y en aura pas pour tout
le monde ? Oubliant que, tant que la puce reste implantée sur
une carte de crédit ou un passeport, ce n’est qu’un GPS dont
Charlie
Hebdo
nous pouvons nous débarrasser mais, si, au cours d’un acte
médical, cette puce, d’une taille de quatre centièmes de
millimètres, devait être implantée dans notre corps, nous ne
pourrions pas nous débarrasser de ce dernier.
À ce propos, certaines personnes - qui pourraient être de ces
cobayes de la CIA dont parle Barrie Trower - se plaignent
d’avoir été implantées à leur insu à l’occasion d’une opération
chirurgicale ou d’une visite chez le dentiste, dans la mâchoire,
dans l’œil, l’oreille, le cerveau... et racontent vivre un calvaire
inimaginable !
SMART DUST
Non seulement il est probable que nous soyons implantés ou
courions le risque de l’être, mais nous sommes, semble-t-il,
entourés de « poussières intelligentes » ou Elles ont
la taille de particules microscopiques et peuvent être «
programmées chimiquement pour cibler une substance
spécifique et s’auto-assembler ou s’y coller. On peut l’utiliser
pour des presque microscopiques placés dans des articles,
ou la coller sur les vêtements des gens[383]. » Une multitude de
microcapteurs terrestres, de puces espionnes, invisibles ou
furtives qui permettent de transmettre les détails des
conditions locales et les déplacements des gens ou des objets
autour ou à l’intérieur d’un LOV (lieu de valeur).
Dans le même rapport de l’US Air Force,
, on peut lire, à la page 33 : « [...] tels des graines de
lampourde épineuse, de minuscules capteurs s’accrocheraient
à certains humains, les taguant de manière efficace pour un
suivi continu par l’intermédiaire des plateformes aériennes. » Et
le portail web Futura-Sciences résume non sans humour : « Ce
périmètre invisible de défense technologique combine
vidéosurveillance (de très haute résolution) et puces RFID, afin
de suivre à la trace les objets, mais aussi, et à leur insu, ceux
qui les auraient dérobés, quand bien même ils les auraient
cachés dans une mallette, sous leur veste ou dans leur
chaussette. »
Autre découverte intéressante : des hordes de capteurs
terrestres qui peuvent sentir la présence d’une molécule dans
l’air, la goûter et l’identifier, des « nano-nez » et «
nanolangues[384] ». Les experts, on s’en serait douté, travaillent
smart dust.
tags
Hit them where it
hurts
à mettre au point ces capteurs qui permettent d’identifier et de
pister les personnes leur odeur unique et personnelle ; de la
même manière que chacun d’entre nous possède une fréquence
de résonance bioélectrique unique dans le cerveau, des
empreintes digitales uniques et un ADN unique. À ce sujet,
IBM est en train de mettre au point un lecteur de code-barres
capable de lire notre ADN[385].
Et, au cas où ils nous perdraient quand même de vue, un
nouveau satellite radar appelé MIRIALL[386] peut voir à travers
les murs, la nuit, et quelles que soient les conditions météo,
renvoyer une image en 3D, sous tous les angles, et
pratiquement en temps réel. Et l’on a même vu des drones, qui
ont la forme et pratiquement la taille de libellules ou d’oiseaux,
surveiller des « zones sensibles[387] »...
Évidemment, tout cela est très inquiétant pour tous les
habitants de la planète, mais pour tous les récalcitrants, les
insoumis, ceux qui réfléchissent, il y a pire.
via
LES ARMES NON LÉTALES
Les « armes non létales » sont des armes capables de modifier le
comportement des hommes sans les tuer. Elles sont
nombreuses et sophistiquées, car depuis 1995, l’armée
américaine en poursuit l’étude au sein d’un groupe de travail :
le US Joint Non-Lethal Weapons Program.
En France, on en a peu entendu parler ; de temps en temps
seulement, pour leur utilisation par la police dans les
manifestations. Quand on vit aux États-Unis, il n’est pas rare
d’assister à une arrestation musclée où les shérifs ont toute
une panoplie de ces armes antipersonnelles non létales à leur
disposition. Des agents chimiques capables de déclencher des
douleurs aiguës, de faire vomir, de rendre momentanément
aveugle, de suffoquer, d’étouffer ou d’endormir. Des armes
sonores à infrasons et à ultrasons - inaudibles par l’oreille
humaine - mais pouvant « engendrer des ruptures d’organes,
créer des cavités dans les tissus humains et causer un
traumatisme potentiellement létal », nous explique Steve Wright
dans Il précise dans un autre rapport
que : « Les chercheurs estiment que des vibrations acoustiques
de très basse fréquence, un infrason de l’ordre de 16 Hz mais
d’une grande intensité, peut être la cause de nausées, d’une
désorientation, de troubles de l’équilibre, de vertiges, de
troubles de la vision, voire de lésions internes, dont l’effet peut
aller de l’inconfort temporaire à la mort dans les cas extrêmes. »
Des armes à ondes électromagnétiques « comme l’Active Déniai
System (ADS), développé par Raytheon, émettant des ondes à
95 GHz, qui font chauffer l’eau dans le corps et engendrent une
forte sensation de brûlure chez la cible puisque sa peau atteint
Le Monde diplomatique.
la température de 55 °C. En 250 secondes, non seulement la
peau est brûlée, mais cela peut induire des crises semblables à
des crises d’épilepsie et provoquer un arrêt cardiaque... Cette
arme aurait été utilisée en Irak[388]... »
Un rapport de l’US Air Force de 1998 (
publiait toute une liste de ces
armes, dont les , matraques à électrochocs ou gaz
incapacitants, des « inhibiteurs neuronaux qui frappent les
personnes d’incapacité, paralysant les connexions synaptiques
» ; « hallucinogènes » ou « narcotiques qui désorientent, rendent
confus et frappent d’incapacité » ; des « fusils électroniques »,
munitions à impact contondant (armes cinétiques qui ne
pénètrent pas dans le corps mais assomment la victime et
affaiblissent le système nerveux central), ou « sédatifs transmis
les poumons ou la peau » ; « bêtabloquants » ou « fléchettes
tranquillisantes et balles anesthésiantes » ; vaporisateurs
d’agents chimiques, agents tranquillisants ou incommodants
(comprenant sédatifs, odeurs insupportables, hydrogène
sulfureux, gaz lacrymogènes, gaz poivre...)» grenades à
percussion, systèmes « antitraction » ultraglissants, force
acoustique, enchevêtrements/filets, barrières, faisceaux
d’énergie, rayon laser isotrope éblouissant (source lumineuse
intense et omnidirectionnelle), super-polymères (pour créer un
brouillard adhésif, immobilisant) et mines incapacitantes » ; «
impulsions micro-ondes puissantes » ,
qui « induisent confusion, stupeur et coma chez les
personnes et les animaux » ; ainsi que des hologrammes
provoquant des illusions optiques plus ou moins
déstabilisantes, des lasers ou encore le
développé spécifiquement pour agir sur le
comportement ou le mental de l’homme.
Non-lethal weaponry : a
framework for future intégration)
tasers
via
(HPM High Power
Microwave)
Biological Process
Control,
Toutes ces armes sont de prétendues armes de guerre et un
article du
[389] parlant des armes
électromagnétiques non létales, explique que « pendant bien
quarante ans, l’armée américaine a étudié en silence des armes
de ce genre ». Mais une directive du département de la Défense
de janvier 1995 sur la politique des armes non létales, dans
son chapitre intitulé « Emploi, ou cas spécifique d’utilisation
des armes non létales », indiquait déjà : « Le terme “adversaire”
est employé ci-dessus dans son sens le plus large, comprenant
ceux qui ne sont pas des ennemis déclarés mais sont engagés
dans des activités que nous souhaitons arrêter [390]. » Et l’on
voit bien ces derniers mois que les nouvelles cibles sont des
civils au cœur des mouvements sociaux, des manifestations qui
ont lieu un peu partout dans le monde depuis « la crise ».
Certains disent que de plus en plus de gens sont conscients de
ce qui se passe et que l’élite sait quelle a perdu... À mon avis,
l’inconnue est là : que va faire l’élite si un jour elle se sent en
danger ? La menace la plus grande pour nous me paraît être
que toutes ces technologies non létales (dont la majeure partie
reste couverte par le secret défense) pourraient être utilisées à
des fins de contrôle politique, mental et physique, si un jour
ladite élite ne parvenait plus à contenir les populations.
À ce propos, fin 2012, lors d’une conférence en Pologne
[391]
destinée à un public d’initiés, Zbigniew Brzeziński, l’ancien
conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, déclarait que
pour la première fois de l’Histoire, les populations étaient
politiquement éveillées et que : « stimulée par les moyens de
communication modernes, tels que la télévision et Internet, la
montée d’une résistance mondiale à tout contrôle externe,
conduite par un activisme populiste, menace de faire dérailler
la transition vers un Nouvel Ordre mondial ». Il a conclu en
US News and World Report
disant que cette résistance était « de plus en plus difficile à
supprimer ».
Ces confidences ont été faites dans le cadre du Forum
européen des idées nouvelles (EFNI), une organisation qui
prône la transformation de l’Union européenne en un état
fédéral supranational, et ont pris la tournure d’un
avertissement à ses amis mondialistes.
Il faut se rappeler que Brzeziński a écrit, dans
, qu’on assisterait
au contrôle des populations par la classe des élites politiques
les manipulations technotroniques et qu’il fut l’un des
théoriciens à l’origine de la fameuse « Aurore rouge » dénoncée
par Serge Monast, qui est l’établissement par des élites «
dégagées de tous scrupules traditionnels » d’un nouvel ordre
technotronique (technocrate et électronique) dans lequel tout
citoyen serait fiché et suivi électroniquement[392].
Différentes études, dont le rapport du GRIP[393] sur les armes
non létales, confirment : « Qu’ils y soient soumis par un
visuel ou auditif, il semble donc assez bien établi que
les êtres humains sont particulièrement sensibles aux
fréquences extrêmement basses, sensibilité que la recherche
militaire compte bien exploiter. » On distingue les ANL-AP
destinées au contrôle des masses qui « doivent permettre
d’influencer le comportement d’une foule potentiellement
hostile ou de contenir une émeute ». Et celles destinées à «
frapper d’incapacité un individu isolé, sans affecter ceux qui
l’entourent ».
Dans un document publié en 1996 par le Scientific Advisory
Committee de l’US Air Force, il est envisagé « la possibilité de
développer des sources d’énergie électromagnétiques [...] qui
Between Two
Ages : Americas Rôle in the Technetronic Era
via
stimulus
pourront être couplées avec le corps humain d’une manière qui
permettra d’empêcher les mouvements musculaires
volontaires, de contrôler les émotions, d’endormir, de
transmettre des suggestions, d’interférer avec la mémoire à
court comme à long terme, de produire l’acquisition
d’expériences, ou d’effacer des expériences acquises[394]... » On
a bien compris que quand on programme des signaux externes
pour atteindre notre cerveau, ils vont altérer les fréquences
normales afin que les ondes cérébrales s’adaptent à la nouvelle
bande de fréquences. Barrie Trower l’explique très clairement
par l’image du trampoline[395] :
Imaginez que vous êtes un enfant qui saute sur un
trampoline et que quelqu’un de plus gros et de plus lourd saute
au milieu. Vous allez rebondir à son rythme... C’est «
l’entraînement ». Quand il va sauter hors du trampoline, vous
allez continuer à rebondir à son rythme. C’est la «
potentialisation à long terme ». Et il vous faudra du temps
avant de revenir à votre rythme. C’est pareil avec les ondes qui
atteignent notre cerveau.
Dans le cas de l’utilisation de TETRA[396] par les officiers de
police, par exemple. On s’est rendu compte que leurs ondes
cérébrales pouvaient continuer à souffrir jusqu’à six semaines
après que les boutons aient été éteints[397] ! Trower raconte
aussi que plusieurs éléments des forces spéciales qui
travaillaient aux transmissions radio se sont retrouvés avec de
graves problèmes de violence vis-à-vis de leurs femmes ou de
leurs enfants, certains allant même jusqu’au meurtre, et donc
la prison à vie. Autre constatation : la fréquence de modulation
de 6,6 Hertz, qui n’est pas rare, peut être liée à des agressions
sexuelles violentes[398].
Or, on ne sait rien de ce qui se passe autour de nous, de
notre sort personnel ni des programmes en cours ; on sait
seulement qu’ils peuvent cibler un seul organe d’une seule
personne ou, avec leurs énormes émetteurs de micro-ondes,
couvrir un pays, une ville, une rue... Même chose avec les
substances chimiques que l’on reçoit et dont les effets sont
multiples : induire les mêmes symptômes que la prise de
morphine, de marijuana, la sensation de faim... voire une
dépression totale, où la seule solution entrevue serait le
suicide, ou bien de graves agressions neurologiques. Barrie
Trower explique qu’il suffit pour cela de deux milliampères
introduits dans le cerveau.
Il révèle aussi qu’on peut être soumis aux micro-ondes à
travers les murs d’une maison. Il suffit qu’ils puissent
stationner une voiture dans un périmètre de cinquante mètres,
et « avec un guide infrarouge, ils peuvent vous suivre dans les
toilettes, dans votre chambre, vous observer dans le bain... » Et
plus, si affinités !
En 1993 et 1994, plusieurs journaux, dont [399] ont
également fait état des expériences menées par Igor Smirnov,
de l’Académie de médecine de Moscou, pour les services secrets
américains et le FBI « permettant d’insérer de façon subliminale
des pensées dans l’esprit d’individus afin de contrôler leurs
actions ». Le FBI avait d’ailleurs envisagé l’utilisation de cette
méthode contre David Koresh, de la secte des Davidiens,
pendant le siège de Waco en lui envoyant des messages pour
lui faire croire qu’il entendait la voix de Dieu. Smirnov avait
aussi mis au point la « psychocorrection », qui consistait à
envoyer dans les oreilles du patient des « bruits » contenant des
questions ou des ordres inaudibles, mais perçus par le cerveau.
En 1994, Steven Metz et James Kievit du Strategic Studies
Institute expliquaient également dans un ouvrage sur les
Newsweek
psychotechnologies[400] que « les psychotechnologies
permettront aux commandants de manipuler les perceptions et
croyances de leurs propres soldats, des ennemis et des noncombattants. De telles capacités pourraient être utilisées aussi
bien pour les problèmes intérieurs que pour les problèmes
internationaux, défiant de ce fait les croyances américaines
fondamentales sur la vie privée personnelle et l’intrusion de
l’État dans la vie des individus. » Quelques années plus tard,
Metz précisait dans une autre publication : « Spécifiquement,
l’armée américaine et d’autres agences gouvernementales
devraient développer une approche conçue pour fracturer,
désunir, démoraliser et priver de ressources les insurgés. »
Un article sur l’armement psychoélectronique, rédigé par le
lieutenant-colonel américain Timothy L. Thomas intitulé «
L’esprit n’a pas de logiciel anti-intrusion[401] » et publié dans le
journal , édité par le US Army War College, attirait
l’attention sur le fait que « [...] le corps n’est pas seulement
capable d’être trompé, manipulé et désinformé mais également
paralysé ou détruit - exactement comme n’importe quel autre
système de traitement de données. Les “données” que reçoit le
corps à partir de sources extérieures - comme les ondes
d’énergie électromagnétique, , ou acoustique - ou qu’il
crée à travers ses propres chimiques ou électriques
peuvent être manipulées ou modifiées exactement comme les
données de n’importe quel système électronique. »
De plus, d’après N. Anisimov du Centre
antipsychoélectronique de Moscou, les armes
psychoélectroniques sont celles qui agissent pour « recueillir
une partie de l’information entreposée dans l’esprit d’une
personne. Elle est envoyée à un ordinateur, qui la retravaille au
niveau souhaité par ceux qui contrôlent la personne, et
Parameters
vortex
stimuli
l’information modifiée est ensuite réintroduite dans le cerveau.
» Ces armes sont utilisées contre l’esprit pour induire des
hallucinations, rendre malade, provoquer des mutations des
cellules humaines, la « zombification », voire la mort. L’arsenal
comprend des générateurs VHF, des rayons X, des ultrasons et
des ondes radio[402]. »
Il paraît que lorsqu’une découverte de l’armée est révélée au
public, elle existe déjà depuis au moins quinze ans, il est donc
certain que parmi toutes ces armes que l’on sait être à leur
disposition et toutes celles dont on n’a pas encore entendu
parler, comme le disait Coluche : « Si la Gestapo avait les
moyens de vous faire parler, les politiciens d’aujourd’hui ont
les moyens de vous faire taire ! »
CHAPITRE V
QUI C’EST « ILS » ?
C’est en gardant le silence
quand ils devraient hurler
que les hommes deviennent des lâches.
Abraham LINCOLN
Dans
[403]
le nouveau film de Paul
Wittenberger, co-producteur de
l’ex-sénatrice Karen Johnson dit : « Je pense qu’il
a des entités dans ce monde qui veulent le contrôle, qui
voudraient avoir moins de population à gérer [...] qui œuvrent
depuis des années dans ce sens même si cela n’apparaît au
grand jour que maintenant... » On les désigne communément
par le nom d
Une élite dans l’élite. D’après David Icke, il s’agit d’à peine
treize grandes familles de banquiers ou de la noblesse que l’on
retrouve dans toutes les cellules de pouvoir, l’extrême sommet
de la pyramide. Les noms qui reviennent régulièrement sont
Rothschild, Vanderbilt, Carnegie, Mellon, Warburg, Windsor de
la couronne d’Angleterre, le prince Bernhard et la famille royale
des Pays-Bas, Rockefeller (également co-fondateurs des
sociétés « secrètes » Bilderberg, CFR et Trilatérale), les Bush,
Henry Kissinger, Dick Cheney, Alan Greenspan, Zbigniew
Brzeziński, tous les présidents américains... On dit qu’Hitler en
The Great Culling ,
What in the world are they
spraying ?, y
'Illuminati.
faisait partie et que Bill Gates en ferait partie.
C’est le groupe Bilderberg qui pilote le vaisseau à
travers ses cercles concentriques. Autour du petit noyau des
maîtres du monde, de l’Advisory Committee (ou Comité
consultatif), qui est le véritable gouvernement mondial,
gravitent le Steering Committee (ou Comité de direction), puis
un cercle extérieur comportant des affiliés et des invités,
journalistes, du politiciens, patrons d’industrie,
sur lesquels on compte pour mettre en place la politique
décidée. C’est cette oligarchie qui choisit les personnages clé
des instances internationales, les représentants soumis de ce
qu’il reste des nations européennes (Herman Van Rompuy par
exemple, adoubé président de l’Europe, les derniers présidents
français dont parle si justement Soral[404]... Alain Juppé, invité
de la réunion 2015, ce qui semble indiquer qu’on « l’envisage »)
et qui dirige en sous-main la CIA, le FBI, la Banque mondiale,
l’ONU, l’OMS, l’OMC, le Forum économique mondial, la NSA...
Ce qui explique que, que nous votions pour la droite ou pour la
Gauche, si nous élisons un candidat mondialiste, la politique
appliquée est toujours la même : celle décidée là-haut ! celle
qui sert leurs intérêts, pas les nôtres ! Sachant que plus un
pays emprunte de sommes colossales - qu’il n’est pas en
mesure de rembourser - plus il devient leur otage... On ne le
met pas en banqueroute, on le met en demeure de servir ce
pouvoir ! La preuve, pour que les pays continuent à s’endetter,
les prêtent même à des taux négatifs ces derniers
temps !
On dit qu’ils seraient la continuité de l’Ordre des Illuminés de
Bavière, créé en 1776 par un ancien jésuite, Adam Weishaupt,
dont le projet était déjà la domination mondiale. Ils auraient,
dans ce but, initié la plupart des événements majeurs de
Illuminati
stars show-biz,
banksters
l’Histoire contemporaine, dont la Révolution française, la
création de la Réserve fédérale, d’ailleurs toujours contrôlée par
les familles qui l’ont fondée. Depuis la création du groupe
Bilderberg en 1954, rien ne filtre de ce qui se décide dans ces
réunions annuelles ultrasecrètes, ultrasécurisées et puis l’on
voit surgir des lois, des alliances, des guerres, des blocs comme
l’Union européenne, la North American Union, l’Union
africaine... sans que les populations n’aient jamais été
consultées, sans que la presse commente ce que nous devons
ignorer : que les mêmes personnes sont derrière tous ces
événements, par exemple, ou que ces blocs sont prêts à être
rassemblés sous un gouvernement mondial. Comme le
déclarait Paul Warburg : « Nous aurons un gouvernement
mondial, que cela nous plaise ou non. La seule question est de
savoir si nous y arriverons par la conquête ou par le
consentement. »
Il est vrai que, pour eux, les peuples ne sont qu’une masse
ignorante et stupide qui n’a pas son mot à dire, et le monde
doit donc être gouverné par une élite éclairée. À cet effet, leur
étau se resserre sur nous dans tous les domaines, comme on
vient de le voir au fil de ces pages. Le mensonge et la censure
de nos gouvernants vont galopant. Il devient donc urgent de
voir comment ils avancent leurs pions en politique, en
économie, en géopolitique et ce depuis des décennies ; d’avoir
une vision globale pour comprendre que tous les saccages de la
planète et des populations ne sont pas une succession de
funestes hasards, mais une machination globale, un plan dans
le plan où toutes les attaques convergent vers le contrôle
absolu de l’humanité. Certaines lectures sont, à ce propos,
incontournables, comme d’Alain Soral[405],
Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine de Carroll
Comprendre l'Empire
Quigley, ainsi que les ouvrages de Pierre Hillard, dont le
dernier, [406], dans lequel il résume,
justement, les liens entre ces élites et le nazisme :
« C’est le prince Bernhard des Pays-Bas (grand-père du roi
Willem-Alexander) qui fut le premier dirigeant du Bilderberg.
[...] Bernhard fut l’un des membres actifs de l’empire IG Farben
(complexe pétrochimique) qui, dans les années vingt, comptait
au sein de son comité de surveillance le grand banquier Max
Warburg (financier de la PanEurope). Son frère, Paul Warburg,
est le fondateur de la Fed (Réserve fédérale américaine), le
premier président du CFR, mais aussi membre de la branche
américaine d’IG Farben. C’est cet empire industriel qui joua un
rôle décisif dans l’arrivée d’Hitler au pouvoir puis, par la suite,
dans la guerre. Comme l’a dit le sénateur américain Homer
Truett Bone le 4 juin 1943 Farben était Hitler et Hitler était
Farben. " C’est donc dans ce milieu glauque que le prince
Bernhard pataugeait. Précisons qu’il fut pendant dix-huit mois
membre de la SS (Schutzstaffel) comme l’a expliqué
l’extraordinaire historien Antony Sutton. Complétons le CV du
personnage en rappelant qu’il fut le premier président du World
Wildlife Fund (WWF, institut promouvant dans sa finalité le
panthéisme) fondé par Julian Huxley (premier président de
l’UNESCO et eugéniste), frère de sang et d’esprit d’Aldous
Huxley, auteur du livre (1931), véritable
évangile du mondialisme largement mis en pratique depuis la
chute du mur de Berlin. »
Rien d’étonnant donc à ce qu’à la fin de la Seconde Guerre
mondiale, tout ce beau monde, une fois les formalités de
Nuremberg expédiées, se retrouve en famille au Nouveau
Monde !
Chroniques du mondialisme
Le Meilleur des mondes
QUELLES SONT LEURS INTENTIONS ?
Plus de 1 500 scientifiques allemands ayant travaillé avec les
nazis ont été graciés et récupérés par les États-Unis. On leur a
donné de nouveaux papiers d’identité, des salaires plus que
confortables, des budgets et des laboratoires pour continuer
leurs recherches pour le compte du gouvernement américain. Il
y avait des spécialistes dans tous les domaines sensibles :
aéronautique, nucléaire, missiles, bombes, et ceux de sinistre
réputation ayant travaillé sur les armes chimiques, biologiques
et les expériences sur les humains dans les camps. C’était
l’opération Paperclip : le point de départ de tous nos
cauchemars... du contrôle mental, des virus, des drogues...
tout ce que l’on est en droit de craindre actuellement.
Quelques fous de puissance ne peuvent pas contrôler
physiquement des milliards d’êtres humains, mais cela est
possible par le contrôle mental s’ils manipulent la façon dont
on pense, la façon dont on se sent, dont on va se comporter.
Ce n’est pas seulement , le robot
programmé pour tuer ; c’est tout un tas d’approches
sophistiquées... chaque fois que vous lisez une histoire dans la
presse, qui est biaisée pour vous faire voir le monde, une
personne ou un événement d’une certaine façon et que vous
acceptez cette version comme la vérité, vous êtes sous contrôle
mental. Chaque fois que vous voyez une pub qui vous persuade
d’acheter quelque chose que vous ne vouliez pas, vous êtes
sous contrôle mental. Ce sont juste des techniques différentes
pour nous faire réagir économiquement, politiquement, comme
cette clique l’a décidé. Et la question n’est plus de savoir
combien de personnes sont sous contrôle mental dans le
The Manchurian Candidate
monde, mais bien comment se fait-il qu’il y en ait si peu qui ne
le soient pas ?
Le centre du contrôle mental mondial est l’Institut Tavistock
des relations humaines (notez l’humour), fondé par le général
John Rawlings Rees et dépendant du département militaire
britannique de la guerre psychologique. Il allait devenir la plus
grande institution de « lavage de cerveau » de la planète, en
coordination avec Stanford aux États-Unis, et l’on commence à
savoir pas mal de choses sur le sujet, grâce au Dr John
Coleman[407], aux enquêtes de Lyndon LaRouche Lyn
Marcus, de Daniel Estulin, au livre de David
Icke et, dernièrement, celui de Maurice Gendre et Thibault
Philippe[408]. C’est d’abord une clinique financée par Rothschild
et la famille royale anglaise, qui devient un institut en 1947
après l’apport des fonds de Rockefeller et le laboratoire le plus
sophistiqué de la « guerre psychologique » et des méthodes de
manipulation des masses. Capable d’amener des tranches
entières de populations à croire à une fausse réalité, de créer
un rassemblement national en jouant sur l’émotionnel (« Je
suis Charlie » !), d’organiser des campagnes pour influencer les
gens en leur laissant croire que ce sont eux qui décident : Mai
68, l’entrée des Américains dans la Seconde Guerre mondiale,
la guerre d’Irak avec les fausses armes chimiques de Saddam
Hussein, la Révolution sexuelle et la vulgarisation du rapport
Kinsey - lui aussi financé par la fondation Rockefeller - qui, en
affirmant que les bébés ont des orgasmes comme les adultes,
devrait légitimer les pratiques les plus dépravées de ces élites,
la vulgarisation de la drogue joyeuse par les Beatles, un groupe
de musiciens adulé de la jeunesse...
Tous ces gens dans les rues qui nous arrêtent avec un blocnotes et disent effectuer des sondages d’opinion pour savoir ce
alias
The Biggest Secret
que nous préférons et qui nous demandent notre avis sur
différents sujets, ce n’est pas pour en tenir compte mais pour
renseigner les élites, savoir si telle manipulation a bien pris ou
ce qu’il faudrait faire de plus pour que davantage de gens se
conforment à leur souhait du moment.
Comme par hasard, l’institut Tavistock se spécialise
aujourd’hui dans la relation des couples et a pris le nom de
Tavistock Centre for Couple Relationships !
En 1932, c’est Kurt Lewin qui en prit la direction. Lui qui a
décidé les bombardements des quartiers ouvriers en Allemagne
« culminant dans la terreur du bombardement de la ville de
Dresde, lors duquel ont été massacré plus de 125 000 êtres
humains, principalement des personnes âgées, des femmes et
des enfants[409] », pour saper le moral des travailleurs
allemands ; évitant les usines et fabriques de munitions, ainsi
que les voies ferrées menant à Auschwitz, déjà, pour préserver
les intérêts des banquiers et des cartels mondialistes qui ne
voyaient aucun mal à travailler autant avec les Alliés qu’avec
les nazis !
Pendant la Deuxième Guerre mondiale, plus d’une centaine
de chercheurs ont travaillé sous la direction de Kurt Lewin,
usant et abusant des méthodes adoptées par Reinhard
Heydrich, patron de la SS. Après la guerre, il a continué à
mener d’innombrables expériences plus révoltantes les unes
que les autres, en particulier pour trouver « le point de rupture
» d’un être mis dans un état de souffrance innommable,
déterminer quand il craque pour détruire toute résistance dans
l’individu, car c’est à partir de là qu’on peut le conditionner et
le mettre à la merci du Nouvel Ordre mondial[410].
Pendant ce temps, le Science Policy Research Unit (SPRU)
étudiait les « chocs du futur », nom donné à cette application de
la psychologie destinée à manipuler des groupes de gens en les
confrontant à des événements choquants et des changements
de situation rapides et inattendus afin de provoquer la panique
et l’insécurité. Dans cet état, les gens deviennent incapables de
prendre une décision et sont donc manipulables à souhait. Il
faut croire que cela fonctionne, car l’histoire se répète sans que
la majorité des individus réagisse, pas plus sur la mise en
scène de l’attaque sur les tours du que sur
celle de Pearl Harbour à l’époque où la présence de chemtrails
dans nos ciels et les mensonges quotidiens de nos présidents...
En 1940, Rees annonçait comme objectif de la psychiatrie : «
Nous devons nous infiltrer dans chaque activité éducative de la
vie nationale [...] Nous avons lancé une offensive très
fructueuse dans bon nombre de professions. Les deux les plus
faciles sont naturellement l’enseignement et l’Église ; les deux
les plus difficiles sont la justice et la médecine[411]. »
Soixante-quinze ans plus tard, on peut dire qu’ils ont réussi
et l’on assiste à un contrôle de plus en plus sévère de la pensée
individuelle et des comportements collectifs dans le but
d’imposer la pensée unique, le seul « politiquement correct » qui
nous est aboyé et martelé sur les chaînes de télévision par
Manuelo, le guide suprême, glissé subrepticement dans le
système d’éducation et rabâché méthodiquement par les
médias à la solde du pouvoir.
La menace insupportable pour le Nouvel Ordre mondial étant
sans aucun doute le moindre soupçon d’identité, le plus petit
souffle d’indépendance et tous ses valets s’emploient à les
éradiquer. Il faut tout détruire : la famille, l’identité, le sexe,
l’éducation, le libre arbitre, l’intelligence...
World Trade Center
Ce sont les programmes de déconstruction de l’humain, dont
le premier volet est l’ingénierie sociale ou la « modification
planifiée du comportement », décrite par Lucien Cerise dans
son livre
[412]
. Il s’agit « d’objectiver le comportement d’un
sujet, qu’il soit individuel ou collectif. Il y a donc déjà un effet
de chosification du vivant. Le problème, c’est que ça marche ! »
Il est donc important de prendre conscience de ces
manipulations. « Ce sont des techniques du contrôle social et
du psychisme, on est au-delà du conditionnement pavlovien,
du répété [413] », explique Cerise, « ça joue sur le chantage
affectif, sur la culpabilisation, sur la crédulité... Le Big Brother
d’aujourd’hui est infiniment plus subtil que celui d’hier. » En
effet, à la place d’une dictature qui écrase et maintient sous
son joug, maintenant, les populations sont étudiées comme des
rats de laboratoire et les techniques sont devenues
scientifiques, « on pirate les cerveaux comme on pirate les
ordinateurs », mais c’est puisque cela ne
se voit pas !
L’autre déconstruction encore plus grave que l’oligarchie
nous impose est celle de la famille et de la parenté. Vous n’avez
pas trouvé bizarre qu’au même moment, dans un monde en
pleine déroute, subitement, la priorité de tous les
gouvernements soit le mariage Lucien Cerise dit que
l’anthropologue Maurice Godelier « a tout avoué » sans s’en
rendre compte ! En effet, dans ses écrits,
ce monsieur affirme que la famille et la parenté ne
sont pas le fondement de la société mais les rapports politiques
et religieux ! Et pour ne pas s’arrêter en si bon chemin, il
assure aussi que la GPA, le mariage homosexuel et
l’homoparentalité « nous ouvrent à un relativisme qui est un
Gouverner par le chaos - Ingénierie sociale et
mondialisation
démocratie compatible
gay ?
Métamorphoses de la
parenté,
progrès... »
Il est vrai que pour tous ces malades, la Nature est ,
mais depuis qu’ils gèrent la planète, qu’ont-ils apporté à
l’humanité, d’autre que la destruction dans tous les domaines
de la vie ?
Lucien Cerise rappelle que « toute société humaine est fondée
sur une parentèle, c’est ce que l’on appelle le complexe
d’Œdipe, c’est-à-dire tout ce qui se transmet d’une génération
à l’autre selon un schéma hétéronormatif. » C’est évidemment
ce qu’ils doivent détruire en premier chez les humains pour les
fragiliser, « en attaquant l’Œdipe, c’est-à-dire en répandant
l’idéologie de confusion des genres, en déconstruisant ce
système identitaire à quatre places : masculin-féminin et
parents-enfant. [...] Le but est d’en finir avec les identités
quelles qu’elles soient et lorsque l’on attaque la matrice de
toute identité possible, c’est-à-dire l’Œdipe, on attaque le cœur
de l’identité humaine, la constante anthropologique. »
Le résultat de cette politique a déjà des effets désastreux et,
contrairement aux thèses de Maurice Godelier, au fur et à
mesure que l’on déconstruit les systèmes de parenté, les
sociétés s’effondrent toutes seules. Il faut être aveugle pour ne
pas voir ce qui se passe dans nos villes, dans nos écoles... ou «
possédé » comme les éminents philosophes, sociologues,
ministres, en service commandé, chargés d’achever le travail en
fabricant volontairement des illettrés à la chaîne - mieux vaut
que les futurs citoyens ne sachent pas trop lire ou ne
comprennent rien à ce qu’ils lisent - et en s’inspirant sans
doute des idées énoncées par Daniel Cohn-Bendit en 1975
dans Ce que appelait en 2001 « la
complaisance de l’époque pour les excès de langage et parfois
d’actes des militants de la libération sexuelle », mais qui
h as been
Le Grand Bazar[414]. l'Express
décrivait clairement un appétit et des déviances de pédophiles.
« Faut vous dire, monsieur, que chez ces gens-là[415] », c’est,
paraît-il, assez répandu ! Raison de plus pour que les soldats
Peillon, Hollande et Vallaud-Belkacem aient une obligation de
résultat à imposer la « théorie du genre », autre grande priorité
de ce gouvernement !
Depuis des décennies que l’on nous montre du doigt les
régimes totalitaires du XXe siècle (URSS, Chine, Troisième
Reich) pour leur non-respect des droits de l’homme, on pouvait
penser naïvement que nous étions à l’abri en France... Eh bien,
non ! Les ordres venus d’en haut exigent pire : « En regardant
dans les petites culottes et les slips des enfants, [...] que les
imaginaires et les représentations des élèves s’accordent avec le
petit tuyau ou la fente qu’ils ont entre les cuisses [...] ils
s’approprient l’intimité des élèves, ils font leur ce que chaque
élève a d’unique ou de singulier, ils se mêlent de leur
sexualité[416]. »
Peuvent-ils encore aller plus loin ? Lucien Cerise le pense et
je partage ses inquiétudes : « Une fois qu’on a liquidé l’humain,
la prochaine étape est qu’on peut commencer à le combiner
avec d’autres espèces animales ou végétales, combiner du
vivant et du mort, les défilés de zombies ne sont pas dus au
hasard, le but c’est d’accoutumer les populations à l’idée qu’on
n’est pas vraiment en vie, une fabrique du consentement à la
mort [...] une société de l’indistinction qui se met en place sauf
pour ceux qui pilotent le système qui, eux, resteront préservés
de tout ça. »
Il faut dire que ces élites ne nous dévoilent pas spontanément
ce qu’elles sont en train de faire pour pouvoir nous manipuler
mais, un peu comme lorsqu’on vit avec un pervers narcissique,
on devrait écouter davantage ce que ces gens-là disent, lire les
documents qu’ils s’échangent entre eux pour comprendre leurs
intentions à notre égard.
[417] que j’ai déjà cité plusieurs
fois ici et qui serait l’une des feuilles de route issue d’une
réunion du groupe Bilderberg concernant leur politique
économique, comporte des perles à notre égard telles que : «
Étant donné que le public en général ne se restreindra pas, il
n’y a que deux alternatives pour réduire l’inductance de ce
système :
1. Laisser la populace s’entretuer dans des guerres, ce qui
résultera seulement en une totale destruction de la Terre.
2. Prendre le contrôle du monde par l’usage d’armes
économiques silencieuses sous la forme d’une guerre
tranquille et réduire l’inductance du monde à un niveau sûr
un processus d’un esclavage bienveillant et de génocide. »
« [...] le secret absolu sur les armes silencieuses est
nécessaire. Le public général refuse d’améliorer sa mentalité et
sa foi dans l’être humain. Il est devenu une horde de barbares
qui prolifèrent, un furoncle à la face de l’humanité. »
Que c’est gentil !
Ou bien : « Afin de parvenir à une économie totalement
prévisible, les éléments des classes inférieures de la société
doivent être amenés à un contrôle total, c’est-à-dire doivent
être mis à la rue, placés sous un joug, et assignés à un devoir
social à long terme depuis le plus jeune âge, avant qu’ils aient
l’occasion de se poser des questions sur la propriété de la
matière. Afin de parvenir à une telle conformité, la cellule
familiale des classes inférieures doit être désintégrée au moyen
d’un processus d’augmentation des préoccupations des
parents. »
Silent weapons for quiet wars
via
Ça ne figure pas dans leurs programmes électoraux, c’est
bizarre, non ?
Un autre document de la NASA intitulé
[ , ]
[418] écrit en 2001 par
Dennis M. Bushnell, scientifique en chef au Centre de
recherche Langley de la NASA[419], compile à peu près tout ce
que je décris dans ce livre, de la connexion du cerveau humain
à des puces en silicone au développement de substances
pathogènes génétiquement modifiées qui déjoueront nos
systèmes de détection et de défense immunitaire... Et flirte
aussi très souvent à la frontière de l’eugénisme à cause des «
limites critiques grandissantes des humains » qui sont « trop
gros, trop lourds, trop tendres et trop lents, qui nécessitent un
entraînement logistique important » alors qu’ils ont «
rapidement une valeur ajoutée décroissante jusqu’au
négatif[420]... » Dans un tableau sur les âges technologiques de
l’Humanité, on voit aussi chronologiquement :
■ les groupes de chasseurs ;
■ l’agriculture ;
■ l’industrie de 1800 à 1950 ;
■ IT (innovations technologiques : nanos, puces, robots) de
1950 à 2020 ;
■ Bio / Nanos (2020 ?) ;
■ le virtuel.
C’est donc bien ce qu’ils prévoient, puisque ce document
précise être basé sur les travaux futurs avec et pour la NASA,
la CIA, la DARPA, l’US Air Force, le FBI, le National Research
Council... et d’autres cellules officielles du pouvoir américain.
Le Dr John Coleman a été l’un des premiers à lever le voile
Future Strategic
Issues/Future Warfare Circa 2025
sur cette oligarchie « qui ne connaît aucune frontière nationale,
est au-dessus de la loi de tous les pays et contrôle tous les
aspects de la politique, du commerce, des religions, des
industries, des banques, des assurances, et même le commerce
de la drogue. » dans son livre
. Responsables devant personne d’autre que ses
membres, il montre comment ils tirent les ficelles de tous les
grands événements planétaires, manipulent les affaires du
monde entier et pourquoi, jusqu’à nos jours, si peu de gens ont
été au courant de son existence pendant qu’ils poursuivent leur
but de domination mondiale. Pourtant, les signes de leur
puissance sont partout...
Conspirators Hierarchy : The
Committee of 300 (La Hiérarchie des Conspirateurs : le Comité
des 300)
QUAND LES ÉLITES NOUS NARGUENT...
Les dollars cachent des images secrètes ! Nombreux sont ceux
qui savent maintenant que le billet d’un dollar est truffé de
symboles occultes : la pyramide avec « l’œil qui voit tout » qui
symboliserait l’œil des élites éclairées au-dessus de la masse
des briques du socle... La chouette minuscule (cachée sur le
côté droit en haut du billet), symbole des Illuminés (mais aussi
du Bohemian Club[421]).
On peut voir aussi l’inscription MDCCLXXVI (1776) en
chiffres romains sur la base de la pyramide. Coïncidence, c’est
celle de la fondation de l’Ordre des Illuminés de Bavière (le 1er
mai), mais aussi de la Déclaration d’indépendance des ÉtatsUnis le 4 juillet suivant.
Les deux mentions en latin sont, elles, très significatives. «
NOVUS ORDO SECLORUM » signifie « Nouvel Ordre pour les
Siècles » (assez proche de « Nouvel Ordre mondial »). Et «
ANNUIT CŒPTIS » se traduit par : « Notre projet sera couronné
de succès. »
Le billet de vingt dollars est encore plus étrange : en le pliant
d’une certaine façon, on voit ce qui ressemble fortement aux
tours du World Trade Center en feu... Or, cette série de billets a
commencé à être mise en circulation en 1996 ! Et une fois le
billet retourné, on peut voir un bâtiment semblable à celui du
pentagone, en feu lui aussi !
Il y aurait, en plus, une sorte de chronologie : lorsqu’ils sont
pliés de la même façon, on voit sur le billet de cinq dollars une
tour avec l’antenne intacte, sur celui de dix dollars, on aperçoit
une tour en feu ; sur celui de cinquante dollars, les deux tours
en train de s’effondrer et sur celui de cent dollars, plus rien
qu’une colonne de fumée[422]...
Hasard ou prémonition : dans , le film culte de 1999,
qui traite justement d’un futur où la réalité perçue par la
plupart des humains est une réalité simulée appelée « Matrice
»... le passeport de Neo expire le 11 septembre !
L’aéroport de Denver, dont la construction se termina en
1995, après plus de trois milliards de dollars de dépassement
de budget venant d’intérêts privés, chose que l’on sait
uniquement grâce à la plaque apposée dans le terminal : «
Financé par The New World Airport Commission » (la
Commission de l’Aéroport du Nouveau Monde)... dont personne
n’a pu prouver l’existence ! Mais le mystère réside surtout dans
la présence de peintures murales décrivant la fin du monde, le
Seigneur de la mort tuant la colombe de la paix, un masque à
gaz cachant son visage, dans une potentielle guerre biologique,
des enfants qui pleurent devant trois cercueils ouverts et des
espèces animales en voie d’extinction, une figure démoniaque
qui sort d’une valise en rampant, en guise de bienvenue, des
symboles et une dédicace maçonniques et un cheval Mustang
de plus de dix mètres de haut aux yeux rouges fulgurants...
ainsi que d’autres fresques qui semblent annoncer le retour de
la paix après toutes ces destructions. La dédicace sur la pierre
dit aussi qu’elle recouvre une « capsule » contenant « des
messages pour les habitants du Colorado en 2094[423] » !
: 7777777... Christine Lagarde ! Sans
vouloir voir le mal partout, la scène est quand même
hallucinante[424] :
Le 15 Janvier 2014, la directrice du FMI a en effet fait une
déclaration incroyable au National Press Club. Après avoir
souhaité une bonne année aux participants, elle précise vouloir
Matrix
2001
And the winner is
parler « numérologie », plus particulièrement du « 7 magique »,
invitant l’auditoire à compresser aussi les chiffres : « 2014,
vous laissez tomber le zéro : 2 + 1 + 4 = ... Ce sera le centième
anniversaire de la Première Guerre mondiale... le soixantedixième anniversaire de la Conférence de Bretton Woods
(laissez tomber le zéro), le vingt-cinquième anniversaire de la
chute du mur de Berlin (2 + 5 = 7) et les sept années de la crise
économique actuelle... » Était-ce un message occulte entre
copains du Nouvel Ordre mondial ?
La caste dirigeante se livre-t-elle, comme beaucoup le
soupçonnent, à de sordides calculs numérologiques pour faire
aboutir ses plans ?
Il reste une autre énigme, et elle est de taille : les
[425]
. Appelé aussi le Stonehenge américain, c’est un
monument en granité érigé le 22 mars 1980 aux États-Unis,
près d’Elberton en Géorgie. Commandé par un homme s’étant
présenté sous le nom de R. C. Christian, il a été construit par
la firme Elberton Granité Finishing Company. Le banquier qui
s’est occupé de la transaction a dû signer une clause de
confidentialité et a reçu l’argent et les documents relatifs à
cette transaction de diverses banques et villes des États-Unis
afin que les commanditaires ne soient jamais localisés,
identifiés ou divulgués.
C’est un ensemble de six blocs de granité de 5,87 mètres de
haut pour un poids total de 107 840 kg, sur lesquels sont
gravés « dix commandements » en huit langues modernes
différentes : l’anglais, l’arabe, le chinois/mandarin, l’espagnol/
castillan, l’hébreu, l’hindi, le russe et le swahili.
Et sur la pierre du haut, une courte inscription en quatre
langues anciennes : babylonien, grec ancien, sanskrit et
7
Georgia
Guidestone
hiéroglyphe égyptien.
La plaque sur le sol donne les explications avec des
références astronomiques, et indique la présence d’une capsule
temporelle enterrée deux mètres en dessous, « à ouvrir le... »
sans préciser de date.
Ces « dix commandements », censés nous guider vers un «
Age de Raison » et aider les survivants d’une probable
apocalypse à reconstituer une meilleure civilisation, sont :
1. Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000
d’individus, en perpétuel équilibre avec la nature. (Il y
avait, à l’époque, 4,5 milliards d’humains sur la planète, ce
qui voulait dire que huit sur neuf devaient disparaître ;
aujourd’hui ce serait environ 12 sur 13 !)
2. Guider la reproduction avec sagesse en améliorant
l’aptitude et la diversité.
3. Unifier l’humanité avec une nouvelle langue vivante.
(Certains craignent le Livre des Révélations, qui prévenait
qu’une langue commune et un gouvernement mondial
verrait l’accomplissement de l’Antéchrist.)
4. Gouverner la passion, la foi, la tradition et toutes les
autres choses (qui divisent) par l’usage de la raison et de la
modération.
5. Protéger le peuple et les nations par des lois équitables
et des tribunaux justes.
6. Laisser toutes les nations gérer les problèmes internes,
et régler les conflits internationaux devant un tribunal
mondial.
7. Éviter les lois insignifiantes et les fonctionnaires inutiles.
8. Contrebalancer les droits personnels par les devoirs
sociaux.
9. Privilégier la vérité, la beauté, l’amour, et chercher
l’harmonie avec l’Infini.
10. Ne sois pas un cancer sur la Terre. Laisse de la place à
la nature. Laisse de la place à la nature.
Il est évident que ces commandements vont dans le sens du
Nouvel Ordre mondial, comme la réduction massive des
populations, le contrôle de la reproduction, un gouvernement
mondial unique, la raison froide qui doit prendre le pas sur
toute individualité, sur notre héritage... En fait, sous le vernis
écaillé de la démocratie, c’est bien une dictature mondiale
absolue qui est en train de se mettre en place, où une
hyperclasse fasciste dominera des hordes de pauvres
exécutants, et où, dissimulé (pour l’instant) derrière des
déclarations d’intention humanistes ou des prétextes bidons,
tout est mis en œuvre pour atteindre ce but en repérant,
écartant et supprimant tous les dissidents jusqu’à extinction
de la race !
« Ce que nous voulons ne compte plus. Ce qui compte, c’est
leur propre agenda », nous avertissait Aaron Russo dans
peu avant sa mort dans une
interview pour Alex Jones[426]. « Ils ont les machines à billets.
Ce n’est pas une question d’argent, ils ont tout l’argent qu’ils
veulent. C’est une histoire de pouvoir et de leur vision du
monde. »
Je voudrais encore vous faire partager deux visions du
monde. D’abord, celle de George Carlin, mort en 2008 à
soixante-et-onze ans :
« Il y a une raison qui fait que l’éducation pue et c’est aussi
pour cette raison que ce problème ne sera jamais réglé, cela ne
America : Freedom to Fascism
s’améliorera jamais (...) parce que les propriétaires de ce pays
ne le souhaitent pas. Je parle des vrais propriétaires, les gros,
les riches, les gros hommes d’affaires très riches et très gras
qui contrôlent les choses et prennent toutes les décisions
importantes. Oubliez les politiciens, ils ne servent à rien... Les
politiciens sont mis là pour vous donner l’impression que vous
avez la liberté de choisir. C’est faux. Vous n’avez pas le choix.
Vous avez des propriétaires : ils vous possèdent. Ils possèdent
tout. Ils possèdent toutes les terres. Ils possèdent toutes les
compagnies qui paient le Sénat, le Congrès, la police et ils ont
les juges dans leur poche. Et ils possèdent tous les médias
d’information, toutes les compagnies médiatiques ; ils
contrôlent donc toutes les informations qui vous sont données.
Ils vous tiennent par les couilles ! Ils dépensent des milliards
de dollars chaque année en pour obtenir ce qu’ils
veulent. Nous savons ce qu’ils veulent... Ils veulent plus pour
eux et moins pour tous les autres. Mais je vais vous dire ce
qu’ils ne veulent pas : ils ne veulent pas d’une population de
gens bien informés, pourvus de sens critique. C’est contre leurs
intérêts. Vous savez quoi ? Ils ne veulent pas de gens autour de
la table qui se rendent compte à quel point ils se font baiser
par un système qui a rendu l’âme il y a trente ans.
Vous savez ce qu’ils veulent ? Des travailleurs obéissants ;
des gens qui font marcher les machines et acceptent
passivement ces boulots de plus en plus chiants avec des
salaires plus bas, plus d’heures de travail et des retraites qui
disparaissent. Maintenant, ils veulent l’argent de votre sécurité
sociale, et l’argent de votre foutue retraite, ils veulent le
récupérer... pour le donner à leurs amis criminels de Wall
Street... Et ils l’auront parce qu’ils possèdent tout. C’est un
grand club et vous n’en faites pas partie... Vous et moi, nous
lobbying
ne sommes pas membres du grand club ! C’est le même club
qui vous bourre le crâne toute la journée avec leurs médias, qui
vous disent qui il faut croire et ce qu’il faut croire, ce qu’il faut
penser et ce qu’il faut acheter... Les dés sont pipés, les amis...
La partie est truquée et personne n’a l’air de le remarquer ! De
bons proprios pour des gens qui continuent à travailler dur.
Les gens ruinés continuent à élire ces riches fils de pute qui
n’en ont rien à foutre d’eux ! Ils s’en foutent de vous... Ils s’en
tapent de vous ! Ils s’en branlent ! Complètement ![427] »
L’autre vision du monde que je veux vous faire partager est
celle de Severn Cullis-Suzuki au Sommet de la Terre en 1992:
« Je m’exprime au nom de l’ECO, l’Environmental Children’s
Organization, un groupe d’enfants âgés de douze à treize ans
qui tente de se faire entendre... Vanessa Suttle, Morgan
Geisler, Michelle Quigg et moi. Nous avons trouvé l’argent
nous-mêmes pour parcourir 5 000 miles afin de vous dire que
vous devez changer.
En venant ici aujourd’hui, je n’ai pas à cacher mes objectifs.
Je me bats pour mon avenir. Perdre son avenir n’est pas
comme perdre une élection ou quelques points en bourse. Je
suis ici pour parler au nom de toutes les générations à venir.
Je suis ici pour parler au nom des enfants affamés du monde
entier dont les cris ne sont pas entendus. Je suis ici pour
parler au nom des innombrables animaux qui meurent sur
cette planète, car ils n’ont nulle part d’autre où aller.
J’ai peur de m’exposer au soleil à cause des trous dans la
couche d’ozone. J’ai peur de respirer l’air parce que je ne sais
pas quels produits chimiques il contient. J’avais l’habitude
d’aller pêcher à Vancouver, ma ville natale, avec mon père,
jusqu’à ce qu’on y trouve, il y a quelques années, un poisson
criblé de cancers. Et maintenant, nous entendons parler
d’animaux et de plantes qui disparaissent chaque jour, perdus
à jamais.
Dans ma vie, j’ai rêvé de voir de grands troupeaux d’animaux
sauvages, des jungles et des forêts tropicales remplies
d’oiseaux et de papillons, mais maintenant je me demande si
tout cela existera encore pour que mes enfants puissent le voir.
Vous préoccupiez-vous de ces choses lorsque vous aviez mon
âge ? Tout cela se déroule sous nos yeux, et pourtant nous
agissons comme si nous avions tout le temps que nous
voulions et toutes les solutions. Je suis seulement une enfant
et je n’ai pas toutes les solutions, mais je veux que vous
réalisiez que vous non plus ! Vous ne savez pas comment
réparer les trous dans notre couche d’ozone. Vous ne savez pas
comment faire revenir le saumon dans nos eaux polluées. Vous
ne savez pas comment ramener un animal dont l’espèce est
éteinte. Et vous ne pouvez pas ramener les forêts dans des
zones qui sont devenues des déserts.
Si vous ne savez pas comment réparer les dégâts, s’il vous
plaît, arrêtez de casser ! Ici, vous êtes des délégués de vos
gouvernements, hommes d’affaires, journalistes ou hommes
politiques. Mais, en réalité, vous êtes des mères et des pères,
des sœurs et des frères, des tantes et des oncles. Et chacun de
vous est l’enfant de quelqu’un. Je suis seulement une enfant,
et pourtant, je sais que nous faisons tous partie d’une famille,
forte de cinq milliards de membres, en fait, forte de trente
millions d’espèces. Les frontières et les gouvernements ne
changeront jamais cela. Je suis seulement une enfant, et
pourtant je sais que nous sommes tous concernés par le même
problème, et que nous devrions agir comme un seul et même
monde, tendu vers un objectif unique. (...)
Je suis seulement une enfant, mais je sais que si tout
l’argent dépensé pour la guerre était consacré à trouver des
solutions environnementales et à lutter contre la pauvreté et
les maladies, ce monde serait merveilleux !
À l’école, même à la maternelle, vous nous apprenez à nous
comporter dans ce monde. Vous nous apprenez à ne pas nous
battre, à travailler dur, à respecter les autres, à faire notre lit, à
nettoyer derrière nous, à ne pas blesser d’autres créatures, à
partager, à ne pas être gourmand. Alors pourquoi faites-vous
tout ce que vous nous dites de ne pas faire ?
N’oubliez pas pourquoi vous assistez à ces conférences, pour
qui vous le faites... nous sommes vos propres enfants. Vous
décidez dans quel monde nous allons grandir. Les parents
devraient être en mesure de rassurer leurs enfants en leur
disant : « Tout va bien se passer, ce n’est pas la fin du monde
et nous faisons de notre mieux. »
Mais je ne pense pas que vous puissiez encore nous dire cela.
Sommes-nous seulement sur la liste de vos priorités ? Mon
père dit toujours : « Tu es ce que tu fais, pas ce que tu dis. » Eh
bien, ce que vous faites me fait pleurer la nuit. Vous continuez
de nous dire que vous nous aimez. Mais je vous mets au défi,
s’il vous plaît : faites que vos actions reflètent vos paroles.
Merci[428]. »
La jeune fille témoignera plus tard de ce qui s’est passé : «
Pendant six minutes, c’est mon cœur qui s’exprime. S’ensuit
un long silence. Et puis le bruit assourdissant des fauteuils qui
claquent. La salle entière se lève pour applaudir. Certains
pleurent... En coulisses, quelqu’un que je ne connaissais pas
s’approche de moi. “Votre discours est le meilleur que j’ai
entendu ici, à Rio.” Plus tard, j’ai su qu’il s’appelait Al Gore... »
R
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CONCLUSION
À regarder évoluer l'humanité,
je veux bien croire que Dieu est l'auteur de la pièce
mais Satan est le directeur du théâtre
Victor
Imaginez si vous preniez votre enfant par la main pour
traverser la rue et que vous lui disiez : « Tu viens ? Tu as 60 %
de chances de te faire écraser mais on y va, on traverse. » Voilà
notre futur si nous ne faisons rien !
Pourtant ce qui se passe n’est pas une fatalité, ce n’est pas
inhérent à la condition humaine, c’est le choix d’un petit
groupe de puissants qui pensent que la planète leur appartient
et qu’ils peuvent la gérer pour leur seul profit, que nous ne
sommes que du matériel à leur disposition à qui ils ne
reconnaissent aucun droit et qui, de nos jours, ne leur sert
plus à rien. Plus besoin de bras pour l’industrie ou
l’agriculture, ni de chair à canon pour faire les guerres et,
comme les esclaves doivent être nourris, le mieux c’est de ne
faire se reproduire que ceux dont ils ont besoin !
Cinq cents millions d’individus sur terre serait pour eux le
chiffre idéal. Ce n’est pas un secret, les fondations Rockefeller,
Ford, Carnegie, Bill et Melinda Gates, toutes pétries
d’eugénisme, financent depuis toujours des programmes pour
réduire les populations et la fertilité, pour augmenter la
mortalité, et en parlent ouvertement sur leurs sites.
On a d’abord voulu nous faire croire que c’était parce que la
HUGO
terre ne pouvait pas nourrir des milliards d’individus... Ce qui
est un mensonge, un mythe sorti tout droit du Kaiser Wilhelm
Institute of Anthropology, Human Heredity, and Eugénies,
fondé à Berlin en 1927, financé par John D. Rockefeller et qui
deviendra plus tard un pilier de l’idéologie nazie. Mais comme
le disait Gandhi : « Il y a sur cette terre assez pour les besoins
de chacun, mais non pour la cupidité de quelques-uns. »
Cette histoire est d’ailleurs tombée aux oubliettes ; le
nouveau dada des élites est que l’on est trop nombreux à
respirer, à polluer... ce qui produirait le réchauffement et les
changements climatiques.
C’est tout aussi faux ! Mais on est obligé de se rendre compte
qu’il y a une constante : c’est l’eugénisme, cette obsession
qu’ils ont de vouloir éradiquer les trois-quarts des habitants de
la planète et les moyens qu’ils déploient pour y arriver.
Dans les années 60, les « experts » se mirent brusquement à
crier haut et fort que les ressources de la terre s’épuisaient à
cause de l’explosion démographique, prétendant que si l’on ne
ramenait pas le taux de reproduction humaine à un chiffre
proche de zéro, particulièrement dans les pays en voie de
développement, l’humanité était condamnée. En fait, la vraie
raison se cache dans le document
écrit
pour Nixon en 1974 par Henry Kissinger (alors Secrétaire
d’État), dont le secret n’a été levé que beaucoup plus tard. Il y
explique de façon très claire que « les pays qui ont le plus de
ressources minières dont l’Amérique a de plus en plus besoin
sont trop peuplés, dont source de déstabilisation » ce qui
National Security
Memorendum200 : Implications de la croissance de la population
mondiale sur la sécurité des intérêts américains outre-mer
pourrait gêner l’approvisionnement US. Et précise que : « La
réduction de la population dans ces états est une question
vitale pour la sécurité nationale des États-Unis. » Le rapport
cite 13 pays[429] dans lesquels le gouvernement américain va
financer en sous-main des campagnes de contrôle des
naissances, de stérilisation forcée et d’avortement au travers de
l’International Planet Parenthood et de plusieurs ONG, usant
de mesures coercitives comme de conditionner la distribution
de vivres ou l’aide financière à l’acceptation des pays
d’appliquer des plans de réduction de la population, pendant
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