LA GUERRE SECRÈTE CONTRE LES PEUPLES part 06

 modulable total. Ainsi, il existe d’autres complexes de

recherches sur l’ionosphère comme à Puerto Rico, à Tromso en

Norvège, à Jicamarca au Pérou, en Russie près de Moscou, ou

encore à Nizhny Novgorod, en Ukraine ou dans le Tadjikistan.

MANIPULATIONS ET CATASTROPHES CLIMATIQUES

Le catéchisme d’État est très simple : le réchauffement

climatique dû aux gaz à effet de serre produits par la pollution

humaine est responsable des catastrophes climatiques qui

s’intensifient. Luc Mampaey, chercheur au Groupe de

recherche et d’information sur la paix et la sécurité (GRIP,

Bruxelles), nous fait quand même remarquer que le concept de

« guerre environnementale » fait partie du langage et des

manuels militaires depuis des décennies ; alors que l’on

commence à peine à nous « vendre » la nécessité de la géoingénierie... mais uniquement pour la survie de la planète !

D’abord, tout comme il est certain que l’on peut contrôler la

température en créant des nuages artificiels, provoquer ou

empêcher la pluie où l’on veut, les chemtrails transportant du

baryum peuvent, par exemple, causer des sécheresses terribles

en absorbant l’humidité ambiante. La première implication est

que l’eau est essentielle pour la survie, et que si elle est

produite sur commande, les vents dominants vont aussi la

transporter ... En fait, ceux qui

contrôlent l’eau peuvent changer la démographie du monde !

Comme le confirme l’expert Marc Filterman : « En termes clairs,

il est possible de créer des zones de basse et de haute pression

capables de générer des cyclones ou des anticyclones, ou de

violentes averses », en provoquant, par la manipulation d’ondes

électromagnétiques, l’attirance ou la répulsion des masses

nuageuses et donc artificiellement, des sécheresses ou des

pluies diluviennes.

Qui vit, qui mange, qui va mourir de soif : tout est sous leur

contrôle.

où certains veulent qu’elle aille

Lowell Ponte, spécialiste de la manipulation du climat,

signala dès 1978 que les Soviétiques avaient expérimenté « la

théorie sur les ondes scalaires de Tesla en utilisant trois

émetteurs de forte puissance au nord-ouest de Moscou [...] et

seraient en mesure, à Paide des ELF, de manipuler le jetstream en modifiant le champ magnétique terrestre, ce qui

modifie ensuite le climat des pays occidentaux. Il affirma aussi

que l’URSS se livrait à des attaques atmosphériques contre les

États-Unis. »

Il est prouvé que les États-Unis et la Russie possèdent depuis

longtemps la technologie pour créer un ouragan, une tornade,

ou des tremblements de terre. Marc Filterman explique qu’il

suffit d’envoyer des ondes puissantes qui entrent en résonance

avec des failles et des cavités souterraines pour provoquer des

tremblements de terre à distance. Il nous livre les révélations

d’un ancien général du KGB, Oleg Kalouguine, en 1993, selon

lesquelles, dans les années soixante, les Soviétiques étaient

spécialistes de cette guerre sismique, « par tremblements de

terre interposés... »

Le principe consiste à faire exploser des bombes atomiques

souterraines tout autour du territoire dans le but de provoquer

des tremblements de terre chez les voisins. Et comme ils se

déclenchaient plusieurs jours après un essai nucléaire, cela

permettait aux Russes de « faire la guerre sans en avoir l’air » !

Ils ignoraient juste, à l’époque, l’existence de la contamination

radioactive qui pouvait irradier tout un territoire pendant des

décennies !

C’est ainsi qu’après l’explosion sur le site de Semipalatinsk,

l’Iran, le Kazakhstan, l’Ouzbékistan et le Tadjikistan subirent

des séismes importants ; et des savants soviétiques ont euxmêmes admis que l’essai thermonucléaire de Novaya Zemlya en

1988 avait probablement un lien avec le tremblement de terre

qui s’est produit peu de temps après en Arménie, faisant 45

000 morts.

Le de septembre 1993 fait état d’un

ouragan déclenché par les Américains le 4 juillet 1978 sur le

Wisconsin, apparemment pour communiquer avec des sousmarins, en utilisant un émetteur ELF de 1,2 mégawatt qui

détruisit tout sur son passage, occasionnant quelque 50

millions de dollars de dommages.

On ne peut que rapprocher les largages répétés de

substances dans l’atmosphère par des avions militaires divers

comme les KC-135, à des altitudes relativement élevées, et

ensuite l’apparition brutale de tornades ou de précipitations

importantes. Une vidéo de l’ouragan « Sandy » le 22 octobre

2012, sur le site de Dane Wigington[236], montre les photos

satellite commentées par un spécialiste, avec ce qu’il affirme

être les traces de chemtrails qui entourent et poussent

l’ouragan. Quant à la tempête Xynthia[237], qui a sévi du 26

février au 1er mars 2010, il est bien précisé dans plusieurs

documents qu’il s’agit de ce que les météorologistes appellent «

un cyclone extratropical de type “bombe” ou cyclogénèse

frontale explosive qui tire son énergie de l’atmosphère tandis

que les cyclones tropicaux tirent leur énergie de la température

de la mer ». Avec le tremblement de terre au Chili le 27 février,

le tsunami au Japon dans la foulée et le tremblement de terre

dévastateur en Haïti le 12 janvier, cela fait quand même pas

mal pour des événements « naturels » !

Il est tout aussi certain que les recherches militaires relatives

aux modifications environnementales n’ont jamais cessé ; mais

les médias sous contrôle des différents pays s’emploient à les

cacher !

World Weather Magazine

En décembre 1974, Howard Benedict de l’Associated Press à

Washington, rédigeait un rapport consacré à la guerre

météorologique, intitulé ?

Dans l’article, il expliquait que les

porte-parole américains et russes n’avaient pas d’autre choix

que de nier l’existence de telles armes. S’ils avaient dit « nous

possédons des super-armes météorologiques », les gens

paniqueraient à la moindre anormalité du temps, pensant que

c’est la guerre ! Et l’avantage de ces guerres, c’est justement

que les populations ne soient pas au courant !

En France, on est toujours les meilleurs, la chape de plomb

sur les phénomènes climatiques est royale.

The Weather as a secret weapon (Le

climat, une arme secrète ?).

ET POURTANT...

Rosalie Bertell est couverte de diplômes, tout en étant une

religieuse des Grey Nuns (Sœurs Grises) du Sacré-Cœur. Elle a

été conseillère scientifique du président Carter pour les

technologies de défense au cours des années soixante-dix. Elle

a dirigé de nombreuses commissions internationales sur des

catastrophes comme la tragédie de Bhopal - provoquée en 1984

par Union Carbide, et qui a causé 15000 morts et des

centaines de milliers de victimes, sans qu’aucun coupable ne

soit condamné -, ou Tchernobyl en 1986. Elle a aussi conduit

les études sur les radiations émises par les essais nucléaires

dans les îles Marshall et a reçu de nombreuses récompenses

pour son travail d’aide aux victimes.

En 2005, elle a été sélectionnée parmi les mille « Femmes de

paix » pour le prix Nobel. Elle a publié deux ouvrages :

et

[239], et a dirigé le

journal international bi-mensuel

Elle compare le projet HAARP à un « four gigantesque qui

peut entraîner une déchirure dans l’ionosphère et générer, non

seulement des trous, mais de grandes entailles dans la couche

protectrice qui empêche les radiations mortelles de bombarder

notre planète ».

Pour elle, la question ne se pose pas : « Ce sont les militaires

qui ont détérioré le climat et la couche d’ozone. »

D’autres partagent son avis : quatre-vingt-dix députés russes

ont signé une motion contre le programme HAARP, déclarant

que « ces expériences déboucheraient sur des armes capables

No

Immédiate Danger : Prognosis for a Radioactive Earth[238]

Planet Earth : The Latest Weapon of War

Perspectives in Public Health.

de rompre les communications radio et les équipements des

vaisseaux spatiaux et des fusées, de provoquer de graves

accidents dans les réseaux électriques et dans les oléoducs et

gazoducs, et d’avoir des effets négatifs sur la santé mentale des

populations de régions entières[240] ». HAARP représente une

telle menace que les députés du Parlement européen, qui ne

s’agitent pourtant pas facilement, se sont montrés préoccupés

par le développement de ce projet. En février 1998, répondant à

une note de Karin Maj Britt Theorin, démocrate suédoise, alors

présidente du Bureau international de la paix et membre du

Parlement européen, le Comité des Affaires étrangères, de la

Sécurité et de la Défense au Parlement européen s’est réuni à

Bruxelles en audience publique pour débattre du programme

HAARP La motion de résolution (n° A4-0005/99, du 14 janvier

1999[241]) que le Comité présenta au Parlement européen disait

très clairement : « Considérant que la recherche militaire porte

actuellement sur la manipulation de l’environnement à des fins

militaires, et ce en dépit des conventions existantes[242]... »

« Considère que HAARP (...) en vertu de son impact étendu

sur l’environnement, constitue une préoccupation mondiale et

demande que ses implications légales, écologiques et éthiques

soient évaluées par un organe international indépendant [...]

Déplore que le gouvernement des États-Unis ait à maintes

reprises refusé d’envoyer un représentant pour apporter un

témoignage sur les risques que comporte pour l’environnement

et la population le projet HAARP financé actuellement en

Alaska. [...] Demande en particulier que soit établi un accord

international visant à interdire au niveau global tout projet de

recherche et de développement, tant militaire que civil, qui

cherche à appliquer la connaissance des processus du

fonctionnement du cerveau humain dans les domaines

chimique, électrique, des ondes sonores ou autres, au

développement d’armes, ce qui pourrait ouvrir la porte à toute

forme de manipulation de l’homme ; un tel accord devrait

également interdire toute possibilité d’utilisation réelle ou

potentielle de tels systèmes[243]. »

Je veux bien qu’on se fasse traiter de « détraqué mental qui

voit des complots partout » quand on parle de HAARP et

d’épandages chimiques - et de manière générale dès qu’on

remet en cause le dogme officiel -, mais comme dit Pierre

Hillard : « Il n’y a pas de complot pour celui qui est curieux,

toutes les informations sont accessibles et disponibles. » En

l’occurrence, c’est bien le Comité de sécurité et de défense du

Parlement européen qui écrivait au gouvernement américain

dès 1998 pour demander que lumière soit faite sur tous les

dangers du projet HAARP C’est curieux, cette manie qu’ont les

gouvernants de faire des rapports et des traités pour des

choses qui n’existent pas...

Bien évidemment, les Américains rejetèrent la requête sans

autre forme de procès, indiquant non sans dérision que « la

Commission européenne ne disposait pas de la juridiction

nécessaire lui permettant de s’immiscer dans les liens entre

l’environnement et la défense[244] ! » Depuis, cette chère

commission est muette, sourde et aveugle, soucieuse d’éviter

tout conflit avec Washington. La seule actualité sur le sujet est

l’acceptation, le 25 mars 2014, de la « Pétition sur les

épandages aériens et HAARP » déposée un an avant par les

Skyguards[245].

On peut aussi noter que les Nations unies ont décidé

d’exclure de leur ordre du jour les changements climatiques

résultant de programmes militaires. Voilà ! Comme ça, le

problème est réglé !

Et l’on ne peut s’empêcher de penser à l’annonce de

l’Apocalypse de saint Jean (XIV, 2) : « Et j'entendis du ciel une

voix, comme un bruit de grosses eaux, comme le bruit d'un

grand tonnerre, et la voix que j'entendis était comme celle de

joueurs de harpe jouant de leur harpe. »

LES AUTRES STATIONS DU PROGRAMME HAARP

Au mois de mai 2013, la station de Gakona a fermé. Le

gestionnaire du programme HAARP, le Dr James Keeney, de la

base aérienne militaire de Kirtland, au Nouveau-Mexique, a

déclaré : « Actuellement, le site est abandonné par manque de

financements. » Keeney précise qu’il n’y a plus personne sur

place, les routes d’accès sont bloquées, les bâtiments

verrouillés et les générateurs éteints. Même le site web de

l’Université de l’Alaska n’est plus consultable[246].

L’autre raison est que les générateurs diesel ne fournissaient

plus de l’air répondant aux normes de l’EPA. Sans blague !

L’EPA, qui ferme les yeux sur les épandages et laisse des

millions d’Américains s’empoisonner, deviendrait pointilleuse

quand il s’agit des installations du projet HAARP ?

Pour Nick Begich, c’est de la désinformation.

De toute façon, selon Rense.com, il y aurait quatorze stations

semblables à celle du HAARP dans le monde, dont HIPAS (Hlgh

Power Auroral Stimulation), piloté par le Laboratoire de

physique des plasmas à Los Angeles. La station russe de Sura,

située près de Nijni Novgorod qui aurait les mêmes capacités

que HAARP[247] ; ESCAT, supposé être un laboratoire civil,

appartenant à la fois aux Américains, aux Russes et aux

Chinois. Presque toutes ces stations sont réparties autour de

l’Arctique et s’amusent à exciter l’ionosphère qui a un pouvoir

de réponse qui amplifie à 300 % le rayonnement reçu. Cela crée

un effet de four qui est, vraisemblablement, la cause de la fonte

de la calotte polaire dans l’Arctique. Parce qu’étonnamment, au

milieu du baratin officiel, on se rend compte que l’Antarctique

n’a montré aucun dommage jusqu’en 1999, date d’installation

d’une base américaine et, à partir de ce moment, la glace fond

autour de la base aussi !

Et l’on nous culpabilise régulièrement avec la destruction de

la banquise et l’extermination au demeurant si triste des ours

blancs qui n’ont plus de territoire...

Il est certain que l’on consomme trop, que l’on gaspille

beaucoup et que l’on a tous besoin de revenir à plus de

mesure, plus de conscience, plus de responsabilité ; mais de là

à nous faire porter le chapeau...

À ce propos, il y a des vidéos qui circulent sur Internet, prises

avec Google Earth, qui laissent sans voix. On y voit des images

de la banquise découpée en carrés parfaits de deux ou trois

hectares, comme si cela avait été fait par un laser embarqué

sur un avion ou un satellite. Il est certain que ces images sont

hallucinantes et que la banquise ne peut pas se casser toute

seule à angle droit bien net et en rectangles on ne peut plus

réguliers... Prêts à être livrés, pourrait-on penser ! Si vous ne

les avez pas vues, je vous invite à les visionner[248].

Certains sites anglo-saxons n’hésitent pas à dire que c’est le

canon laser volant de Boeing qui découpe la glace pour quelle

fonde afin d’exploiter les réserves de gaz et de pétrole et que «

c’est pour cette raison qu’ils sont tous présents dans la zone

pour se partager le gâteau ». C’est bien ce que font certains

promoteurs immobiliers : mettre le feu aux forêts ou aux

littoraux protégés pour récupérer les terres et construire

dessus. Ils mettent bien des pays à feu et à sang pour mettre la

main sur le pétrole ou les ressources minières... est-ce qu’ils

détruisent la banquise pour pouvoir s’emparer des richesses du

sous-sol ? Quand on est capable de massacrer des enfants, je

suppose que ce n’est pas le sort des ours qui peut émouvoir.

Les images où ils dérivent sur un minuscule bout de glace sont

faites pour nous faire pleurer, nous, afin qu’on accepte sans

rechigner la prochaine taxe et qu’on ait envie d’envoyer des

sous à WWF, Friends of the Earth... Les politiques et les ONG,

c’est comme l’UMPS !

Il y a une autre base importante : la station de suivi de

satellites Joint Defence Facility Pine Gap, habituellement

appelée Pine Gap, est située au sud-ouest de la ville d’Alice

Springs dans le Territoire du Nord en Australie. La base est

gérée conjointement par l’Australie et les États-Unis, à la suite

d’un accord signé en 1966. Il s’agit de l’un des plus grands

centres de renseignement d’origine électromagnétique au

monde.

La station est dirigée par les services secrets australiens,

mais la moitié des quelque neuf cents personnes qui y sont

stationnées sont des Américains de la CIA et du Naval Security

Group.

Pine Gap compte dix-huit antennes satellitaires, dont une

d’un diamètre d’environ trente mètres et une autre d’un

diamètre d’environ vingt mètres. Cette station terrestre pour

satellites appelée Sigint contrôle et

commande plusieurs satellites d’espionnage, dont elle capte,

traite et analyse les signaux. Toutefois, la présence d’antennes

satellitaires de grande dimension donne à penser que la station

écoute aussi des satellites de communication. Jusqu’en 1980,

les Australiens étaient exclus du département d’analyse des

signaux. Depuis, ils ont libre accès à toutes les parties de la

station, à l’exception de la salle de cryptographie nationale des

Américains.

Chaque matin, une commission, le Joint Reconnaissance

(Signals Intelligence)

Schedule committee, se réunit pour déterminer quels satellites

seront surveillés pendant les prochaines vingt-quatre

heures[249]. On sait à présent que la recherche sur la propulsion

électromagnétique est l’objectif principal de Pine Gap.

On soupçonne également que la plus grande cavité jamais

creusée en Australie et qui aurait plus de 8 Km (8 535 mètres

exactement) de profondeur se trouve sous Pine Gap, espace

aérien réservé à la recherche spatiale dont le rayon est de plus

de 1 200 Km.

Cette galerie pourrait aussi servir d’antenne souterraine pour

la diffusion d’électricité à très basse fréquence. Étant donné

que Pine Gap oriente ses recherches autant sur la haute

atmosphère que sur le sous-sol, il est possible qu’elle puisse

générer une énorme onde stationnaire autour de la Terre et

produire un champ électrique à une altitude de 400 km, par le

biais d’émissions ELF.

Sans jamais avoir eu une confirmation officielle évidemment,

de nombreuses rumeurs circulent au sujet de ce site. Cette

immense cité souterraine de plusieurs niveaux est aussi censée

posséder un énorme générateur nucléaire fournissant l’énergie

nécessaire à son émetteur-récepteur.

Pine Gap dispose également d’énormes ordinateurs, dont la

capacité de mémoire principale serait supérieure à deux

milliards d’octets, collectant l’ensemble des informations

relatives à la sécurité, non seulement à propos de la finance et

des technologies, mais également de tous les aspects de la vie

des citoyens. Ces ordinateurs sont connectés à des serveurs

centraux situés à Guam, à la base américaine d’AmundsenScott au Pôle Sud, et à Krugersdorp en Afrique du Sud, où se

trouve une station similaire à Pine Gap. Mais il est difficile

d’obtenir des renseignements à son sujet. La plupart des 1 200

personnes qui y travaillent se font passer pour des employés

consulaires américains.

Un autre déploiement est en train d’effrayer la Sicile. C’est

celui du Mobile User Objective System[250] (MUOS), près du

village de Niscemi, sur d’anciennes installations utilisées

depuis plus de vingt ans par le Pentagone pour les liaisons avec

les navires et les sous-marins. Décrit comme un nouveau

système de télécommunication de la marine américaine, il y a

trois autres terminaux terrestres MUOS dans d’autres pays.

C’est un système Ultra hautes fréquences (UHF) servant le

département de la Défense américain uniquement, pas l’OTAN.

Il est même précisé que « son usage par les Alliés est sujet à

considérations » ! MUOS doit assurer la liaison des forces

armées américaines entre le centre de commandement et les

unités mobiles, missiles, sous-marins ou autres. Mais cet

ensemble « composé de trois grandes antennes paraboliques de

18,4 m de diamètre pour la transmission et de deux émetteurs

de 149 m de hauteur pour le positionnement géographique »

est une installation qui générera de puissants faisceaux

électromagnétiques pouvant avoir des effets dévastateurs sur

l’environnement et la santé des habitants sur des kilomètres à

la ronde, et qui va dérégler le trafic aérien dans les deux

siciliens, selon les techniciens de l’institut polytechnique de

Turin.

Le plus inquiétant, d’après le journaliste italien Giulietto

Chiesa, « c’est de découvrir que l’ensemble du MUOS constitue

une arme stratégique offensive d’un nouveau genre, qui fait

partie d’un système regroupant des bases similaires réparties

sur plusieurs continents et reliées par un système de satellites

géostationnaires, qui permettent aux États-Unis d’Amérique de

mener des actions de détection, de contrôle, de guidage de

drones, de perturbation et d’attaque ». Relié à HAARP, on parle

« d’une énergie d’un million de fois plus intense qu’on ne

pourrait produire avec tout autre émetteur ».

C’est ce qu’indiquent les études menées par deux sociétés

américaines, Analytical Graphics Inc. (siège social à Exton en

Pennsylvanie) et Maxim System (basé à San Diego, en

Californie), sur l’impact des ondes émises par ces antennes, qui

précisent aussi que « les émissions électromagnétiques ultrapuissantes peuvent déclencher la mise à feu des systèmes

d’armes » à bord des avions militaires.

Relié aux autres installations du même nom, MUOS permet à

l’armée américaine d’avoir dans ses mains le contrôle de la

planète ; sans que personne ne puisse s’y opposer, et sans que

les médias en parlent...

Mais, comme s’en vantait Reuven Frank, journaliste,

producteur, et ex-président de NBC News : « Les nouvelles sont

ce que nous voulons supprimer. Tout le reste est de la

publicité. »

Quel est le premier objet de la société ?

C’est de maintenir les droits imprescriptibles de l’homme.

Quel est le premier de ces droits ?

Celui d’exister.

ROBESPIERRE

est le titre du livre écrit en 1997

par Nick Begich, docteur en médecine, le premier à s’être

profondément impliqué dans la campagne contre le projet

HAARP, et la journaliste Jeane Manning, spécialisée dans les

recherches sur les énergies dites « non conventionnelles ». Ils

affirment sans ambiguïté qu’un des buts de ce projet est de

mettre sur pied une arme de destruction aussi bien massive

qu’individuelle, une arme « psychotronique » utilisant une onde

ELF (ultra-basse fréquence) de forte puissance, capable de

manipuler mentalement les populations à leur insu.

HAARP est un projet totalement contestable non seulement

sur les plans humain et politique mais aussi du point de vue

légal, qui enfreint tous les accords internationaux : ENMOD

(sur l’interdiction d’utiliser des techniques de modification de

l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins

hostiles), OPCW (Organisation for Prohibition of Chemical

Weapons[251]), ainsi que le traité sur l’Antarctique, assurant que

l’Antarctique ne peut être utilisée qu’à des fins pacifiques...

Et cela fait plus de quarante ans que les Américains

expérimentent, au mépris des conventions internationales, des

armes psychologiques, sous divers noms de code : Argus

(1968), Solar Power Satellite (1968-1978), Space Shuttle

LES ANGES NE JOUENT PAS DE CETTE HAARP

Angels dont play this HAARP

Experiments (1985), Mighty Oaks (1986), Desert Storm

(1991)...

Mais l’opprobre n’inquiète guère les stratèges du Pentagone.

Ils ont même déclaré dans une revue spécialisée destinée à

l’élite militaire : « Alors que nous entrons de plain-pied dans

l’ère de l’électronique et de la bioélectronique, il devient

nécessaire de réévaluer les barrières morales et éthiques que

nous avons posées en interdisant toute technologie pouvant

manipuler l’esprit de nos ennemis, tant à l’intérieur du pays

qu’au niveau international. Dès que cela sera possible, nous

encouragerons des entreprises privées ou semi-privées à

développer une technologie appropriée. Nous pouvons agir de

même avec les nouveaux types d’armements comme les armes

biologiques incapacitantes et les armes psychotechnologiques

avancées[252]. »

Étant donné le passif de l’US Air Force et surtout de la CIA

en matière d’expériences chimiques et bactériologiques, de

sophistication dans la barbarie, on les voit mal ne pas aller au

bout de toutes les possibilités offertes par le projet HAARP,

arme polyvalente par excellence. N’oublions pas les

monstrueuses expériences secrètes qui consistaient à injecter

toutes sortes de drogues chimiques à de pauvres soldats

conscrits afin de modifier leur comportement.

Les moyens utilisés par HAARP sont plus discrets mais tout

aussi efficaces.

HAARP, LA PREMIÈRE ARME DE MIND CONTROL À

L’ÉCHELLE MONDIALE ?

Dès 1952, le Dr José Manuel Rodriguez Delgado, professeur de

physiologie à Yale, avait découvert la possibilité d’influencer le

comportement émotionnel et la façon de penser d’un individu

par l’utilisation de certaines fréquences et de certaines ondes.

Avec d’autres scientifiques comme Robert Becker, ils ont réussi

à démontrer que des ondes de types ELF identiques à celles

utilisées par HAARP, qui sont couplées avec l’emploi de courant

alternatif, génèrent des fréquences « où la plupart des fonctions

cérébrales profondes de l’être humain peuvent être manipulées

de l’extérieur avec des résultats très tangibles ».

Le Dr Begich explique que certaines ondes de très basses

fréquences peuvent provoquer l’apparition dans le cerveau de

substances neurochimiques qui génèrent « un vaste arsenal de

réponses et de comportements émotionnels ou intellectuels

comme des sentiments de peur, de dépression, de désir,

d’amour ». HAARP pourrait donc « influencer le comportement

et les facultés mentales des individus, à des fins militaires, de

maintien de l’ordre ou de contrôle politique », en plus «

d’affecter la santé des personnes et d’avoir un impact

biologique sur l’environnement[253] ». Son inquiétude est

d’autant plus vive que des expériences sont menées dans ce

sens aux États-Unis, notamment à Los Alamos, l’un des grands

centres de recherche américains dans le domaine des armes de

très haute technologie. Il se réfère aux travaux du Dr William

Ross Adey, professeur d’anatomie et de physiologie, qui a

découvert que des ondes pulsées provoquent des variations de

la tension artérielle et génèrent des signaux micro-électriques

qui se propagent dans le système nerveux et informent le

cerveau sur ce qui nous entoure. Ces ondes pulsées modifient

le pH sanguin et affaiblissent le système immunitaire humain.

Une synthèse de nombreuses études qui prouvent « la

possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains

par l’induction électromagnétique d’algorithmes fondamentaux

» a été publiée dès juin 1995 dans

Son auteur, Micheal A. Persinger[254], chercheur à la Laurentian

University d’Ontario, au Canada, indique : « La neuroscience

contemporaine suggère l’existence d’algorithmes fondamentaux

par lesquels toute transduction sensorielle est traduite dans le

code intrinsèque spécifique au cerveau. La stimulation directe

de ces codes dans les cortex temporel ou limbique humains par

l’application de signaux électromagnétiques pourrait requérir

des niveaux d’énergie à la portée tant de l’activité

géomagnétique que des réseaux de télécommunications

contemporains. Un processus couplé avec l’étroite bande de

température du cerveau permettrait d’affecter tous les cerveaux

humains normaux avec une sous-harmonique dont la

fréquence aux environs de 10 Hz ne varierait que de 0,1 Hz. »

L’étude précise aussi que Sandyk (1992) et Jacobson (1994) ont

trouvé que les champs magnétiques complexes avec des durées

de pulsation interstimulus variables pourraient provoquer des

changements sans précédent dans les niveaux de mélatonine...

La mélatonine qui, outre ses fonctions hormonales et

d’antioxydant, jouerait un rôle particulier dans la protection de

l’ADN nucléaire, dans l’ADN mitochondrial et le système

immunitaire.

D’autres recherches ont mis en évidence l’interaction avec le

réseau de neurones (Robert G. Jahn et Brenda Dunne, 1987),

d’où l’association entre l’exposition à des champs

Perceptual and Motor Skills.

électromagnétiques (60 Hz) et les tumeurs du cerveau.

Dans les années soixante-dix, Persinger, Ludwig et

Ossenkopp, ont montré qu’avait émergé un potentiel,

improbable à l’époque, mais réalisable avec HAARP. « Ce

potentiel est la capacité technique d’influencer directement la

majorité des six milliards de cerveaux humains sans la

médiation des modalités sensorielles classiques, en générant

l’information neurale dans le milieu physique où tous les

membres de l’espèce sont immergés. »

Barrie Trower, ex-agent formé à l’usage militaire des microondes, ayant travaillé pour la Navy, révèle que les micro-ondes

étaient employées couramment, comme elles le sont de nos

jours, par les armées et les gouvernements pour nuire à des

opposants ou des ennemis en les rendant malades et ainsi les

faire mourir à petit feu. Il a ensuite passé onze ans à collecter

les informations des espions arrêtés ou retournés, à interroger

aussi les terroristes, les criminels internationaux, quiconque

présentant un intérêt pour savoir où les autres pays en étaient

de leurs recherches... Et il raconte que tout a commencé par

des expériences menées par les Soviétiques sur l’ambassade

des États-Unis durant la Guerre froide. Les Américains se sont

rendu compte qu’il y avait un taux anormal de cancers du sein,

d’enfants atteints de leucémies et d’autres cancers parmi le

personnel diplomatique, et ils ne comprenaient pas pourquoi.

Alors ils ont changé certains employés, et les nouveaux ont

aussi eu des leucémies et des cancers. Ils ont une nouvelle fois

changé l’équipe, et ils ont fini par découvrir qu’ils étaient

exposés à des micro-ondes.

« C’est là, nous apprend-il, que le gouvernement des États-

Unis s’est mal conduit : ils ont décidé de ne rien dire, utilisant

leur propre peuple comme des cobayes pour développer leurs

propres armes. Quand on a découvert ce qu’il se passait, il y a

bien sûr eu un démenti, comme d’habitude, puis un rapport

secret ! » Finalement, une sommité de la science, le professeur

John Goldsmith, rédigea le rapport définitif confirmant que les

micro-ondes de faible intensité provoquaient une énorme

quantité de cancers, de leucémies et d’autres troubles. Et

Trower témoigne que depuis, quand les gouvernements veulent

juguler un groupe de gens, ils utilisent les microondes comme

ils l’ont fait à Greenham Common sur une manifestation

pacifique de femmes qui protestaient contre la présence de

missiles américains sur le sol anglais.

Il révèle que ces femmes ont été ciblées depuis la base

américaine, bombardées d’ondes pour les rendre malades, et

quand les résultats sont tombés, il y avait une quantité

anormalement élevée de tumeurs, de changements de

personnalité et de tendances suicidaires parmi elles. Même

chose sur les catholiques d’Irlande du Nord.

Selon lui, il existe un engouement généralisé pour les microondes en tant qu arme furtive, et celui-ci est flagrant depuis les

années cinquante.

Certaines applications ont un effet immédiat. Il explique

qu’avec « une fréquence pulsée, vous pouvez rendre quelqu’un

suicidaire. Les personnes ne prennent alors plus la peine de

manifester. Leur seul désir est de rester au lit ou de dormir

toute la journée. Donc, si vous ciblez des manifestants, si vous

les rendez dépressifs, ils ne cherchent plus à manifester. Ils

sont épuisés. » D’autres sont plus insidieuses : « Si vous voulez

induire une maladie mentale spécifique, il vous faudra un

appareil infrarouge qui suivra la personne, et vous le ferez

fonctionner avec un émetteur de micro-ondes aussi fin qu’un

stylo, de sorte que le faisceau de micro-ondes cible toujours

une glande ou une partie du cerveau en particulier, ou un œil,

ou le cœur. »

« C’est une arme dont on ne sait pas qu’on est la cible,

ajoute-t-il, parce que la dose est très, très faible, ce qui est

encore plus dangereux que des doses élevées, et ça peut

prendre un an ou deux avant de déclencher des dommages

neurologiques et des cancers[255]. »

Justement, Barrie Trower confie que, parmi la cinquantaine

de conversations hautement « top secrètes » qu’il a eues

pendant ses années d’activité, deux d’entre elles concernaient

la mort de chefs d’États : « Leurs successeurs m’ont dit qu’ils

pensaient qu’ils avaient été tués par un rayonnement

microondes. Ils ont fait leur enquête et c’était leur conclusion...

» Chavez lui-même évoquait la possibilité de complots à

l’origine des cancers des chefs d’États sud-américains, et

dénonçait une technologie américaine entre les mains de la CIA

pour inoculer le cancer. Barrie mentionne à ce sujet que les

armes à micro-ondes n’étaient pas un secret avant le milieu

des années soixante-dix, « ils en parlaient librement autour de

biscuits et d’une tasse de thé ». Puis les gouvernements ont

saisi le plein potentiel de cette technologie et ont alors décidé

de la faire tomber sous la loi des secrets officiels[256].

Mais les expériences se sont succédé pour permettre de

maîtriser de mieux en mieux la technique ! L’une d’entre elles

consistait à cibler une personne ordinaire jusqu’à la rendre

folle ; elle finissait par aller voir un psychiatre qui

diagnostiquait une schizophrénie, une paranoïa ou une autre

maladie psychiatrique. La personne se retrouvait enfermée

dans un asile à souffrir pour le restant de sa vie ; mais pour le

gouvernement, c’était un succès ! « Les humains étaient

considérés comme des rats de laboratoires. S’ils voulaient

mener des expériences sur vous, ou sur des milliers de

personnes, ils le faisaient. On peut vous conduire à la folie et à

la mort. Vous représentez une case que l’on coche sans aucune

émotion. C’est ce qu’ils font, et c’est pour cela qu’ils sont audessus de la loi », dénonce-t-il.

Une autre manipulation du cerveau, très facile d’après Barrie

Trower, est de faire entendre des voix. « Et ce n’est pas que les

gens imaginent les entendre. Ils les entendent physiquement. »

En fait, explique-t-il, quand on parle à quelqu’un, notre voix

n’est pas dans son cerveau, elle ne dépasse pas quelques

centimètres dans son oreille, c’est le signal électrique qui lui

fait interpréter le son produit. « Et une fois que vous avez ce

signal électrique, qui peut venir d’une puce ou de beaucoup

d’autres choses, vous pouvez faire entendre physiquement des

voix, certaines voix. Cela peut être une conversation, ou

quelqu’un que vous voulez entendre. Cela peut être une voix

douce et angélique, ou un dieu, ou quelque chose d’effrayant

comme le diable, cela peut être n’importe quoi[257]. »

Il y a aussi la possibilité de « pucer » les gens, et ensuite « si

vous connaissez la localisation géographique de votre cible,

vous pouvez utiliser les forces spéciales pour projeter un

faisceau depuis un satellite ». Le faisceau active alors la puce,

la met sous tension, et elle renvoie le signal. C’est un type de

puce qui ne fonctionne que lorsqu’elle est stimulée. L’autre type

de puce envoie en continu des impulsions pour stimuler à une

fréquence donnée, par exemple, une glande du corps, qui va

produire une substance chimique spécifique, entraînant une

réponse spécifique dans le cerveau.

Rien de très étonnant quand on a lu le livre de Zbigniew

Brzeziński,

, dans lequel il déclare, page 28 :

« [...] il peut être possible -et tentant -d’exploiter à des fins

stratégiques et politiques, les fruits de la recherche sur le

cerveau et le comportement humain. Gordon J. F. MacDonald,

ce géophysicien spécialisé dans les problèmes de la guerre, a

écrit que des décharges électroniques excitées artificiellement

et mesurées avec précision “pourraient permettre de développer

un système qui altérerait sérieusement les performances du

cerveau de très vastes populations dans des régions

sélectionnées sur une longue période... Peu importe à quel

point l’idée d’utiliser l’environnement pour manipuler le

comportement dans l’intérêt national de quelques-uns peut

être dérangeante, la technologie permettant cette utilisation se

développera très probablement dans les prochaines décennies”.

» Notons qu’il écrit cela après avoir pris la peine de mentionner

dans l’introduction que « ce livre n’est pas un exercice en

», mais une façon d’aider les lecteurs « à mieux saisir

la nature du monde politique dans lequel nous vivons, les

forces qui le forment et les directions qu’il poursuit » ! C’était en

1970.

Between Two Ages - Americas Rôle in the

Technetronic Era

futurologie

LES SECRETS INAVOUABLES

Le Dr Rauni-Leena Luukanen-Kilde affirme, de son côté, que

des essais ont été menés depuis des décennies sur des

prisonniers et des malades mentaux. Sur des femmes seules

aussi, dont la disparition va mettre plus longtemps à être

signalée puisqu’elles n’ont pas de famille qui pourrait

s’inquiéter de leur disparition. Elle fait remarquer que, allant

de pair avec ces expériences secrètes, on peut égrener toute

une liste de savants qui en savent trop et meurent d’accidents

stupides, d’attaques cardiaques, de tumeurs au cerveau, dans

des avions qui s’écrasent...

Il est vrai que, dans les cinq mois suivant les attentats du 11

Septembre, marquant un véritable tournant dans la conduite

de la politique mondiale, c’est-à-dire entre novembre 2001 et

février 2002, onze microbiologistes de renommée internationale

sont morts mystérieusement. Ces chercheurs n’appartenaient

pas à une nationalité particulière, mais ils avaient un

dénominateur commun : celui d’être à la pointe de l’étude des

virus, de la biologie cellulaire, des séquences de l’ADN[258].

Un peu avant ces décès, le 4 octobre 2001, le vol 1812 de la

compagnie Siberian Airlines voyageant de Tel-Aviv à

Novossibirsk fut abattu au-dessus de la mer Noire par un

missile ukrainien sol-air « perdu », avec cinq microbiologistes

parmi les passagers. Comme le vol MH 17 de la Malaysian

Airlines[259] qui est tombé jeudi 17 juillet 2014, dans l’Est de

l’Ukraine avec à son bord au moins six spécialistes du SIDA,

dont l’éminent chercheur néerlandais Joep Lange, qui se

rendaient à Melbourne pour la conférence mondiale AIDS 2014

? Ou bien encore le vol MH370, toujours de la Malaysian

Airlines, disparu dans l’océan Indien le 8 mars 2014, et qui

comptait parmi ses passagers vingt membres hautement

qualifiés de la société américaine Freescale Semiconductor, qui

venaient de lancer « un nouveau gadget de guerre électronique

pour les systèmes de radars militaires » ?

Pendant que la guerre des sanctions contre Poutine, décidée

par l’Union européenne et les États-Unis, faisait rage, un

article de Russia Today

[260] nous apprenait que, quatre jours

après la disparition du vol, un brevet d’une incroyable micropuce KL-03[261] était approuvé par le Bureau américain des

brevets et des marques de commerce ; et partagé en cinq

tranches de 20 % pour chaque titulaire. Quatre étaient des

Chinois employés de Freescale, qui étaient dans l’avion, et le

cinquième titulaire était la société Freescale elle-même. Et un

article du dépôt spécifiait que si un titulaire venait à mourir,

ses parts n’iraient pas à ses héritiers, mais seraient partagées

équitablement entre les titulaires restants !

Le dernier et unique titulaire vivant du brevet est donc

Freescale Semiconductor. Et à qui appartient cette entreprise ?

À Jacob Rothschild la banque d’investissement Blackstone

(qui a d’ailleurs engendré la société d’investissement

BlackRock, que nous avons déjà croisée dans les quatre

sociétés actionnaires de pratiquement toutes les compagnies

importantes liées à HAARP !).

L’autre mystère du vol MH370 fait parler dans les milieux

informés... Un article du site The Examiner[262] demande s’il ne

se serait pas évaporé, victime d’une arme utilisée dans la

guerre électronique que l’employeur de ces vingt passagers fait

pour le compte du département de la Défense — des passagers

ingénieurs, chercheurs, fortement impliqués dans la

technologie électronique de pointe utilisée à des fins de

via

défense, telles que les armes qui peuvent rendre des avions

invisibles ou les faire passer dans d’autres temps, d’autres

plans...

LA TECHNOLOGIE AUX MAINS DE PSYCHOPATHES

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le contrôle de

l’esprit humain n’est pas une science nouvelle ; les premiers

essais datent de 1801. En 1952, la CIA plaçait des micro-puces

dans le cerveau de gens pour les suivre et dès 1920, raconte

Nick Begich, l’Agence américaine suivait les travaux d’un

scientifique nommé George H. Estabrooks. Ensemble, ils ont eu

l’idée de créer un super-espion. Il s’agissait de soumettre

quelques personnes à un programme intense de manipulation

pour partager la personnalité de l’individu en deux entités bien

distinctes dans le même corps ; programmant la même

personne pour être un super-espion pouvant opérer dans un

pays étranger sans être détecté et, s’il se faisait capturer,

n’avoir aucun souvenir de « l’autre », son second Une fois

rentré aux États-Unis, on pouvait tout réactiver pour qu’il

donne toutes les infos collectées...

En 1930, les travaux étaient classifiés, et en 1960, ils ont

annoncé avoir réussi. Le problème est que l’individu était fichu

mais Estabrooks trouvait que c’était une bonne idée, comme de

faire prendre du LSD[263] pour altérer la conscience des gens...

Ces expériences incluaient de placer des électrodes cérébrales

sur les enfants dès l’âge de onze ans et de contrôler leur

comportement grâce à des émetteurs à distance ; de donner

150 µg de LSD par jour aux enfants de sept à onze ans pendant

des semaines ou des mois... d’utiliser des prostituées pour en

donner de hautes doses à leurs clients à leur insu et laisser le

personnel de la CIA en observer les effets pendant leurs

sauteries ; d’effacer les souvenirs avec des chocs électriques et

d’utiliser des animaux avec des électrodes implantées dans le

moi.

cerveau comme vecteurs d’armes chimiques et biologiques. La

technique de base étant que, lorsqu’on a un traumatisme,

l’esprit fabrique une barrière amnésique pour l’empêcher de

revivre la séquence et de souffrir continuellement. Et si l’on

traumatise quelqu’un systématiquement, particulièrement

avant l’âge de cinq ou six ans, on peut créer des barrières

amnésiques qui occultent l’existence les unes des autres. Puis,

avec des mots, des signes, on peut en ramener une au niveau

conscient, sans qu’une autre refasse surface.

Plus tard, on a appris que la CIA avait expérimenté ces

méthodes sur huit mille hommes et femmes dans l’armée, sans

compter ce qu’ils ont dû faire sur les civils ! Quand ils ont été

découverts, les membres de l’Église et du Congrès ayant

entendu leurs témoignages ont appris qu’ils étaient directement

impliqués dans 140 programmes « MK Ultra » de manipulation

du comportement et se servaient d’armes électromagnétiques,

micro-ondes ou chimiques.

L’une des associations avec qui ils travaillaient, qui les

fournissaient en chair fraîche, était une association

humanitaire - en fait une « couverture » de la Navy Intelligence

Organisation qui leur permettait de tester sur d’immenses

zones géographiques des quantités d’humains.

« Pour vous donner un exemple d’expérience, nous dit Barrie

Trower, je sais qu’une de leurs sous-rubriques concernait

l’exposition de femmes enceintes à des microondes. Ils ont

découvert qu’ils pouvaient provoquer une augmentation de

57,7 % des fausses couches, et ce n’est qu’une de leurs

expériences. Ce qu’ils faisaient en réalité était tuer 57 % des

enfants. Ils combinaient des micro-ondes, ou ondes

électromagnétiques, avec du LSD sur des enfants de quatre

ans... Ils menaient des expériences sur les gens, les faisaient

souffrir autant qu’ils le voulaient et souvent mourir. Peu

importe si les personnes finissaient dans des cages en métal,

ou des tombeaux de pierre. Comme je vous l’ai dit, toutes les

limites ont été franchies, car il n’y a rien de plus bas que de

s’attaquer à un utérus ou à un enfant. Vous ne pouvez pas

tomber beaucoup plus bas, et c’est ce qu’ils faisaient[264]. » Les

preuves de toutes ces pratiques et tous ces programmes

secrets, MK-Ultra, Bluebird, Artichoke, Pandora, MK Chaos,

MK Delta, Sleeping beauty... les correspondances entre

Estabrooks et J. Edgar Hoover et d’autres documents de

l’armée américaine, ont été obtenus en vertu du Freedom of

Information Act, et compilés par le Dr Colin A. Ross dans les

annexes d’un document du même nom « Bluebird[265] - Création

délibérée de multiples personnalités par des psychiatres », que

je vous invite à compulser[266] si vous avez du mal à croire ce

dont ces gens sont capables.

Le pire de ces programmes est certainement « Monarch »,

dont plusieurs rescapés ont fini par parler. Arizona Wilder[267],

dont le programmeur était Joseph Mengele Dr Green) de

sinistre mémoire, qui a été élevée et traumatisée dès son plus

jeune âge à des fins de contrôle mental et qui raconte tout ce

qu’elle a subi et vu étant enfant et Cathy O’Brien, qui a écrit

plusieurs livres, dont

[268]

, avec son

sauveur Mark Phillips, sur sa terrible expérience.

D’après l’un des premiers lanceurs d’alerte dénonçant ces

programmes de la CIA, Fritz Springmeier, qui a travaillé avec

un ex-programmeur, Cisco Wheeler, les garçons sont entraînés

pour devenir des assassins, des super-soldats ou des tueurs,

de parfaits , les filles des esclaves

sexuelles pour les grands de ce monde. Ted Gunderson, exdirecteur du FBI de Los Angeles, a organisé des séminaires

(alias

Trance Formation of America

Manchurian Candidates

avec Brice Taylor, une autre survivante de ces programmes de

contrôle mental qui a écrit le livre

Springmeier est on ne peut plus clair sur ce qui se passe : «

Oui, c’est vrai que la NSA peut suivre à distance les gens s’ils

connaissent les ondes EMF spécifiques du champ bioélectrique

d’une personne. Les émissions de chaque personne sont

uniques, tout comme ses empreintes digitales, palmaires et

vocales. Cela signifie que la NSA peut suivre quelqu’un en

public. Et, oui, c’est vrai que leur système peut envoyer à

distance des signaux de stimulation au cerveau, qui créent des

images visuelles, des messages auditifs subliminaux, ce qui

semble être des sons audibles et des pensées dans l’esprit des

gens. Oui, c’est vrai qu’ils ont des séries d’implants pour

contrôler et suivre les corps et les esprits des gens ciblés. Oui,

c’est vrai qu’ils ont les empreintes vocales de centaines de

milliers d’Américains et peuvent identifier et suivre leurs

ordinateurs toutes les communications électroniques de ce

pays. La plupart des appels passent par environ trente

ordinateurs avant d’atteindre leur destination[269]. »

Rien qui puisse nous rassurer en tout cas sur ce qu’ils

peuvent être en train de nous faire en ce moment.

Nombreux sont ceux qui pensent, comme le Dr Rauni-Leena

Luukanen-Kilde, que les tueries dans les écoles, par exemple,

sont des cas typiques de et de personnes

programmées pour tuer des gens avant de se tuer elles-mêmes.

Les voisins dépeignent alors une personnalité quelconque : « je

le croisais souvent, il avait l’air normal, disait bonjour... on ne

lui connaissait pas d’amis... d’un naturel renfermé... la famille

ne comprend pas, cela ne lui ressemble pas du tout » et...

Merci pour les souvenirs : Les

Mémoires de Bob Hope et l'esclave à l'esprit contrôlé d'Henry

Kissinger.

via

mind control

l’affaire s’arrête là. « Et le combat cessa faute de combattant ! »,

disait Corneille. C’est le Des individus

programmés, qu’on laisse « dormants » pendant des mois et

réactivés le moment voulu d’un mot, d’un signal... En réalité,

c’est toujours pour des raisons politiques. Les tueries en

Finlande ont été provoquées, assure-t-elle, parce que c’était le

seul pays où la population était contre la limitation des armes

à feu...

Au Népal, le roi, la reine, deux de leurs enfants, onze

personnes en tout de la famille, ont été tuées par le prince

héritier Dipendra qui a retourné l’arme contre lui... Seul son

oncle Gyanendra qui, exceptionnellement, n’était pas à la

réunion de famille ce jour-là, fut épargné... et couronné roi. On

a prétexté une querelle de famille, mais le roi hypernationaliste

contrecarrait la stratégie géopolitique de l’Inde et des ÉtatsUnis, qui voient le contrôle du Népal comme un pion de plus

dans l’encerclement de la Chine...

D’autres documents déclassifiés de la CIA et les enquêtes

menées par les principaux journaux américains ont révélé que

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