«Avant 2018, la technologie mettra à la disposition des
des nations majeures, des techniques pour conduire des
guerres secrètes, dont seulement un minimum des forces de
sécurité aura besoin d’être au courant. Une nation peut
attaquer une nation concurrente secrètement par des moyens
bactériologiques, affaiblissant entièrement la population avant
d’en prendre le contrôle avec ses forces armées. Ou bien, des
techniques de modification du climat pourraient être employées
pour produire des périodes prolongées de sécheresse ou
d’orage, affaiblissant ainsi les capacités d’une nation et la
forçant ainsi à accepter les demandes de sa rivale. »
En cet été 2014, et depuis des mois, pendant que les
banquiers nous étranglent, que les lois européennes ruinent
nos entreprises, le climat est pourri au-dessus de la France, les
vignobles sont détruits par la grêle, les cultures noyées sous
des pluies diluviennes qui font en plus fuir les touristes... rien
n’est fait pour aider à stabiliser la balance économique, et tout
semble creuser la dette déjà abyssale qu’on nous a collée sur le
dos. Et le ciel ne soulève presque plus son couvercle gris...
leaders
LA GÉO-INGÉNIERIE
L'homme n'a pas tissé la toile de la vie, il n'est qu’un fil
de tissu.
Tout ce qu'il fait à la toile, il le fait à lui-même.
SEATTLE, chef indien Suquamish
Tout commença vraiment après 1946 et la découverte par le Dr
Vincent J. Schaeffer de General Electric : déverser de l’iodure
d’argent dans les nuages déclenche des précipitations. Depuis,
des milliers d’expériences ont été réalisées par les militaires de
tous les grands pays et l’on a fini par lui donner un nom : la
géo-ingénierie.
Elle regroupe toutes les technologies qui ont pour but de
modifier volontairement le climat de la Terre, notamment
l’injection de particules de sulfate dans la stratosphère pour
réfléchir les rayons solaires, le déversement de particules de fer
dans les océans pour favoriser l’absorption du C02 par le
plancton, la pulvérisation d’iodure d’argent dans les nuages
pour déclencher des pluies et la modification génétique des
cultures végétales pour que leur feuillage reflète davantage les
rayons solaires.
Officiellement, ce n’est encore qu’un projet que l’on nous
vend pour endiguer le réchauffement climatique, la destruction
de la couche d’ozone et toutes les catastrophes climatiques qui
en découlent : la fonte de la banquise et les pires sécheresses,
les tremblements de terre et les tsunamis qui enfouissent sous
les eaux des pans entiers de pays.
Mais il suffit de regarder le ciel et les résultats d’analyses des
sols pour savoir que c’est une réalité.
David Keith, physicien à l’Université de Calgary et grand
maître de la géo-ingénierie, décrit celle-ci comme étant « une
solution opportune qui utilise des moyens technologiques
additionnels afin de contrer des effets indésirables sans en
éliminer les causes sous-jacentes ». Ce qui, en clair, veut dire
se servir de technologies nouvelles dont on ne connaît pas les
conséquences sur les populations et la planète pour tenter de
réparer les dégâts causés par l’usage des technologies
anciennes issues de la révolution industrielle et de l’ère des
combustibles fossiles (dont on a ignoré les effets indésirables,
lesquels nous ont menés aux problèmes actuels...).
Il est certain que quand on le voit expliquer, excité comme un
dément possédé : « Cette technologie nous donnera une
gigantesque influence sur la planète. Une fois que vous savez
comment mettre de l’aérosol dans la stratosphère à un coût
incroyablement bas, ça vous permet de manipuler entièrement
le climat de la planète, ce qui donne à l’être humain un énorme
pouvoir, pareil à celui de Dieu[112] », c’est plutôt effrayant de
réaliser que le monde est dans les mains de ces gens-là.
Et c’est sans surprise qu’on retrouve parmi les sociétés les
plus engagées dans le déploiement de la géo-ingénierie les
mêmes cartels chimiques, énergétiques et financiers
responsables de cette situation. Et l’on se demande : est-ce que
le réchauffement climatique est réel ou simplement, comme les
fausses pandémies, un réservoir de dollars ? Est-ce un prétexte
pour nous faire avaler la nécessité d’avoir recours à la géoingénierie dans un but caché ? Est-ce que le « remède » ne
serait pas mille fois pire que le mal ? La version officielle parle
de « mesures désespérées pour une époque désespérée » ; mais
comme le fait remarquer Simon Terry du Sustainability Council
de Nouvelle-Zélande, « la géo-ingénierie considère nos
écosystèmes comme des ressources qui doivent être optimisées
ou réparées plutôt que comme des systèmes qui doivent être
protégés et restaurés[113] ».
Et la Convention-cadre des Nations unies sur les
changements climatiques (CCNUCC) qui a eu lieu à
Copenhague, en décembre 2009, était présentée comme la
dernière chance de conclure un accord qui permettrait des
réductions significatives des émissions de GES au-delà de
.
Depuis, il y a eu les réunions de la CCNUCC au Mexique en
2010, en Afrique du Sud en 2011, à Doha en 2012, à Tunis en
2013 et à Bonn en 2014, sans que l’on ne parvienne à un
accord ; et pour cause : les gouvernements des pays riches
n’ayant aucune envie de se mettre l’industrie à dos. Au
contraire, le Carbon Club (Japon, États-Unis, Canada,
Australie, Nouvelle-Zélande) demande l’abandon du protocole
de Kyoto et - il faut vraiment avoir tous les culots - l’adoption
du principe selon lequel tous les pays assumeraient la même
responsabilité vis-à-vis de l’addition climatique, même si elle
est, avant tout, le fait des pays riches. Un peu comme les
milliards de fonds publics payés par vous et moi, distribués à
la même époque par les gouvernements pour sauver les
banques pendant que plus d’un milliard de personnes sombrait
dans la famine ou se retrouvait à la rue ! L’idée semble avoir
été abandonnée à Bonn. Mais je ne crois pas qu’il faille y voir le
moindre altruisme.
Au contraire, c’est plutôt une nouvelle « carotte » qui, cette
fois, les motive vraiment : le fameux MDP (mécanisme de
développement propre) qui permet aux gros pollueurs du Nord
d’acheter et de spéculer sur les « crédits d’émission » si chers à
Al Gore et qui, paraît-il, contribueraient au développement «
2012
propre » dans le Sud. Ce sont des foutaises, comme on s’en
doute. Tout cela n’aide en rien à réduire les émissions, au
contraire, le MPD leur permet de continuer à polluer, aggravant
encore « la crise climatique » et permettant à de plus en plus de
GES d’envahir l’atmosphère.
James Fleming, le principal historien du changement
climatique, a d’ailleurs souligné avec ironie que le premier
rapport officiel à voir le jour sur les mesures à prendre afin de
réagir aux changements climatiques « omettait de mentionner
la solution la plus évidente : réduire l’utilisation des
combustibles fossiles[114] ». Et quid de l’électricité gratuite de
Tesla, du moteur à eau, de l’énergie solaire ?
Il est évident nous baladent le temps de faire leur
beurre, en toute tranquillité, comme ils l’ont toujours fait
d’ailleurs, mais bon... on n’attrape pas les mouches avec du
vinaigre. C’est sûr que s’ils nous disent demain : « Ce weekend, vaste expérimentation grandeur nature avec épandage du
bacille de la peste. Sortez nombreux ! », leur test risquerait
d’être un peu raté !
Ce qui, par déduction, prouve que ce qu’ils font n’est pas
pour notre bien, ce que l’on peut constater tous les jours :
Imaginez combien il a fallu de milliers de tonnes de sulfate
déversés sur nos têtes pour que le pH des sols ait changé, que
la cime des arbres centenaires se rabougrisse et que l’écorce
tombe, que les abeilles, les papillons et les insectes ne soient
bientôt plus que des images dans les dictionnaires, que le ciel
soit plombé continuellement ! Vous comprendrez pourquoi les
problèmes respiratoires et d'allergies en tous genres sont aussi
répandus. Selon une dépêche AFP publiée le lundi 24 mars
2014, la pollution de l’air a tué 7 millions de personnes en
qu’ils
2012 dans le monde. Les problèmes respiratoires sont passés
de la 8e à la 3e cause de décès dans le monde en à peine cinq
ans - un décès sur huit, soit 12,5 % des décès à l’échelle
mondiale[115].
« La pollution de l’air est clairement devenue le principal
risque environnemental de santé dans le monde », a déclaré le
Dr Maria Neira, directrice du département santé publique à
l’OMS (Organisation mondiale de la santé) ; ajoutant que « les
risques dus à la pollution de l’air sont désormais plus
importants qu’on ne le pensait, en particulier en ce qui
concerne les cardiopathies et les accidents vasculaires
cérébraux. Peu de risques ont un impact supérieur sur la santé
mondiale à l’heure actuelle que la pollution de l’air. »
Et, selon le groupe d’action canadien ETC (Érosion,
technologie et concentration), la géo-ingénierie « est seulement
la phase une d’un plan beaucoup plus vaste qui pourrait avoir
des conséquences dévastatrices, avec des changements
climatiques énormes tels que des sécheresses mortelles » pour
des millions de gens.
Mais si le terme « géo-ingénierie » fait maintenant partie des
dictionnaires, les techniques auxquelles il fait référence restent
tabou ! Niées depuis toujours par nos classes dirigeantes,
totalement occultées par les « grands » médias. Il faut dire que
notre presse libre est exemplaire, elle se censure toute seule !
Et quand les spécialistes les plus connus - Sylvestre Huet de
et Stéphane Foucart
[116] du - veulent bien en
parler, c’est uniquement comme d’un « plan B » existant à l’état
de projet sur le papier ou de simulations en laboratoires,
comme le présentent les communications officielles. À croire
qu’ils ne regardent jamais le ciel ! Il n’est pourtant plus
contestable (ni contesté d’ailleurs) après la déclassification des
Libération Monde
documents militaires par les autorités américaines, que des
épandages ont lieu depuis des décennies. Pourquoi les
climatologues et les météorologues se taisent-ils ?
Le plus cocasse, c’est que le cinquième rapport (AR5) de
l’IPCC[117], qui nie les épandages, avertit les décideurs que «
malgré les effets secondaires mondiaux et les conséquences à
long terme, les techniques de géo-ingénierie comprenant la
gestion des radiations solaires (SRM) devraient être
maintenues. » « Si le SRM s’arrêtait pour une raison
quelconque, il est probable que les températures à la surface
du globe s’élèveraient très rapidement pour atteindre des
valeurs entraînant le renforcement des gaz à effet de serre. » Il
faudrait savoir !
Rebelote au chapitre 7, le GIEC déclare : « Les méthodes SRM
sont non implémentées et non testées », niant ainsi que de tels
programmes existent... avant d’admettre un peu plus loin
qu’un certain nombre d’expériences sur le terrain ont eu lieu
depuis AR4. « L’un des programmes répertoriés, l’Expérience de
transport chimique intercontinental, couvrait l’hémisphère
nord, mesurant les aérosols originaires d’Asie et traversant le
Pacifique puis l’Amérique du Nord, à travers l’océan Atlantique
et l’Europe. Dirigés par International global atmospheric
chemistry project, ces vols eurent lieu en 2004 et 2006, et
auraient été au nombre de moins de quatre douzaines. »
Une autre expérience, le European Integrated project on
Aérosol Cloud Climate and Air Quality interactions (EUCAARI),
a démarré en janvier 2007 et pris fin en décembre 2010, et
comprenait l’Afrique.
Il faudrait peut-être changer les « experts » parce que, même
si très peu d’entre eux (une petite quarantaine sur deux mille)
sont des climatologues, ils n’ont pas l’air d’avoir « tout dans
l’ordre » !
Néanmoins, pour Dane Wigington : « Alors que l’ensemble de
la communauté académique continue à prétendre ne pas
connaître la réalité de l’existence mondiale de la géo-ingénierie,
le simple fait qu’ils en discutent dans le dernier rapport de
l’IPCC, indique que le voile est en train de se lever. »
LE VOYAGE EN BALLON
Nous oublions souvent qu’au-delà de nos titres et de nos
positions hiérarchiques, au-delà même de notre savoir et
de notre pouvoir, nous sommes des hommes embarqués
ensemble dans une même aventure et sur le même
bateau.
Pr Alexandre MINKOWSKI
Un juif pas très catholique (1980)
Une info du journal [118], en juillet 2012, rapporte
que Bill Gates, l’infatigable bienfaiteur de l’humanité, obsédé
par les vaccinations en masse des petits Africains — alors que
ceux-ci meurent surtout de faim —, vient d’initier et de
financer un énorme projet avec l’Université d’Harvard.
Un gros ballon flottant à 25 000 mètres au-dessus de Fort
Sumner, au Nouveau-Mexique, a été conçu pour lâcher des
tonnes de produits chimiques sulfurés dans l’atmosphère. Le
but présenté est de reproduire les effets d’une éruption
volcanique qui, en rejetant des sulfates dans l’atmosphère,
bloque les rayons du soleil. Ces particules toxiques, en
reflétant le rayonnement solaire dans la haute atmosphère,
refroidiraient la planète. C’est Paul Crutzen, professeur à
l’Institut Max-Planck de recherche sur les polymères à Mainz,
en Allemagne, prix Nobel pour ses travaux sur la couche
d’ozone, qui avait suggéré dans un article de la revue
, en août 2006, que des ballons lancés à haute altitude
ou bien des canons d’artillerie soient utilisés pour pulvériser
des particules. Il estimait le coût de cette opération entre 25 et
50 milliards de dollars par année, « mentionnant cependant
The Guardian
Climatic
Change
que ses estimations n’incluent pas les coûts humains
engendrés par les décès prématurés découlant de la pollution
causée par les particules. En effet, ce type de minuscules
particules réfléchissantes peut rester en suspension dans l’air
pendant deux ans. Crutzen a reconnu volontiers que sa
proposition comportait des risques et a insisté pour dire que
cette mesure ne devrait être prise qu’en dernier recours[119]. »
David Keith est l’un des deux ingénieurs ayant initié le projet
financé par Bill Gates. On dit que les grands esprits se
rencontrent... les tordus aussi ! En inconditionnel des
pulvérisations de sulfate - il n’avait pas encore essayé les
ballons -, il soutient que cela devrait permettre de mesurer en
direct comment la couche d’ozone peut être altérée par des
pulvérisations à plus grande échelle.
Mais, outre les dommages irrémédiables infligés aux
écosystèmes à travers le monde, il existe « un risque potentiel
d’endommager davantage la couche d’ozone, et la perturbation
des précipitations, en particulier dans les régions tropicales et
subtropicales, menaçant potentiellement l’approvisionnement
alimentaire de milliards d’êtres humains », prévient Pat
Mooney, directeur exécutif de l’ETC Group, un groupement
canadien de défense de l’environnement. « Les conséquences
pourraient être dévastatrices pour les pauvres du tiers-monde
», renchérit Alan Robock, météorologiste à l’Université Rutgers,
dont les études indiquent que les nuages de sulfate
affaibliraient le phénomène des moussons en Asie et en
Afrique, réduisant la pluie qui irrigue les cultures. Si la terre se
refroidit, les océans aussi, il y a donc moins d’évaporation,
donc moins de nuages et moins de pluie ! Alan Robock, lui,
n’est absolument pas d’accord avec les risques que David Keith
fait prendre à l’humanité, et pense qu’il est plus prudent de
s’en tenir à des simulations virtuelles.
Selon ces scientifiques, la géo-ingénierie solaire pourrait
donc, en plus, augmenter les risques de conflits internationaux
liés au climat, sans pour autant faire baisser les niveaux de gaz
à effet de serre dans l’atmosphère ni stopper l’acidification des
océans.
Naomi Klein partage son inquiétude à propos de la géoingénierie dans un article paru le 27 octobre 2012 dans
: « Si nous commençons à bricoler le
thermostat de la terre - à délibérément obscurcir le vert de nos
océans pour absorber le carbone, et à blanchir les nuages pour
rejeter davantage de rayons lumineux - nous élevons notre
influence à un nouveau niveau. Une sécheresse en Inde sera
vue - que ce soit vrai ou non - comme la conséquence d’une
décision délibérée d’ingénieurs prise de l’autre côté de la
planète. Ce qui était autrefois de la malchance pourrait devenir
un complot malveillant ou une attaque impérialiste. »
Sans oublier un petit détail, qui nous intéresse tous : en
empêchant les rayons UV-B d’atteindre le sol, l’ozone protège
tous les êtres vivants présents à la surface de la Terre. En effet,
ces rayons ont un effet néfaste sur tous les organismes vivants,
terrestres et aquatiques, car ils altèrent l’ADN des cellules.
Chez l’homme, un accroissement du rayonnement UV-B
augmente les risques de cancer de la peau, de cataractes et
affaiblit le système immunitaire.
Mais Bill Gates, après avoir sauvé les petits Africains en les
contaminant à coups de vaccins, s’est trouvé une autre mission
: celle de « sauver la planète » en la polluant avec des particules
toxiques. Il faut dire que pour lui, et il ne s’en cache pas,
sauver la planète consiste à la débarrasser des deux tiers de
The
New York Times
ses habitants !
D’ailleurs l’EPA (Agence de Protection de l’Environnement)
prévient que pulvériser ces particules de dioxyde de soufre
dans le ciel est non seulement dangereux pour le système
respiratoire humain et animal, mais aussi pour les sources
d’eau, les sols, les cultures et, selon Paul Joseph Watson,
rédacteur de PrisonPlanet[120], ces épandages « pourraient
entraîner bien plus vite la mort de la planète que le
réchauffement global ne pourrait jamais le faire ». Et c’est bien
pour cela qu’on nous le cache !
On sait déjà que les particules sulfurées provenant des pluies
acides nuisent à la vie aquatique des rivières et des lacs
qu’elles contaminent, augmentant la mortalité des poissons[121].
Un rapport de l’Université de Washington accuse également ces
particules de contribuer aux pluies acides, d’endommager les
arbres, d’accélérer la décrépitude des monuments et même
d’être le principal coupable dans la création de la brume qui
occulte la vue jusque-là dégagée du Grand Canyon. Mais les
effets sur notre santé seraient aussi dévastateurs : troubles
neurologiques et changements de comportement, problèmes
cardiaques, troubles de la vue, désordre gastro-intestinal,
baisse de l’ouïe, dommages au foie et aux reins,
dysfonctionnement des organes de reproduction, embolies
pulmonaires, dommages aux vaisseaux du cerveau,
dérangement du métabolisme hormonal... De plus, bloquer le
soleil avec des particules réfléchissantes nous prive de
l’exposition naturelle au rayonnement solaire, qui est
nécessaire à la métabolisation naturelle de vitamine D dans le
corps humain.
Mais ce n’est pas ce qui va arrêter Bill le Magnifique, en
bonne place parmi les prédateurs que l’on retrouve dans tous
les coups fourrés susceptibles de provoquer toutes sortes de
problèmes potentiellement irréversibles pour le genre humain
et la planète.
Toujours selon
[122] un petit groupe de
scientifiques spécialistes du climat, soutenus financièrement
par des milliardaires, dont Bill Gates (comme on vient de le
voir), Richard Branson (au travers de sa fondation Carbon War
Room), Murray Edwards (le magnat canadien qui transforme
les sables bitumineux en pétrole brut) et Niklas Zennström, cofondateur de Skype, font du auprès des
gouvernements pour soutenir des expériences de
manipulations climatiques à l’échelle mondiale, prétendument
pour éviter des modifications climatiques catastrophiques.
La méthode est toujours la même quel que soit le domaine :
semer la peur, sortir l’antidote et rafler la mise ! Sauf que l’on
n’a jamais vu autant de catastrophes que depuis qu’ils
prétendent gérer le changement climatique !
Ces scientifiques, adeptes des méthodes de pulvérisation de
millions de tonnes de particules de dioxyde de soufre audessus de la Terre, argu-mentent qu’un « plan B » est nécessaire
au cas où les Nations unies et les politiciens ne pourraient se
mettre d’accord sur les baisses nécessaires d’émissions de gaz
à effets de serre. Ils sont pourtant bien placés pour savoir qu’il
n’y a aucune chance d’arriver à un accord puisque les
industriels n’en veulent pas et que les gouvernants dépendent
d’eux pour leur argent de poche. D’ailleurs, l’Amérique, premier
pollueur de la planète, à la pointe de la géo-ingénierie, n’a
jamais ratifié le protocole de Kyoto... Cherchez l’erreur, ou
plutôt : suivez le !
The Guardian
lobbying
business
Dane Wigington avec qui j’échangeais un soir avec inquiétude
me disait : « Il y a ceux à qui on dit, et qui le croient, que ce
qu’ils font est un mal nécessaire pour sauver le système
climatique et ralentir l’augmentation des gaz à effet de serre, et
puis ceux d’en haut, qui ont une vue globale, et il ne fait aucun
doute qu’ils savent quel cataclysme planétaire la géo-ingénierie
est en train de produire. Mais ce noyau de dirigeants mondiaux
ont leur propre programme. Ils essaient de cacher la véritable
ampleur du phénomène de réchauffement, qui est déclenché
depuis longtemps par les agissements frénétiques des
industriels et des militaires. La géo-ingénierie ne fait
qu’empirer une situation déjà très mauvaise. C’est la mentalité
de ceux qui tiennent les rênes [...] Si tu te souviens de la marée
noire de BP dans le golfe du Mexique en 2010, ils ont choisi de
se servir d’un produit chimique, le , qui d’après le
rapport de l’EIR a rendu le golfe
cinquante-deux fois plus toxique pour les animaux, les
humains et les écosystèmes [...] le Gulf Stream interrompu qui
influence le climat de la planète entière... mais il permettait de
cacher l’ampleur du désastre. En plus d’essayer de masquer
l’implosion irréversible de tous les systèmes gardiens de la vie
sur Terre, il y a des tests biologiques bien plus définitifs en
cours avec des exemples constants de guerre climatique
continue. »
Corexit
(Environmental Impact Report)
LES APPRENTIS SORCIERS
Là où l’argent est la mesure de toutes les valeurs, Il ne
sera jamais possible de mener une politique de justice et
de bonheur.
Thomas MORE
(Grand chancelier d’Angleterre sous Henry VIII)
S’il est dorénavant politiquement correct de parler de la géoingénierie comme d’une solution légitime aux changements
climatiques - ce qui, remarque est un
revirement majeur - « l’inquiétude grandit devant ce petit
groupe de scientifiques et leurs bailleurs » qui font la pluie et le
beau temps, au sens propre comme au sens figuré, sur toutes
les décisions importantes qui touchent à la recherche et à la
législation dans ce domaine.
Les professeurs David Keith de l’Université de Harvard et Ken
Caldeira de l’Université de Stanford sont les deux plus fervents
défenseurs des recherches de géo-ingénierie pour entourer la
terre d’un bouclier réfléchissant, comme le préconisait Teller.
Ils ont, pour l’instant, reçu 4,6 millions de dollars de la part de
Bill Gates pour diriger le « Fund for innovative Climate and
energy Research » (Fonds pour un climat innovateur et la
recherche sur l’énergie ou FICER).
Keith est aussi le président et l’actionnaire majoritaire de la
société Carbon Engineering dans laquelle Gates et Edwards ont
de gros intérêts. Caldeira, lui, reçoit 375 000 dollars par an de
Gates, détient un brevet de capture de carbone et travaille pour
Intellectual Ventures, une compagnie privée de recherche sur
la géo-ingénierie appartenant en partie à Gates et dirigée par
The New York Times
Nathan Myhrvold, ancien directeur de la technologie de
Microsoft. Les deux scientifiques sont aussi propriétaires, grâce
aux largesses de Bill, de trois importantes revues qui
recommandent la géo-ingénierie à grande échelle et contrôlent
le panel d’experts qui en écrivent les rapports.
Phil Rash, grand expert en climatologie du Pacific Northwest
National Laboratory - l’un des dix instituts de recherche
financés par le département de l’Énergie des États-Unis -, a
aussi reçu 600 000 dollars pendant qu’il rédigeait le rapport de
2009 sur la géo-ingénierie, et était membre du panel d’experts
qui a rédigé le rapport de 2011. Il a témoigné devant le Congrès
américain de la nécessité pour le gouvernement de financer
cette méthode afin de la répandre un maximum. L’analyse de
huit enquêtes nationales et internationales sur la géoingénierie ces trois dernières années montre que Keith et
Caldeira, Rash et le professeur Granger Morgan, chef du
département de génie et de politiques publiques de l’Université
Carnegie-Mellon, ont siégé dans sept comités dont un organisé
par les Nations unies.
Comme le souligne Diana Bronson du Comité de vigilance
sur la géo-ingénierie d’ETC basé à Montréal : « Il s’agit
clairement de conflits d’intérêts entre un grand nombre de
personnes impliquées dans le débat. Ce qui est inquiétant, c’est
que le même petit groupe de gens travaillant sur des
technologies à hauts risques pour la planète essaie aussi de
manœuvrer la discussion autour des lois et des règlements
internationaux. On ne peut pas demander à un renard de
garder le poulailler. » Chez ces gens-là, c’est pourtant une
habitude ! « Cette clique couvre chaque enquête sur le sujet, ils
sont présents dans pratiquement toutes les délibérations
d’experts. Ils sont les conseillers des parlementaires et
membres du Congrès, et dominent les délibérations de l’IPCC
[que Greenpeace disait être au-dessus de tout soupçon !] »,
accuse Clive Hamilton, professeur d’éthique publique à
l’Université nationale d’Australie[123].
Encore et toujours le fric... et le même petit groupe de
puissants.
Quand on sait que Bill Gates est membre du très secret «
Billionnaire’s Club » (le Club des milliardaires) auquel, d’après
le , appartiennent aussi David Rockefeller, Oprah
Winfrey, Warren Buffett, George Soros et Michael Bloomberg, et
que leur préoccupation première est la menace causée par la
surpopulation[124], c’est quand même inquiétant ! On est obligé
de penser que l’argent n’est peut-être pas la seule motivation
de ces « grands bienfaiteurs de l’Humanité », qui déclarent
ouvertement convoiter le pouvoir de Dieu ! Après tout, causer
des sécheresses pouvant faire mourir de faim des millions de
pauvres gens serait faire d’une pierre deux coups ! Et en rendre
malades quelques millions d’autres ne pourrait pas faire de mal
aux sociétés pharmaceutiques dont ils sont actionnaires !
London Times
[125]
Documentaire d’Edward Griffin,
Michael J. Murphy, Paul Wittenberger
Aux États-Unis, les journalistes ne s’embarrassent pas
d’euphémismes et nombreux sont les présentateurs sur des
chaînes de télé américaines comme par exemple KSLA, News
10 ou FOX31, qui annoncent: «Est-ce que la substance trouvée
par cet homme de l’Arkansas pourrait provenir d’une
expérience gouvernementale ? C’est la question que l’on se pose
autour d’un phénomène nommé chemtrails », « Ils disent que le
gouvernement déverse des substances chimiques sur nous
pour contrôler ou manipuler le climat... » Ou bien : « certains
climatologues qui étudient l’atmosphère voient un complot
inquiétant de la part des autorités... »
Un présentateur météo d’une chaîne de Californie du Nord
commente : « Ce n’est pas de la neige, ce n’est pas de la pluie.
Croyez-le ou non, des avions militaires survolent la région et
lâchent de petites particules d’aluminium appelées [...]
Ils s’en servent comme antiradars. Les autorités ne le
confirment pas, mais j’ai été plusieurs années dans le Corps
des Marines et je vous le dis tout de go, c’est bien d’épandages
dont il s’agit ! »
Un autre explique que « des avions militaires venant de la
base aéronavale de Key West s’élancent dans l’atmosphère et
larguent des traînées d’un mile ou plus de petites fibres de
verre recouvertes d’aluminium. »
Un troisième, montrant la carte du ciel derrière lui, déclare : «
QU’EST-CE QU’ILS ÉPANDENT ?
What in the world are they spraying ?
y
chaffs
Quand vous voyez ce genre de nuages aux formes bizarres,
vous pouvez être sûrs qu’il se passe quelque chose ! »
Tout a commencé à la conférence de l’Association américaine
pour le progrès scientifique, à San Diego, en 2010, où des
milliers de scientifiques, d’ingénieurs et de journalistes se sont
retrouvés et où l’un des principaux sujets de débat était : « La
manipulation artificielle du climat de la terre » (ou géoingénierie). Si les scientifiques ont largement confirmé le projet
d’épandages de produits chimiques dans le ciel pour combattre
le réchauffement planétaire, tous ont démenti que de tels
programmes aient été mis en œuvre. Bizarrement, les
programmes décrits dans leurs études sont exactement ce à
quoi tant de gens, de par le monde, se plaignent d’assister !
Le journaliste Stewart Howe[126], qui a écouté attentivement
ce que tous ces scientifiques avaient à dire, nous rapporte les
explications de David Keith : « L’aluminium a, comparé au
soufre, quatre fois le taux volumétrique de forçage des petites
particules, ce qui veut dire quatre fois plus de surface pour le
même albédo[127] artificiel et un taux de coagulation seize fois
moindre, et c’est ce qui provoque l’élimination et permettrait de
travailler avec des masses réduites. »
David Keith prend bien soin d’employer le conditionnel ; mais
pourquoi retrouve-t-on alors de l’aluminium partout dans le
monde dans les échantillons de sols et d’eaux de surface ? Il
affirme que l’on peut créer très simplement des nanoparticules
d’aluminium, modifier les avions qui existent, et que pour
n’importe quelle société de géo-ingénierie, cette technique qui
consiste à envoyer des matériaux par aérosol dans la
stratosphère est facile à mettre en œuvre et extrêmement bon
marché. Bref, que des avantages ! La seule décision délicate
serait l’évaluation des risques ! Il insiste d’ailleurs, de façon
très suspecte, sur le fait qu’il faut continuer les recherches
parce que, « , ça semble trop facile, mais plus nous
allons creuser la question, plus nous allons vraisemblablement
trouver que c’est plus compliqué que nous ne le pensions et
que les effets secondaires sont difficiles à gérer ! »
Pour David Keith, continuer les recherches, on le sait, signifie
mener secrètement des programmes d’épandages en les faisant
passer le plus longtemps possible pour des essais, afin de ne
pas avoir à avec les réactions des populations aspergées
de poisons ! Et la vérité qui transparaît serait plutôt qu’ils ont
commencé depuis longtemps à épandre et qu’ils s’aperçoivent
de plus en plus que les effets secondaires sont bien plus graves
et compliqués à gérer qu’ils ne l’espéraient !
La question qui revient toujours, c’est : « Mais si tout cela est
vrai, ils sont eux aussi sous les pulvérisations, non ? » Oui
mais, eux, ils pensent que tout ce qui est une entrave au profit
doit être changé, détruit, comme ils l’ont fait dans l’agriculture
ou la santé, et que c’est à l’humain de s’adapter... C’est
d’ailleurs le sens de la réponse sidérante de David Keith : « Et,
au fait, ce n’est pas vraiment un risque moral, c’est plutôt un
voyage gratuit sur le dos de nos petits enfants ! » Combien
d’humains en sont à un tel degré d’infirmité affective qu’ils
pourraient envisager tranquillement de prendre des paris aussi
terribles sur la vie de leurs enfants ?
Puis, comme après chaque conférence, vient le tour des
questions :
Dane Wigington[128] : ―Certains cercles d’étude, notamment le
Comité des ressources de l’air de Californie, ont parlé de
particules inférieures au micron comme étant particulièrement
dangereuses pour le système respiratoire humain. Dans
a priori
dealer
aucune des discussions aujourd’hui, je n’ai entendu
mentionner ces retombées... Est-ce que cela a été étudié ? Ainsi
que les effets de ces matériaux hautement réactifs comme
l’aluminium sur la toxicité des sols et des eaux ?
David Keith : ―Mes collaborateurs travaillant sur les
aérosols, des gens de Carnegie-Mellon, se sont focalisés sur
l’impact sur la santé humaine et, si nous ne l’avons pas publié,
c’est la première chose que nous ayons faite, le calcul de l’ordre
de grandeur, avec un crayon et une feuille, avec des experts de
l’impact sur la santé humaine, pour voir si cela pourrait être
un problème, l’aluminium et d’autres particules... »
Il rabâche et s’empêtre plusieurs fois pour nous convaincre
du message qu’il est là pour faire passer, à savoir qu’ils n’ont
absolument rien fait, sauf calculer avant tout les effets sur la
santé humaine, avec les meilleurs savants, les meilleurs
crayons et les meilleurs papiers... Et devinez !
« Il y a beaucoup d’aspects toxicologiques qui doivent être
étudiés sérieusement, répond-il à Dane, mais il n’y a pas le
moindre risque du plus petit problème... »
Dane Wigington : ―Donc, pour être clair, dix mégatonnes
d’aluminium déversé dans l’atmosphère n’auraient aucun
impact sur la santé humaine ? »
David Keith : (après avoir pris une profonde respiration,
dégluti et remis son masque de faux-cul mal à l'aise)
Il faut que je fasse plus attention ici, et séparer la question
toxicologique... Pour l’aluminium, nous venons juste de
commencer les recherches, et nous n’avons rien publié...
[129]
Nous n’avons rien fait de sérieux sur l’aluminium et il pourrait
―
[Faux
! Il y a au moins un rapport de l'Air Force Research Laboratory
sur la toxicité des nanoparticules d'aluminium chez le rat .]
se passer quelque chose de terrible demain concernant quelque
chose que nous n’avons pas étudié ! » Mais comment cela
pourrait-il être possible si, comme il l’assure, la géo-ingénierie
n’existe que sur le papier ?
On dirait qu’il a comme des sueurs froides à la pensée du
moment où les gens vont se rendre compte de ce qu’ils ont fait !
C’est aussi la pensée de Dane, qui réalise tout à coup : « C’est
le point essentiel de ce qui va se révéler au public : les
dommages causés par l’aluminium que l’on va retrouver dans
le monde entier en quantités massives. »
Partout où les gens font des analyses, dans n’importe quel
pays, on retrouve de l’aluminium bien au-dessus des niveaux
normaux dans la pluie, les sols et la neige... Et il ne s’agit pas
d’une exposition légèrement supérieure à la normale, les
résultats prouvent que nous sommes submergés par des
niveaux d’aluminium et de particules qui sont des dizaines de
milliers de fois plus élevés que la dose considérée comme
critique.
Le mont Shasta, en Californie du Nord, où vit Dane, est un
havre écologique situé à des dizaines de kilomètres de la
première industrie, et qui comprend une source d’eau pure. Les
analyses qu’il a fait faire ont révélé 61000 parties par milliard
alors que la dose « normale » est de 1 000 selon le
gouvernement américain ; soit 61 fois au-dessus de la limite
gouvernementale.
Les niveaux de baryum et de strontium sont respectivement
de 83 et 383. Il raconte, dans le film
qu’il y a aussi sur sa propriété une mare alimentée
par un puits testé plusieurs fois par le passé, prouvant un taux
zéro d’aluminium en profondeur. Or, après des jours
What in the worldare they
spraying ?,
d’épandage, « un film s’est formé sur l’eau. Nous avons testé
cette croûte et trouvé 375000 parties par milliard d’aluminium
après un an et demi d’accumulation ; le niveau de baryum est
de 3 090, et de 345 pour le strontium ; quand le seul autre
moyen qu’a cette mare de se remplir est par l’eau de pluie [...]
Ces matériaux n’étaient pas là il y a cinq ans et si on part des
relevés régionaux, en cinq ans, les quantités ont grimpé jusqu’à
50000 %. »
Nous devrions avoir 2 parties par milliard d’aluminium dans
notre air ; à Phoenix, aux États-Unis, par exemple, des
analyses ont prouvé qu’il se trouvait dans l’air pas moins de
39000 parties par milliard d’aluminium... Partout en Californie,
au Lac Tahoe, autour de Sacramento, les arbres meurent,
positifs au titane et à l’aluminium. Ces produits détruisent les
racines et remontent dans l’écorce qui s’arrache toute seule.
Dans la Cité des Anges, le ciel n’est plus invariablement
turquoise et des pluies diluviennes emportent régulièrement les
maisons des milliardaires le long de Pacific Coast Highway, ou
les font glisser des collines de Coldwater Canyon...
Même le paradis qu’est Hawaï est en train de mourir. Le ciel
n’y est plus magnifiquement bleu, mais argenté. Les milliers
d’étoiles qui tapissaient les nuits se comptent maintenant sur
les doigts d’une main et l’écorce des cocotiers est atteinte.
Autour de moi, nous faisons le même constat dans nos
campagnes. Les arbres sont dégarnis au sommet et le bout des
branches ressemble à un moignon ; les légumes poussent
avant de voir leurs pieds noircir et leurs fruits tomber sans
mûrir. L’une des dernières scieries de la forêt de Rambouillet
vient de fermer. Sa propriétaire m’explique que les arbres
centenaires qu’ils abattent ne fournissent plus que quelques
planches parce qu’ils sont morts au cœur.
L’association ACSEIPICA vient de me faire part d’une analyse
réalisée en juillet 2013 par le Dr Tailliez, à Analytika[130], sur
des échantillons prélevés à plusieurs endroits en France. Ce
que l’on a appelé le « Rapport Dumas » se conclut en ces termes
:
Les « filaments atmosphériques » collectés dans le cadre de
cette enquête s'avèrent être constitués de polymères
organiques complexes, contenant des composants chimiques
de synthèse, comme le démontre notre dépistage GC/MS
systématique des produits prenant naissance au cours du
processus de décomposition thermique à 445 °C.
Parmi les composants détectés figurent de nombreuses
molécules couramment rencontrées dans la composition des
carburants et des lubrifiants de moteurs d'avion.
[...]
Les quatre échantillons de « filaments atmosphériques »
soumis à cette étude contiennent des composés aromatiques
toxiques (phtalates) et des composés hétérocycliques
préoccupants, et trois d'entre eux contiennent du DEHP, un
membre particulièrement préoccupant de la famille des
phtalates (par suite de ses propriétés de perturbateur
endocrinien).
Toutes les molécules organiques ainsi mises en évidence
dans la composition des « filaments atmosphériques »
analysés sont préoccupantes, autant sur le plan de la santé
publique que sur le plan de l'impact environnemental.
Compte tenu de l'ampleur mondiale croissante du trafic
aérien, si ces « filaments atmosphériques » résultent —
comme nous le pensons — de phénomènes de recombinaison
en altitude des rejets de réacteurs d'aviation, les résultats de
cette étude constituent -selon nous -une raison suffisante
pour informer le grand public de cette forme de pollution
atmosphérique, jusqu'à présent totalement ignorée de la
communauté scientifique.
Un second rapport d’analyse effectué par le même
laboratoire, sur des filaments prélevés par une autre adhérente
d’ACSEIPICA dans la région de Saint-Martin-de-Crau en
novembre 2013, tire la sonnette d’alarme sur la composition
des filaments aéroportés !
L’analyse confirme que ces filaments contiennent des
perturbateurs endocriniens et qu’il est urgent de mettre en
œuvre des moyens pour connaître l’ampleur des conséquences
sanitaires de ce phénomène !
Mais cela n’intéresse évidemment personne au ministère de
la Santé...
Francis Mangels[131] fait état d’une trentaine de rapports
révélant des niveaux dangereux d’aluminium et de baryum. Il
explique que si l’on veut un bon jardin, une belle forêt, il faut
que le pH de la terre se situe entre 6 et 6,5 ; or les sels
d’aluminium et de baryum, à de tels niveaux, dessèchent les
sols, rendent leur pH neutre, les écosystèmes sont détruits et
avec eux les milliards d’insectes nécessaires à la vie terrestre.
« C’est exactement ce qui est en train de se produire, explique
le Dr Lenny Thyme[132]. Quand on parle de métaux dans les
systèmes biologiques, il ne s’agit plus de l’aluminium grossier
auquel pensent les gens quand ils boivent une canette de soda.
C’est l’état de l’oxyde d’aluminium qui forme une plaque dans
vos artères et éteint la vie. Quand vous prenez des éléments qui
normalement ne sont pas présents dans cet environnement et
que vous commencez à les y introduire, ça déclenche le
drapeau rouge. L’aluminium est particulièrement mauvais pour
les systèmes biologiques : il se fixe à un endroit et ne le lâche
plus, jusqu’à le détruire.
Et comme vous accumulez de l’aluminium, avec le temps,
cela cause des dommages neurologiques majeurs. »
Et les humains en accumulent déjà de nombreuses sources :
à travers les vaccins, l’eau du robinet, dans notre nourriture...
le fait de vouloir nous en faire ingurgiter davantage en polluant
l’air que nous respirons, alors que les scientifiques du monde
entier mettent en cause la toxicité des métaux lourds - ou «
éléments traces métalliques » (EMT) - et leur lien avec de
nombreuses maladies invalidantes, est tout simplement
criminel !
Au sujet de l’aluminium...
Le Dr Tammy L. Born rappelle que l’aluminium est connu
pour avoir des effets cancérigènes et sa demi-vie est de
plusieurs décennies. Elle affirme « qu’ils en mettent dans
l’environnement peut causer des dégâts bien plus graves que
ceux qu’ils prétendent régler ». Lorsque l’on voit les dégâts que
cause l’aluminium utilisé comme adjuvant dans les vaccins, on
imagine ce que peuvent faire des pulvérisations à grande
échelle et répétées. Le Dr Russell Blaylock[133] nous apprend
que l’aluminium des chemtrails pourrait entraîner « une
augmentation explosive des maladies neurodégénératives » chez
les adultes ainsi que des troubles neurologiques du
développement chez nos enfants. Nous assistons déjà à un
accroissement spectaculaire de ces troubles neurologiques et
ils se produisent chez des gens de plus en plus jeunes.
L’aluminium est une substance dont l’activité
électromagnétique perturbe le développement des protéines,
favorisant la mort cellulaire suite à la perte de protection par le
P53[134].
D’autre part, de nombreuses publications scientifiques ont
démontré que les nanoparticules intensifient les réactions et «
l’aspect le plus inquiétant de ces nanoparticules d’aluminium,
affirme-t-il, est leur effet sur le cerveau et la moelle épinière.
On attribue une liste grandissante de maladies neurodégénératives, dont la maladie d’Alzheimer, la maladie de
Parkinson et la sclérose latérale amyotrophique (appelée
maladie de Lou Gehrig aux États-Unis, qui est une paralysie
progressive de la moelle épinière) fortement liées à l’exposition
de la quantité d’aluminium présente dans l’environnement. »
Elles pénètrent aussi facilement dans le cerveau par plusieurs
voies, dont le sang et les nerfs olfactifs. Des études ont montré
que ces particules passent le long des conduits des nerfs
olfactifs, qui sont directement reliés à la partie du cerveau la
plus touchée par la maladie d’Alzheimer[135]. Cette dernière
forme de contamination est extrêmement grave, parce que les
épandages restent en suspension dans le ciel et sont inhalés
par toutes les couches de population, dont les bébés et les
personnes âgées. La dimension nanométrique des particules
fait qu’elles pénètrent aussi dans les maisons, prolongeant
encore l’exposition. Inhaler ce nano-aluminium en suspension
dans l’air entraînera aussi un phénomène inflammatoire dans
les poumons, ce qui constituera un réel danger pour les
enfants, les adultes asthmatiques et les personnes sujettes à
des maladies pulmonaires.
L’aluminium est aussi un accélérateur. Même les pompiers
remarquent que, ces dernières années, les incendies qu’ils
combattent sont d’une intensité jamais vue auparavant et qu’ils
ont de plus en plus de mal à en venir à bout. En regardant les
échantillons d’air, il paraît que l’on peut voir les particules fines
d’aluminium qui sont très inflammables, et le magnésium qui
se colle aux arbres : cela crée des incendies d’une violence
inouïe.
Baryum
L’autre substance la plus présente dans les analyses des sols
est le baryum. En 2008, Jeff Ferrell donnait pour la chaîne
KSLA[136] les résultats d’analyses de substances recueillies
après des épandages. Ces substances contenaient des niveaux
extrêmement élevés de baryum (6,8 ppm[137]) soit plus de trois
fois le niveau toxique admis par l’EPA (Agence de protection de
l’environnement) ainsi que des traces importantes d’autres
substances toxiques telles que l’arsenic, le cadmium, le
strontium, l’argent, le mercure et l’uranium, dont certaines
rarement ou jamais trouvées dans la nature.
Que des produits comestibles !
KSLA a aussi interrogé Mark Ryan, directeur d’un centre
antipoison, sur les effets du baryum sur les humains : « Une
exposition pendant un court laps de temps peut provoquer des
douleurs d’estomac ou dans la poitrine ; une longue exposition
cause des problèmes de pression sanguine, [...] tout ce qui
affecte le corps humain de façon répétitive et chronique affaiblit
le système immunitaire. »
Et l’on apprend que l’exposition à de faibles quantités de
baryum, dissous dans l’eau, peut déclencher un ou plusieurs
de ces problèmes : difficultés respiratoires, augmentation de la
tension artérielle, changements du rythme cardiaque, irritation
de l’estomac, faiblesses musculaires, modifications des réflexes
nerveux, dommages au cerveau, au foie, aux reins et au cœur.
Lorsque les sels de baryum sont absorbés, ils se dissolvent et le
baryum imprègne divers tissus, en particulier les os.
L’étude réalisée par l’INRS sur des rats, des souris et des
lapins démontre qu’une exposition régulière au baryum
provoque une augmentation de la taille du foie et du nombre de
décès. L’intoxication aiguë au baryum chez l’homme se
manifeste par des douleurs abdominales intenses, des
diarrhées sanglantes, des troubles cardio-vasculaires et peut
provoquer la mort par insuffisance respiratoire ou provoquer
des problèmes cardiaques.
C’est sympa de se dire que la pluie qui tombe de plus en plus
fréquemment de leurs nuages artificiels en est chargée
abondamment.
Dan Bidondi, journaliste d’Infowars.com partage son
expérience à Springfield, où il coordonnait les opérations de
pompiers. Il a compté de huit à treize appels tous les jours
pendant les huit heures de son service, de gens de tous âges
qui n’arrivaient plus à respirer. Il dénonce les produits
chimiques tombés des chemtrails comme la cause des énormes
problèmes respiratoires que connaît de plus en plus la
population américaine[138].
Claire Henrion d’ACSEIPICA, dans son rapport au Parlement
européen, évoque le fait que « des prélèvements d’air réalisés en
vol par un chercheur indépendant à une altitude de huit mille
mètres en septembre 2012 confirment la présence de baryum
et d’aluminium. Or, naturellement, le baryum et l’aluminium se
trouvent dans le sol, pas dans l’atmosphère. »
Dan King, un habitant de Sunbury, se souvient d’un jour
d’orage, en plein mois de juillet, alors qu’il conduisait sur une
route nouvellement refaite. L’eau de pluie ressemblait à de l’eau
savonneuse. « J’ai cru que c’était à cause du nouveau
revêtement, dit-il, mais quand je suis allé en pleine campagne,
c’était pareil et il y avait des paquets de mousse sur le bas-côté.
» Or le stéarate de baryum, l’un des produits utilisés dans les
épandages, n’est rien d’autre que la réaction d’un acide gras
sur un métal, ce qui donne un savon, et pourrait expliquer
l’aspect savonneux de cette pluie.
En Espagne, Carlos Diaz Gonzales[139] a voulu en avoir le
cœur net : « Mon analyse indique que la quantité d’aluminium
permis dans le corps est de 555 nmol/1. Eh bien, il se trouve
que j’ai près de quatre fois plus que le maximum autorisé !
1851 nmol/1. C’est un véritable scandale ! Je veux que cela
soit clair : je n’ai pas travaillé dans des usines et je ne suis pas
un bricoleur. J’ai une alimentation équilibrée, je ne bois pas de
Coca-Cola ou de canettes de soda, et j’utilise habituellement
des déodorants sans aluminium. Dans ces analyses, il n’y a
pas seulement de l’aluminium, mais aussi du baryum, qui est
également terrible. D’après ce que j’ai vu sur Internet, la valeur
de référence est d’environ 11-12 nmol/1, et dans l’analyse
j’obtiens 75,33 nmol/1. Maintenant, vous savez ce que font les
chemtrails. »
Le baryum, comme l’aluminium, provoque des divisions dans
le cerveau en bloquant l’interaction entre certains acides
aminés, la production de dopamine ou d’adrénaline, ce qui
empêche la perception cohérente et diminue la capacité à faire
des liens ou à transmettre l’information à d’autres zones du
cerveau et ainsi, la capacité à discerner le réel de l’imaginaire.
Mais il y a d’autres surprises !
Patrick Pasin[140] le producteur et réalisateur de
, cite un extrait du livre du Dr Rosalie Bertell,
—
Bye, bye,
blue sky Planet
Earth The Latest Weapon OfWar (Planète Terre -La dernière
dans lequel elle écrit que « les États-Unis et le
Canada collaborent à des expériences de modification du temps
depuis 1958. [...] Le Programme Churchill CRM (Chemical
Release Modules) comprenait différents composés du baryum,
dont de l’azoture de baryum, du chlorate de baryum, du nitrate
de baryum, du perchlorate de baryum et du peroxyde de
baryum. Tous sont combustibles et la plupart détruisent la
couche d’ozone. »
Dans un programme de 1980, environ deux tonnes de
produits chimiques furent déversés dans l’atmosphère, y
compris une tonne de lithium. Le lithium est un produit
chimique hautement réactif qui est ionisé très facilement par
les rayons du soleil. Ceci augmente la densité des électrons
dans les couches basses de l’ionosphère et crée des radicaux
libres hautement réactifs et capables de produire d’autres
changements chimiques. »
Il est intéressant d’apprendre que les composés du baryum
détruisent la couche d’ozone quand la raison officielle de la
géo-ingénierie qui les pulvérise est l’urgence de réparer la
couche d’ozone ! Alors, y aurait-il d’autres raisons ? On ne peut
s’empêcher de penser que « la mise en place de larges nuages
de baryum dans l’atmosphère » est inscrite dans la patente du
programme HAARP de Bernard Eastlund[141]. Les chemtrails qui
zèbrent le ciel servent donc plus vraisemblablement au contrôle
du climat à des fins militaires ou d’éco-terrorisme qu’à la
sauvegarde de la planète et de ses habitants !
À ce sujet, Patrick Pasin raconte que lorsqu’il a interviewé
des scientifiques (dont un météorologue, membre distingué du
GIEC), ces derniers lui ont évidemment livré la « réponse
officielle », à savoir que les chemtrails n’existent pas. Mais
lorsqu’il leur a demandé comment ils expliquaient la présence
arme de guerre),
de baryum à la surface des bacs à sable à Paris et dans les
endroits où apparaissent régulièrement ces traînées, ils
n’eurent pas d’explication... «Je ne parle même pas des dix
tonnes de baryum achetées par l’armée française : aucun
expert ni scientifique n’a été en mesure de me fournir une
explication plausible quant à leur utilisation... Et je rappelle,
ainsi qu’il est mentionné dans le film, que les militaires ont
retiré l’information de leur site immédiatement après ma visite
et le fait que je l’ai enregistrée. Pourquoi ? »
Le soufre
En décembre 2013, David Keith, le plus farouche partisan de
la méthode qu’il a mise au point, était l’invité du Stephen
Colbert show[142] pour promouvoir son livre,
et sans doute les intérêts de sa société de
géoingénierie par la même occasion ! Il reprend son idée de
génie qui est « d’injecter 20 000 tonnes de soufre, 20 km audessus de nos têtes, dans la stratosphère et de plus en plus
chaque année... ce qui stopperait le réchauffement climatique
progressivement, sans qu’on n’ait plus à se préoccuper du
CO2
... »
Déjà, la bonne nouvelle c’est qu’une fois que l’on a
commencé, on est obligé de continuer à perpétuité, sous peine
de voir les températures s’affoler, comme l’explique à l’agence
Reuters le professeur Jay Apt de l’Université Carnegie-Mellon
de Pittsburgh ! Ce qui ne perturbe pas le moins du monde ce
grand psychopathe de Keith, qui doit entendre le bruit du
dans sa tête quand il poursuit, passionné : «Nous
déversons déjà 15 millions de tonnes de soufre dans l’air sous
forme de pollution ; ce qui tue un million de personnes par an
sur Terre... »
A case for climate
engineering,
jackpot
Stephen Colbert se moque : « Est-ce qu’on pourrait en tuer
davantage en répandant encore plus de gaz sulfurique ?
―Tuer des gens n’est pas l’objectif ! » lâche David Keith entre
deux rictus.
Mais cela n’arrêterait pas la pollution non plus, il le sait bien.
Réfléchir les rayons du soleil pour qu’ils repartent vers
l’atmosphère, quand on continue à augmenter la pollution endessous, donc à détruire toujours plus la couche d’ozone, ce
qui va induire encore plus de réchauffement et justifiera qu’ils
injectent encore plus d’acide sulfurique dans l’atmosphère...
C’est la spirale infernale, et à part engraisser les sociétés de
géo-ingénierie, cela ne sert à rien ! Mais nous, ce qui nous
terrorise, c’est qu’on entoure la planète de gaz sulfurique et les
conséquences sur nos vies !
« Et qu’arrive-t-il au gaz sulfurique une fois qu’on l’a shooté
là-haut ? relance Colbert. Il y reste ?
―Non, il retombe avec la pluie ! est obligé de répondre Keith,
sous les sarcasmes de la salle. Mais c’est un minuscule
dommage... »
On croit !
Le seul problème qui le tient éveillé la nuit est la manière
dont il va arriver à mettre tous les pays d’accord ; et surtout : «
Qui va avoir la main sur le thermostat ? »
« Vous avez vu ces avions avec leurs , appuie Colbert,
peut-être qu’ils épandent déjà, sans qu’on en sache rien, des
tas de produits chimiques au-dessus de nos têtes...
―Ça paraît très peu probable...
―Que le gouvernement des États-Unis cache quelque chose à
ses citoyens vous paraît vraiment improbable ? ironise
y
contrails
Colbert.
Tout le monde rit, sauf David Keith ! Aussi hypocrite qu’Al
Gore quand il répond à Ellen DeGeneres : « Vous savez, injecter
un autre type de pollution comme de l’oxyde de soufre mis en
orbite, recouvrirait l’atmosphère et le ciel ne serait plus
vraiment bleu... » Et qui, oups, réalisant sa gaffe, ajoute : « Ce
qui n’est déjà plus le cas maintenant. »
C’est bien ce qui nous fait croire que....
Et la pulvérisation de dioxyde de soufre dans l’atmosphère
crée à la fois des catastrophes pour l’environnement et des
problèmes de santé aussi graves que des troubles du
comportement, cardiaques, neurologiques, des dommages du
système immunitaire, des désordres gastro-intestinaux, des
dysfonctionnement du foie et des reins, des dérèglements du
système hormonal, des problèmes de stérilité, des suffocations,
des embolies pulmonaires, des problèmes de vue et d’audition.
Selon le site Lenntech, « les tests en laboratoire sur des
animaux ont montré que le soufre peut engendrer de sérieux
dommages vasculaires au niveau du cerveau, du cœur et des
reins. Ces tests ont aussi indiqué que certaines formes de
soufre peuvent causer des dommages au fœtus et des
anomalies congénitales. Les mères peuvent même empoisonner
leurs enfants au soufre par le lait maternel. Enfin, le soufre
peut causer des dommages aux systèmes enzymatiques
internes des animaux. »
Mais à part ça... madame la marquise, tout va très bien, tout
va très bien !
TUER LES BOUCHES INUTILES[143]
...
Le monde est gouverné par des personnages très
dif érents de ce qui est imaginé par ceux qui ne sont pas
derrière le rideau.
Benjamin DISRAELI (1804-1881)
Premier ministre britannique de 1874 à 1880
Selon Paul Watson d’Infowars.com, les scientifiques fous de
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