LA GUERRE SECRÈTE CONTRE LES PEUPLES part 03

 Seuls quelques politiciens courageux ont admis ce qui se

passait, comme Monika Griefahn, ancienne ministre de

l’Environnement de Basse-Saxe, qui écrivait dès juillet 2004,

dans sa réponse aux activistes antichemtrails : « Je suis

fondamentalement d’accord avec vos inquiétudes quant à

l’emploi d’alliages d’aluminium ou de baryum, qui ont des

potentialités toxiques. Toutefois, à ma connaissance, ils n’ont

été utilisés jusqu’à présent qu’à une échelle très limitée. Au lieu

de faire un effort concerté et déterminé pour réduire les

émissions de gaz à effet de serre à travers le monde, diverses

expériences sont effectuées dans l’atmosphère de la Terre dans

le but de guérir les symptômes. »

En août 2011, Nikola Aleksic, du mouvement écologique

serbe Novi Sad, qui s’est fermement opposé à l’entrée des OGM

dans son pays, dénonce violemment l’épandage, par des avions

banalisés, de produits chimiques empoisonnant notre planète

et ses habitants.

Il explique : « Regardez notre ciel, citoyens serbes ; vous

pouvez voir par vous-mêmes. Regardez les traces quotidiennes

des poisons qui viennent des avions banalisés. À partir du

moment où notre gouvernement a signé le prétendu partenariat

sur la Paix (14 décembre 2006), le ciel de la Serbie s’est

retrouvé sous un faisceau de traînées empoisonnées, versées

quotidiennement par des avions criminels comme si nous

étions des insectes et non des personnes. Au-dessus de nous

sont mises en œuvre des expériences comme dans les

camps de concentration de la Deuxième Guerre mondiale.

Au-dessus de nous, c’est un génocide ouvert ; notre traître de

gouvernement l’a permis. Ils ont vendu leur propre peuple afin

de rester dans une position où ils ont été amenés par les

représentants criminels d’organismes étrangers. Avez-vous le

droit d’être un lâche quand vous et vos enfants êtes

constamment pulvérisés avec des poisons sans que personne

dans notre gouvernement ne puisse vous dire quelles sont ces

toxines qui nous sont bombardées ? Pouvez-vous être un lâche

quand on sait que cette équipe traîtresse vous a vendu et vous

a remis à la miséricorde et à la défaveur de l’organisation la

plus criminelle du monde. Moi, Nikola Aleksic, représentant du

mouvement écologique de Serbie Novi Sad, je ne peux pas et ne

veux pas rester silencieux. Je demande à l’armée de Serbie de

défendre son peuple, comme le veut la Constitution, et le ciel

de la Serbie [...] Quelle armée êtes-vous depuis que vous

permettez l’intoxication complète et publique de votre propre

peuple ? Êtes-vous conscients des conséquences de votre

trahison ? Croyez-vous que vos enfants ne respirent pas les

poisons pulvérisés ? Que vos enfants sont exemptés de ce

génocide[55] ? »

Le 28 septembre, on apprenait par le site Examiner.com que

Nikola Aleksic venait d’échapper à une tentative d’assassinat

sur l’autoroute qu’il empruntait pour se rendre à Belgrade. Sa

voiture avait été percutée et poussée intentionnellement par un

camion portant une plaque d’immatriculation bleue de la

police[56].

En décembre 2007, dans un reportage lors d’un journal

télévisé de la chaîne RTL[57], des météorologues allemands, dont

in vivo

Karsten Brandt, ont affirmé l’existence de ces aérosols qu’il

imagine en lien avec des tests militaires de manipulation du

climat, expliquant : « Nous pouvons affirmer avec une certitude

de 97 % qu’il s’agit de traînées chimiques composées de

poussières fines de polymères et de métaux [...] L’armée

fédérale manipule les cartes météorologiques. » Johannes

Remmel, le représentant du parti des Verts en Allemagne, a

déclaré peu après : « Le gouvernement doit fournir des

explications à la population. Quand les radars détectent un

avion suspect, les militaires allemands utilisent alors des

images satellites contrefaites pour masquer leurs opérations ».

Une politicienne suédoise du parti des écologistes, Pernilla

Hagberg, commentant en octobre 2012 un article du journal

[58]

, a affirmé qu’elle soupçonnait la CIA et la NSA

(Agence nationale de la sécurité) de couvrir le ciel d’aérosols

chimiques ; ajoutant que ces épandages contenaient des

substances chimiques, des virus et des métaux lourds.

Hagberg croit que « c’est un plan pour contrôler les prix et les

marchés, et le gouvernement suédois est d’accord avec les

puissances étrangères qui conduisent les épandages ; de ce

fait, il ne faut pas compter sur nos gouvernements pour

résoudre le problème[59]. » Immédiatement, les tentatives pour

la décrédibiliser ont fusé de toutes parts, y compris dans son

propre parti avec - comme c’est bizarre ! - la même fin de nonrecevoir que Greenpeace : « Il y a tellement de choses à faire en

ce qui concerne l’environnement, ce n’est pas la peine

d’inventer des chimères en plus ! »

Ce qui n’a pas davantage motivé la curiosité des « grands »

journalistes français pour enquêter sur le sujet. À peine

William Leymergie, dans son émission Télématin sur France 2,

a-t-il fait passer un reportage d’Alban Mikoczy et Irina

Katrineholm

Golovkova sur la manipulation du climat par les Russes qui

n’hésitent pas à intervenir pour éloigner la pluie tous les 9 mai,

jour de leur fête nationale, afin que les militaires défilent par

beau temps ; pour la modique somme de quatre millions

d’euros. (En France, on ne maîtrise pas la technique, ou alors

on n’a vraiment pas les moyens, si l’on en croit les saucées que

se prend notre président !)

On a aussi appris que les Chinois déclenchaient des

tempêtes de neige quand ils le voulaient et avaient éloigné la

pluie pendant toute la durée des Jeux olympiques. Poutine

vient de faire larguer de l’iodure d’argent et des sacs de ciment

(il faut espérer qu’ils n’oublient pas de crever les sacs avant de

les balancer !) pour garantir le beau temps le temps des

cérémonies de commémoration des 70 ans de la Deuxième

Guerre mondiale. Beaucoup plus grave, selon un représentant

de Greenpeace en Russie et le témoignage d’un ancien pilote,

après Tchernobyl, les Russes ont envoyé des avions équipés de

diffuseurs chimiques pour éloigner les pluies radioactives, afin

qu’elles tombent en Biélorussie et épargnent Moscou et les

dirigeants du Kremlin[60] ! Les Japonais auraient fait de même

après l’accident de Fukushima, repoussant les pluies

radioactives pour qu’elles ne tombent pas sur Tokyo.

Somme toute, que des anecdotes folkloriques ! Rien qui

puisse intéresser un « vrai » journaliste habitué à faire passer

l’info, le petit doigt sur la couture du pantalon, dès que « les

sources sûres » lui indiquent ce qu’il faut dire ! Il est donc

admis depuis quelque temps, sans que cela ait fait la une des

journaux, qu’on peut faire pleuvoir, neiger, repousser la grêle ;

mais juste dans le monde des Bisounours. Pas question

d’investiguer plus loin... par exemple de chercher s’il y aurait

des causes autres que naturelles à toutes les catastrophes

climatiques à répétition... De crainte de se faire taxer de

complotiste et de compromettre sa place aux dîners du Siècle

ou aux réunions du groupe Bilderberg !

QUAND LES HOMMES VIVRONT D’AMOUR[61]...

L’idée n’est pas toute neuve puisque la première utilisation

avérée d’armes biologiques à des fins de génocide date de 1763.

L’armée britannique distribua alors généreusement des

couvertures à plusieurs villages indiens de l’Ohio. Ces

dernières provenaient d’hôpitaux où l’on soignait des malades

atteints de la variole. Les Indiens, qui n’avaient jamais été en

contact avec ce virus, moururent par centaines de milliers,

laissant ainsi la place pour une colonisation des terres par des

citoyens de Sa Gracieuse Majesté.

Dans un reportage[62] appelé on

peut voir comment, dès 1930, les Japonais avaient installé en

Chine un « centre de recherche », placé sous les ordres du

médecin-général Shirô Ishii pour développer l’arme biologique,

et comment ils s’en sont servi sur les populations chinoises,

non pas pour se défendre, mais dans un but purement

expansionniste ; menant leurs essais avec une cruauté inouïe.

Entre deux vivisections, ils testaient l’efficacité des épandages

de souches bactériennes diverses dont la peste, le choléra et

l’anthrax à partir d’avions, sur des lots de prisonniers chinois,

attachés en pleine campagne, la tête maintenue en l’air pour

les forcer à respirer.

Dans des installations proches, ils élevaient des rats pour

leur inoculer la peste et se servir de leurs puces comme

vecteur, imitant ainsi la méthode naturelle de propagation de

cette maladie qui tua près d’un tiers de la population

européenne à la fin du Moyen Age. Ils larguaient des bombes

contenant des kilos de puces sur une petite ville chinoise,

éradiquant ainsi une grande part de la population.

Les Mystères de l’Unité 731,

Comme on n’arrête pas le progrès, les médecins japonais,

certains que les souches qui avaient tué les gens - et donc

résisté à la contre-attaque de leur système immunitaire -

étaient les plus virulentes, se servirent de civils chinois comme

incubateurs vivants. Un Japonais ayant participé à ces actions

explique dans le film qu’ils étaient d’abord infectés à l’aide

d’une injection, et quand on estimait que leur décès était

proche, on les anesthésiait totalement avant de les vider de leur

sang. On pense que ces activités de l’Unité 731 firent quelque

trois mille morts.

Jean-Pierre Petit[63] explique : « Les Japonais avaient largué

de nombreux ballons qui, traversant le Pacifique, étaient réglés

de manière à descendre lorsqu’ils atteignaient les reliefs, par

exemple en Californie. [...] Il ne fait à présent aucun doute qu’il

s’agissait d’actions de guerre bactériologique, car les charges

explosives que des ballons auraient pu transporter au travers

du Pacifique auraient causé des dommages insignifiants. Par

contre, des ballons porteurs de puces infectées par la peste

s’abattant dans des grandes villes américaines ou dispersant

des spores de charbon auraient pu causer la mort de

nombreuses personnes. Dès le départ, les Japonais ont

démontré que la guerre devait, pour eux, être menée avec le

plus total mépris de la vie humaine. Quand les Américains

préparaient les bombes qui devaient être lâchées sur Hiroshima

et Nagasaki, ils ne devaient sans doute pas savoir ce que les

Nippons auraient été capables de faire aux populations civiles

des États-Unis. Avec leurs bombes atomiques les Américains

coiffèrent les Japonais au poteau. »

Lorsqu’il découvrit, après l’effondrement du Japon,

l’avancement du programme nippon d’armement

bactériologique, le gouvernement américain laissa le choix aux

scientifiques ayant participé au projet : soit être jugés comme

criminels de guerre et pendus, soit collaborer. Tout comme il

récupéra les criminels nazis après Nuremberg ! D’ailleurs, lors

de l’équivalent du procès de Nuremberg qui se tint au Japon,

aucun officier responsable du projet et de l’Unité 731 ne figura

parmi les accusés.

Les mots « guerre bactériologique » ne furent même pas

prononcés. Mais les États-Unis se mirent à développer un

programme d’armes bactériologiques sous la responsabilité de

Bill Patrick. Interviewé dans le documentaire, ce dernier

confirme l’apparition de « l’aérobiologie » (raccourci de JeanPierre Petit pour décrire l’art et la manière d’épandre des

bactéries par avion en exploitant au mieux les conditions

météorologiques) et l’existence d’essais sur différentes espèces

animales, dont deux mille singes. Bill Patrick précise « que des

essais furent réalisés dans le Pacifique mais que, comme «

ceux-ci sont encore couverts par le secret Défense, il ne peut en

parler ».

En 1958, un essai réel de dissémination est mené sur des

villes américaines (New York et San Francisco) à l’aide d’agents

non pathogènes afin, paraît-il, de valider la technique de

dissémination par aérosol. Il est vraisemblable, et Jean-Pierre

Petit s’en dit lui aussi convaincu, « que les Américains ne

connaissant pas à ce stade la dose létale de charbon pour les

êtres humains, (ils) effectuèrent des essais discrets sur des

populations des îles du Pacifique » ; ajoutant : « Comment des

gens qui purent, avec l’accord écrit d’Oppenheimer lui-même,

étudier l’effet cancérigène d’injections de plutonium sur leurs

propres recrues auraient-ils pu se priver de résultats aussi

intéressants ? » En tout cas, à la fin des années soixante, les

États-Unis possèdent un arsenal biologique complet

comprenant des agents létaux comme l’anthrax, la toxine

botulinique, des agents incapacitants ,

staphylocoques, encéphalites), et des agents antirécoltes

(germes créant des maladies du blé, de l’avoine, du riz...).

Les Russes ouvrent eux aussi, dès 1952, des centres d’essais

ultra secrets sur des îles de la mer d’Aral où sont testés

différents agents pathogènes comme la peste, l’anthrax, le

typhus... Et dans les années soixante, les militaires soviétiques

créent les sites de Sverdlovsk et Zagorsk pour produire ces

agents pathogènes industriellement. Le 8 août 1970, le

décrète un développement de l’industrie

microbiologique civile. La même année, est inauguré à

Stepnogorsk un immense complexe regroupant les meilleurs

laboratoires de recherche civils et militaires et, trois ans plus

tard, une autre entité, nommée Biopreparat, créée par le

Conseil scientifique et technologique de biologie moléculaire et

de génétique (qui regroupe neuf mille scientifiques, dont deux

mille sont des spécialistes des agents pathogènes néfastes pour

l’homme).

D’après un transfuge passé à l’Ouest dans les années quatrevingt, ce complexe avait déjà produit vingt tonnes d’agent de la

variole, vingt-cinq tonnes d’agent de la peste, plusieurs

centaines de tonnes d’anthrax, et cherchait à créer une arme

biologique quasi parfaite en croisant génétiquement des

souches particulièrement virulentes de variole et du virus

Ébola. Cette entité a été dissoute en 1992, mais les services de

renseignement américains soupçonnent l’armée russe de ne

pas avoir abandonné ses recherches (soit dit en passant,

évidemment, les services russes ont, à juste titre, les mêmes

soupçons sur l’armée américaine[64]).

En effet, Le 25 novembre 1969, Nixon annonce que les États-

(Brucella suis

Politburo

Unis renoncent unilatéralement aux armes biologiques et ne

garderont qu’un programme purement défensif (vaccins,

sérums, antibiotiques) tout en détruisant leurs stocks d’agents

pathogènes. Et, après le traité ABM (antimissiles balistiques),

la Convention sur les armes biologiques (CAB) a été ratifiée en

1972 par plus de cent nations, dont les États-Unis, «

interdisant la mise au point, la fabrication et le stockage des

armes bactériologiques et exigeant leur destruction ». Enfin, le

13 janvier 1993 est signée à Paris la Convention sur

l’interdiction des armes chimiques (CLAC), entrée en vigueur le

29 avril 1997.

Tous les agents (ou substances) chimiques sont considérés

comme des armes chimiques, sauf s’ils sont utilisés à des fins

permises par la CLAC, c’est-à-dire « dans un but industriel,

agricole, de recherche, médical, pharmaceutique et tout autre

but pacifique, dans un but de protection (contre les produits

chimiques et les armes chimiques), dans un but militaire sans

rapport avec les armes chimiques ou dans un but de maintien

de l’ordre public ». Autant dire qu’on la contourne comme on

veut !

D’ailleurs, la même année se réunissait le Projet pour le

nouveau siècle américain (PNAC), dont un rapport intitulé

annonçait pour

maintenir l’hégémonie du pays « des formes évoluées de guerres

biologiques capables de cibler des génotypes déterminés

pourront faire passer la guerre biologique du règne de la

terreur à celui d’un outil politique utile ». Après les attentats du

11 Septembre, le Congrès s’est dépêché de voter les

financements massifs que nécessitait un tel programme et de

se retirer unilatéralement du traité ABM[65] comme prévu à

l’article XV

[66]

; ce qui permit à l’Amérique de relancer le

Reconstruire les défenses de l'Amérique

programme « Guerre des étoiles ».

En fait, la guerre des microbes n’a jamais cessé... Le nouveau

Programme de défense biologique et chimique (PDBC), publié

en mai 2004, fait travailler plus de trois cents instituts et douze

mille personnes sur les agents pathogènes en lien avec la

guerre biologique. Selon un rapport du d’août

2005, le Pentagone a développé ses premiers plans pour des

opérations visant à imposer la loi martiale dans le pays tout

entier. « Les plans sont de grande envergure : les scénarios

envisagés vont de la “basse intensité” avec des missions

modestes de contrôle des foules, à une “intensité élevée”, avec

la gestion totale de désastres à grande échelle après des

attentats tels que l’émission d’un agent biologique. [...] En

2007, le rapport annuel du Pentagone atteste qu’il prépare des

essais d’armes chimiques et biologiques à ciel ouvert, en

violation des Conventions internationales, révèle le professeur

Francis A. Boyle, expert au Conseil pour une génétique

responsable et rédacteur de la loi de mise en application de la

CAB. »

Les essais en plein air incluent la dispersion aérienne des

agents létaux afin d’étudier leur efficacité et pour juger de leur

capacité à infecter et à tuer lors des essais sur le terrain.

L’armée a déclaré à l’ que les recherches sont

toutes conduites à des fins défensives contre les menaces

biologiques, mais le fait que des scientifiques du gouvernement

« créent de nouvelles souches d’agents pathogènes pour

lesquels il n’existe pas de remède connu » et dont certaines

proviennent de modifications génétiques, ne plaide pas en

faveur de cette explication, fait remarquer Richard Novick,

professeur de microbiologie à l’Université de New York. « Ont

déjà été réalisés l’association combinant la toxine hémolytique

Washington Post

Associated Press

du bacille céreus et une souche modifiée de

pour vaccins ; le croisement de la variole et du virus Ébola ;

l’association du virus de la grippe et de la toxine de cobra ; le

poxvirus modifié génétiquement ; le mariage des virus de la

variole et d’une encéphalite ; le cocktail enterotoxine B

staphylococcique et encéphalite équine du Venezuela...

Tous ces cocktails plus ou moins mortels de germes et de

toxines ont fait dire au prix Nobel Lederberg que le danger de

ces agents était supérieur à celui de la bombe H. » Des avions

peuvent facilement pulvériser un ou plusieurs agents

bactériologiques sur des milliers de kilomètres en quelques

heures et déclencher une hécatombe, sans que nous ayons la

moindre chance de le savoir. On sait aussi que les recherches

médicales sur les séquences ADN permettent maintenant de

développer des produits agissant par rapport au code génétique

d’une personne ou commun à une ethnie, donc de cibler un

groupe humain spécifique. Ce n’est bien sûr pas un hasard si

les services de renseignement du monde entier s’intéressent

aux savants qui travaillent sur l’ADN et le décodage du génome

humain[67].

L’inquiétude ressort aujourd’hui avec les informations qui

filtrent des laboratoires de classe P4 sur les croisements de

deux virus faisant que les gens touchés développent les

symptômes de l’un et meurent des effets invisibles du

deuxième. Exemple : on tousse, on a le nez qui coule, on est

soigné pour une grippe et on meurt du choléra que personne

n’a diagnostiqué !

Bacillus anthracis

POURQUOI NOUS DIRAIENT-ILS LA VÉRITÉ AUJOURD’HUI

PLUS QU’HIER ?

Alors que les autorités américaines ont tout nié en bloc

pendant des décennies, traitant les gens qui les accusaient

d’hurluberlus conspirationnistes, on a maintenant les preuves,

grâce aux documents déclassifiés des armées américaine et

canadienne, que tous ces gens ne rêvaient pas. Plusieurs séries

de tests ont précédé l’opération Large Area Coverage (LAC)

pour, comme son nom l’indique, prouver qu’il était possible de

couvrir de larges zones d’épandage et cela dans l’ignorance

totale des populations concernées.

En 1950, PUS Navy pulvérise des bactéries sur la baie de San

Francisco pour déterminer, dans une expérience grandeur

nature, à quel point une ville américaine pourrait être affectée

par une attaque biologique et s’il était possible d’attaquer une

ville portuaire avec des aérosols d’agents biologiques à partir

d’un bateau situé au large. Des appareils de surveillance sont

installés à travers la ville pour évaluer l’étendue de l’infection.

De nombreux habitants se plaignent de symptômes semblables

à ceux de pneumonies.

En 1951, pendant une semaine, un village du Gard, PontSaint-Esprit, a été pris de folie et d’hallucinations. Au moins

cinq morts, plus de trente personnes hospitalisées et près de

trois cents malades. Très rapidement, on accuse la maladie de

l’ergot de seigle, répandue par le pain du meilleur boulanger du

B. LES PREUVES QUI LES ACCABLENT

bourg, maladie qui avait pourtant disparu de France depuis le

XVIII

E siècle. Mais, dans un livre publié aux États-Unis fin

2009, le journaliste Hank Albarelli affirme avoir percé

incidemment le mystère : « La crise de folie qu’a connue PontSaint-Esprit viendrait d’une expérience secrète sur les effets du

LSD menée conjointement par l’armée américaine et la CIA[68]. »

En 1952, l’armée de l’air britannique procède à l’opération

Cumulus, sorte de répétition pour modifier la météo à leur

avantage en situation de guerre. La BBC a révélé en 2001 que

l’inondation soudaine qui dévasta en 1952 la petite ville de

Lynmouth, faisant trente-quatre morts, était due à cette

expérience. Mais malgré les preuves apportées par la BBC, le

gouvernement nia sa responsabilité et refusa l’ouverture d’une

enquête officielle[69]. À la même époque ont lieu les cinq essais

de l’opération Dew, qui apportent la conclusion que des nuages

d’aérosols, disséminés à partir du sol sous certaines conditions

météorologiques, pouvaient parcourir des centaines de miles et

couvrir un territoire important[70].

En 1953, une série de trente-six tests[71], certains aériens,

d’autres à partir de générateurs placés sur le toit des voitures -

le Saint Jo Program - est effectuée sur les habitants de

Winnipeg au Canada, de Saint-Louis et de Minneapolis tandis

que les responsables américains, y compris la CIA, mentent

aux responsables locaux sur la véritable nature des tests. On

leur disait déployer des écrans de fumée pour que leur ville

disparaisse des radars ennemis ; en fait, il s’agissait d’épandre

des tonnes de sulfure de cadmium de zinc dans l’atmosphère

pour déterminer à quel pourcentage de la population il est

possible d’infliger chimiquement le cancer. Les mêmes

expériences ont été conduites peu après de l’Ohio au Texas et

du Michigan au Kansas.

La même année, des expériences menées conjointement par

l’armée et la CIA exposent des dizaines de milliers de personnes

à New York et San Francisco à des germes répandus par avion,

dont et

En 1955, la CIA disperse au-dessus de Tampa Bay, en

Floride, une bactérie issue des laboratoires militaires d’armes

biologiques pour tester sa capacité à infecter les populations

humaines avec des agents biologiques. L’armée a aussi

reconnu avoir épandu sur le Minnesota de 1953 au milieu des

années soixante[72]. Et le corps chimique de l’armée a conduit

en 1957 et 1958 l’opération LAC avec un C-l 19, avion prêté

par l’US Air Force, toujours pour épandre du sulfate de

cadmium de zinc sur les États-Unis. Des stations au sol ont

récupéré les particules fluorescentes ; c’est ainsi que l’armée a

pu voir que les substances pouvaient atterrir jusqu’à 1 200

miles de leur point de largage[73].

On a aussi connaissance des opérations Devil Hole I et II, en

1965, menées à Gerstle River, près de Fort Greely, en Alaska,

dans le but de déterminer le comportement des agents

chimiques lorsque détonnés par de l’artillerie ou par des

missiles. La première partie sera menée au sarin, la seconde au

gaz VX. Et du projet West Side du gouvernement américain qui

a eu lieu dans les prairies canadiennes, où ont été largués un

agent biologique ) et un chimique (le sulfure de

cadmium de zinc), les deux considérés comme pathogènes pour

les populations ; bien qu’une étude menée ensuite par le

Comité national de recherche américain[74] ait confirmé que ces

tests chimiques ne sont pas dangereux pour les humains ! On

s’en serait douté !

En 1967, l’opération Popeye est menée par l’armée

américaine au-dessus du Viêt Nam du Nord afin de créer des

Serratia marcescens Bacillus globigii.

(Bacillus globigii

inondations sur le territoire, et de couper l’approvisionnement

de l’ennemi. Les Américains reconnaissent maintenant avoir

dépensé douze millions de dollars sur cinq ans pour

ensemencer les nuages d’iodure d’argent afin d’intensifier et de

prolonger les moussons saisonnières au Laos, et ainsi rendre

difficilement praticable la piste Hô Chi Minh aux camions de

ravitaillement du Viêt Nam du Nord destinés à alimenter et à

armer le Viet-Cong au Sud. De 1967 à 1972, à chaque saison

des pluies, l’escadron 54 de reconnaissance météo en charge de

cette opération a mené plus de 2 700 missions de dispersion

d’iodure d’argent[75]. L’armée réussit à garder cette opération

secrète jusqu’en 1971 ; elle donna finalement lieu à une

audition devant le Congrès en 1974.

Et l’ « Agent orange » ! 400 kg de dioxine ont été déversés sur

ce pays entre 1962 et 1971, alors que la dissolution de 80 gr à

peine dans un réseau d’eau potable suffirait à anéantir une

ville de huit millions d’habitants. Personne n’avait prévenu les

GI, ni la population vietnamienne, des effets abominables de

cette substance.

En 1968, un autre projet appelé RapidTan (bronzage rapide),

mené cette fois conjointement par les forces canadiennes et

l’armée britannique, consistait à épandre deux toxines

nerveuses dérivées du sarin, le tabun et le soman. Le mélange

chimique a été placé dans des munitions d’artillerie de canons

howitzer ensuite détonnées, et pulvérisé à partir d’avions près

de la base des forces armées canadiennes de Suffield en

Alberta.

En 1969, le projet DTC 69-12 a lieu à Edgewood, aux ÉtatsUnis. On sait peu de chose sur ces tests si ce n’est qu’ils

consistaient en l’épandage de neuf agents nerveux, dont les

très dangereux gaz sarin et VX.

Et combien d’autres sans doute pour lesquels rien n’a

transpiré, sauf l’angoisse des populations à qui il est toujours

répondu qu’elles rêvent, que rien de cette sorte n’est possible,

comme dans les cas ci-dessus, maintenant reconnus[76] !

En mai 2000, Vince Gonzales, un journaliste de CBS News, a

été le premier à parler de plus de cent tests secrets menés

pendant la Guerre froide avec 5 842 soldats et marins, cobayes

involontaires, pour déterminer les effets d’armes biologiques et

chimiques dans les combats. Un nombre incalculable de civils

ont été exposés à leur insu. Mais malgré les demandes répétées

de plusieurs journalistes indépendants américains d’avoir

accès à certains documents gouvernementaux classés secret

Défense, le Pentagone a refusé d’ouvrir ses archives.

Ce n’est qu’en 2004, en réponse aux questions de

l’Associated Press, suite à la déposition d’un ancien militaire,

Clifton Spendlove, qui a planifié et supervisé les tests, et à la

pression des vétérans et de leurs avocats, qu’ils obtinrent gain

de cause. Les révélations de Spendlove ont été corroborées par

LaChapelle, un commandant de la Marine aujourd’hui à la

retraite en charge de l’exécution des tests d’un projet similaire,

appelé Shad, de 1964 à 1970. Le gouvernement américain

n’avait plus le choix et a finalement divulgué des informations

sur cette liste d’essais menés, sans aucun état d’âme, dans les

années soixante.

Le 28 avril 1997, Cuba a déposé une plainte officielle à

l’Assemblée générale des Nations unies, qui accusait les ÉtatsUnis d’effectuer des épandages d’agents biologiques au-dessus

du sol cubain. Un pilote cubain ayant été témoin « d’un

épandage de substances inconnues prenant la forme d’un

brouillard blanchâtre/grisâtre », le département d’État

américain a admis qu’un avion d’épandage léger S2R avait

survolé Cuba, mais n’avait « émis que de la fumée[77] de façon à

établir un contact visuel conformément aux “procédures de

sécurité officielles”, n’étant pas certain que le pilote cubain

l’avait vu ! L’ennui, c’est qu’aucun des avions connus pour

effectuer des vols au-dessus du territoire cubain, qu’ils soient

commerciaux ou privés, ne possèdent de générateurs de fumée,

généralement réservés aux escadrons acrobatiques.

Et le 31 mai 1999, une poursuite de 181 milliards de dollars

a été entamée par la Cour civile provinciale de la Havane,

accusant le gouvernement américain de génocide.

Le Projet 112[78] comprenait plus d’une centaine de tests

différents, conduits entre 1962 et 1973, dont quelques-uns

seulement de ceux mentionnés plus haut faisaient partie. Mais

de nombreux autres ont eu lieu en Alaska, au Maryland, à

Hawaï, au Canada, à bord de bateaux dans l’Atlantique nord et

l’océan Pacifique.

En Angleterre aussi, le journal [79] du 21 avril

2002 révélait l’existence d’un rapport du gouvernement qui

confirmait pour la première fois que des essais d’armes

biologiques et chimiques avaient été effectués entre 1940 et

1979, sans que le public en ait été informé, « faisant d’une

large part du territoire un laboratoire géant ». Les tests

conduits par des scientifiques à Porton Down devaient servir à

évaluer la vulnérabilité du pays si les Russes décidaient de

larguer des nuages de germes mortels.

Le rapport de soixante pages donnait aussi des précisions sur

plus de cent expérimentations tenues secrètes, sur la façon

dont le personnel militaire était briefé pour répondre aux

curieux qu’il s’agissait de tests sur la pollution de l’air. Un

chapitre intitulé « Les essais de particules fluorescentes » révèle

The Guardiari

comment, entre 1955 et 1963, des avions ont épandu du NordEst de l’Angleterre jusqu’aux extrémités de la Cornouaille des

montagnes de sulfure de cadmium de zinc sur les

populations[80]. On sait que ces produits ont dérivé sur

plusieurs miles à l’intérieur des terres, leur fluorescence

permettant de les suivre. Bien sûr, le gouvernement affirme là

aussi que le cadmium ne présente pas de danger, comme

chaque fois que ce n’est pas vrai ! Il est d’ailleurs reconnu par

l’Agence de recherche contre le cancer comme une cause de

cancer du poumon et il était classé par les Alliés, pendant la

Seconde Guerre mondiale, dans les armes chimiques.

Dans un autre chapitre, Large Area Coverage trials (Essais de

couverture de vaste étendue), on apprend qu’entre 1961 et

1968, plus d’un million de personnes le long des côtes du Sud

de l’Angleterre ont été exposées à des bactéries dont et

qui imite l’anthrax. On y découvre aussi les

détails du plan DICE, mené entre 1971 et 1975 par des

scientifiques militaires anglais et américains qui ont pulvérisé

dans l’air des quantités massives de la bactérie

La même bactérie a été épandue dans « les Essais

Sabotage » entre 1952 et 1964 pour déterminer la vulnérabilité

des transports publics et des immeubles gouvernementaux. En

1957, elle a même été diffusée dans le métro londonien à

l’heure du déjeuner entre les stations Colliers Wood et Tooting

Broadway. Bien que les autorités nient toute relation de cause

à effet, beaucoup de gens qui vivaient dans les zones touchées

viennent de comprendre pourquoi, au sein de leur petite

communauté, il y a eu tant de fausses couches, d’enfants nés

avec des problèmes inexpliqués comme des paralysies

cérébrales et des difficultés à apprendre. Le rapport confirme

aussi l’usage d’anthrax et autres germes mortels vaporisés à

E. coli

Bacillus globigii

Serratia

marcescens.

partir de bateaux dans les Caraïbes et les expérimentations

d’anthrax sur l’île Gruinard, au large des côtes écossaises, qui

ont laissé l’île si contaminée quelle n’a pu être habitée jusqu’en

1980.

Les gouvernements successifs ont essayé de garder secret

tous les essais de guerre bactériologique effectués depuis la

Deuxième Guerre mondiale et le document lui-même justifie

avoir utilisé des populations civiles comme cobayes sans leur

consentement, par des considérations de sécurité Défense et

par le besoin de ne pas inquiéter les gens avec l’idée de

possibles attaques biologiques !

Autrement dit, pour nous préserver de la peur de subir un

jour une éventuelle attaque bactériologique d’un hypothétique

ennemi, nos dirigeants trouvent normal de balancer les poisons

sur nous quand nous ne risquons rien, de nous rendre

malades volontairement et de compter les victimes ! Mais on ne

devrait pas s’en inquiéter puisque Sue Ellison, la porte-parole

de Porton Down, affirme, comme toujours dans ces cas-là : «

Des rapports indépendants d’éminents spécialistes ont montré

que ces essais étaient sans danger pour la santé publique et

conduits pour protéger les populations. [...] Les résultats de ces

tests permettront de sauver des vies si le pays ou nos forces

doivent faire face à une attaque aux armes biologiques ou

chimiques ! » Est-ce quelle réciterait sa leçon sans plus

d’émotion si ses enfants étaient en dessous ? C’est la question

que l’on se pose ! Mais quand on lui demande si la même chose

pourrait se passer aujourd’hui, elle répond : « Il n’est pas dans

notre ligne de conduite de discuter de recherches en cours ! »

Ça a le mérite d’être clair !

On sait maintenant avec certitude que ces épandages ont été

faits, que ces programmes ont existé, et que ces gouvernements

-que l’on croit élire pour nous protéger -n’ont pas hésité à

tester des poisons sur leurs propres citoyens, militaires et

civils, ou à donner leur feu vert pour que d’autres le fassent.

Sans prévenir les populations. Tandis qu’ils aspergeaient les

gens, pendant des décennies, les experts et les autorités ont

expliqué à ces derniers que les traces dans le ciel étaient

absolument normales... Ils ont menti en nous regardant droit

dans les yeux, niant tout et à tous, en bloc, des dizaines de

fois, d’un bout à l’autre du monde, conseillant avec dédain à

tous ces illuminés - ces complotistes qui prétendent observer

des choses anormales dans le ciel - d’aller se faire soigner...

Et il faudrait croire qu’ils nous disent la vérité sur ce qui se

passe aujourd’hui ? Qu’ils seraient incapables de nous faire ça

? ! Que si c’était vrai, on le dirait à la télé ? ! ? La seule chose

qui change avec le temps est le prétexte dont ils se servent

pour nous faire avaler les couleuvres : de la Guerre froide à la

lutte contre le terrorisme, au réchauffement climatique... Tout

ça est du pipeau !

Au moment où la manipulation climatique est sans aucun

doute devenue l’arme la plus redoutable avec toutes ses

applications dans le domaine de la Défense, mais aussi dans la

guerre économique que se livrent les États et les puissants

cartels qu’ils hébergent et dans le contrôle qu’ils ont besoin

d’exercer sur les populations pour parvenir à l’avènement de ce

Nouvel Ordre mondial si cher aux esprits malades des maîtres

du monde, on sent bien que l’étau se resserre de plus en plus

vite et que la vraie guerre qui est en cours, c’est ou

Et ils peuvent bien continuer de nier ce qu’ils veulent, ils se

eux nous.

trahissent toujours en voulant protéger leurs investissements.

LES PATENTES

Ce qui caractérise notre époque, c’est la perfection des

moyens et la confusion des fins.

Albert

Il suffit de consulter les archives de l’U.S.

(Bureau américain de dépôt des brevets et

des marques de commerce) pour se rendre compte que toutes

les catastrophes qui nous arrivent ne sont pas dues au hasard

; et que les ne sont pas une hallucination collective,

mais bien les manifestations visibles d’actions que l’on persiste

à nous cacher. Sinon, pourquoi y aurait-il eu tant d’inventions

et de brevets déposés ces dernières décennies se rapportant

aux épandages aériens[81] ?

En vrac, pour ne pas les décrire tous :

■ Procédé pour la production de nuage ou brouillard

artificiel intense en vaporisant des chlorures.

■ Appareil pour disséminer des matériaux en poudre à

partir d’avions.

■ Méthode pour provoquer les précipitations.

■ Moyens de communiquer à travers une couche de gaz

ionisés.

■ Appareil d’ensemencement de nuages adapté à la

production de cristaux d’iodes d’argent à disperser dans les

nuages pour induire la pluie.

■ Appareil et méthode pour produire dans la couche

d’ozone un nuage artificiel d’ions ayant une densité

EINSTEIN

Patent and

Trademark Office

chemtrails

d’électron suffisante pour refléter les ondes

électromagnétiques installé sur un véhicule traversant

la stratosphère.

■ Ensemencement des nuages par un véhicule-fusée.

■ Dispositif pour disséminer, par des techniques

d’épandage, des agents chimiques biologiquement actifs

tels que pesticides, régulateurs de croissance...

■ Méthodes et appareillage pour déclencher un changement

substantiel dans les caractéristiques terrestres...

En 1958, le capitaine Howard T. Orville, conseiller en chef à

la Maison-Blanche, reconnaissait concernant les modifications

climatiques que l’armée étudiait « les façons de manipuler les

charges de la terre et du ciel pour influer sur le climat grâce à

des rayons électroniques pour ioniser et désioniser

l’atmosphère ».

Le professeur Gordon J. F. MacDonald, du Comité de conseil

en sciences du président, en 1966, écrivait un chapitre du livre

de Nigel Calder, , intitulé : “How to wreck

the environment” (Comment détruire l’environnement).

Il y décrivait les applications militaires de la modification du

climat, les techniques pour épuiser la couche d’ozone audessus de l’ennemi, produire des tremblements de terre,

actionner les vagues des océans et se servir des champs

magnétiques terrestres pour manipuler les ondes du cerveau

humain.

Choquantes aussi sont les auditions du Sous-comité sur les

océans et l’environnement international qui enquêtait, au

début des années soixante-dix, sur la recherche militaire et

trouva les plans détaillés pour créer des raz-de-marée à partir

[...]

Unless Peace Cornes

de l’utilisation coordonnée d’armes nucléaires !

Comme par hasard, la reprise de la Guerre froide, pendant

les années Reagan, produisit une flopée d’inventions autour de

la modification climatique. Déjà, un brevet d’août 1982,

numéro 4347284 - officiellement pour refroidir la Terre -

ébauchait des plans pour produire « un matériau couvert d’une

couche blanche capable de réfléchir les rayons ultraviolets du

soleil ».

De nombreux autres brevets furent déposés pendant cette

période, comme celui figurant sous le numéro 4412654,

enregistré en novembre 1983, tendant à perfectionner « la

vaporisation aérienne de liquides ». La méthode décrivait «

l’utilisation d’un carénage avec une fente sur le bord pour offrir

une zone abritée dans l’aile (de l’avion) dans lequel serait

introduit le liquide à pulvériser ».

Et pour ne pas s’arrêter en si bon chemin, un brevet déposé

en juillet 1986 détaillait: « Un mécanisme fourni pour libérer du

propane liquide d’une fusée pour ensemencer les nuages. »

Un autre, en août 1990, sous le numéro 4948050, décrivait

l’usage d’un générateur dont les commandes seraient couplées

à celles de l’avion pulvérisateur.

En 1991, deux chercheurs américains d’origine chinoise,

David Chang Hughes et I-Fu Shih, qui travaillaient au

Laboratoire national de Lawrence Livermore en Californie, ont

inventé l’ensemencement stratosphérique Welsbach[82] pour la

réduction du réchauffement climatique. Le propriétaire et

exploitant du brevet est le géant de la technologie spatiale :

Hughes Aircraft à Los Angeles.

Les chercheurs y préconisaient l’épandage dans la

stratosphère de ce que l’on a appelé « les particules Welsbach »

par le biais d’une substance porteuse. Ces particules sont des

oxydes de métal qui convertissent la chaleur empêchée par les

gaz à effets de serre de s’échapper de l’atmosphère de la Terre

en ondes infrarouges. Ces ondes sont alors retournées vers

l’espace, créant le refroidissement recherché. Les particules

décrites dans le brevet doivent être ajoutées au carburant de

l’avion de façon à être expulsées des moteurs pendant la

combustion. Ces substances en question sont le plus souvent

de minuscules particules d’oxyde d’aluminium et des sels de

baryum qui deviennent visibles dans le ciel sous la forme de

filaments blancs[83] ; ce qui rend crédibles les observations et

les craintes de milliers de gens de par le monde ! Les rayons

entrants du soleil sont eux aussi diffractés par la poudre

d’aluminium et renvoyés vers le ciel.

En lisant le brevet jusqu’au bout, on tombe en plus de cela

sur deux petites phrases qui ont une réelle importance

aujourd’hui, les autorités commençant par endroits à avouer

l’emploi de la géo-ingénierie sous prétexte de lutter contre le

réchauffement climatique : la première dit que « l’emploi de

cette méthode peut engendrer une augmentation du

réchauffement climatique » et la deuxième, tout à la fin, dit «

qu’une fois que la saturation de la cible a été atteinte, les

particules ainsi larguées dans l’atmosphère gardent leur

efficacité pendant un an ».

Rien d’étonnant donc - et tout aussi incriminant dans

l’histoire des chemtrails - à ce qu’en 1992, un brevet d’«

éjecteur de fluides pour décharger des gaz et des fluides d’un

avion, espacé de la surface extérieure de l’avion par un mât »

soit enregistré. Ce système permettant que les produits se

répandent dans l’axe exact de la condensation des moteurs, ce

qui rend volontairement plus difficile l’identification des

épandages.

On sait depuis toujours que les Français ont la particularité

d’inventer des trucs géniaux qui ne servent à rien, méprisant

souvent toute créativité assujettie à l’idée de profit, alors que

les Américains, eux, ne cherchent que ce dont l’industrie a un

besoin urgent pour faire avancer les choses, et qu’ils pourront

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